Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 28 février 2017

Alain, policier à Perpignan: "Aujourd'hui, je me sens très mal dans mon métier"

Publié par Guy Jovelin le 28 février 2017

 
Une trentaine de policiers du commissariat de Perpignan est en arrêt maladie. (Photo d'illustration)
 
 

Depuis vendredi 24 février, une trentaine de policiers du commissariat de Perpignan protestent contre le rythme de travail qui leur est imposé. Ils se sont ainsi mis en arrêt maladie, pour dénoncer leurs conditions de travail et le mal-être qui sévit dans la profession depuis plusieurs années. Alain est l'un d'entre eux, il se confie à RMC.fr. 

jeudi, 27 octobre 2016

Au moins 323 personnes SDF sont mortes dans la rue sur les dix premiers mois de 2016

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2016

A homeless person protects himself from the cold in a sleeping bag on the threshold of a retail store in Paris on October 28, 2012. A homeless man was found dead on October 28 in a Paris street, probably due to low temperatures. AFP PHOTO / THOMAS COEX
THOMAS COEX / AFP
 
 

Au moins 323 décès de personnes sans domicile fixe (SDF) ont été recensés par le Collectif Les Morts de la Rue. Mais ce chiffre, correspondant aux morts qui lui ont été signalées, pourrait en réalité être dix fois plus élevé, prévient l'association. L'âge moyen des victimes: 48,2 ans en moyenne.

jeudi, 31 mars 2016

6 730 SDF sont morts dans la rue ces trois dernières années en France

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2016

31 mars 2016 par admin4

6.730 morts dans la rue en trois ans en France. S’ils avaient été clandestins, paradoxalement, ils auraient bénéficié des aides destinées aux prétendus réfugiés. Mais dans leur grande majorité il s’agit de simples français, souvent de souche, écorchés par la vie. De ceux qu’on abandonne au profit des étrangers, surtout lorsqu’ils sont clandestins, vers qui se portent tous les fonds de solidarité publics, anciens et nouveaux. C’est le Quotidien du Médecin,peu suspect d’inventer des histoires, qui donne ce chiffre.

Près de 7.000 « sans domicile fixe » seraient morts dans la rue entre janvier 2008 et décembre 2010 explique-t-il : « Rien que pour l’Ile-de-France nous recevons des signalements de décès tous les jours, un peu par hasard. (…). Là, c’est énorme »

Et encore, ce chiffre n’est-il pas  exhaustif !

Être sans domicile fixe induit un risque très élevé de mortalité, rappellent les auteurs. Les études menées à l’étranger, notamment aux États-Unis et au Canada, rapportaient un taux de mortalité entre 3 et 13 fois supérieur à celui de la population générale. Et ce sont surtout les hommes jeunes qui meurent dans la rue. «  Les causes de décès ne sont pas très différentes de celles de la population générale », explique Lise Grout. « Il s’agit pour les hommes de cause cardiaque, ou externe, agressions, suicides, qui sont celles que l’on retrouve dans la population masculine au même âge. Sauf que l’âge moyen de décès dans la rue est de 45 ans contre 77 ans dans la population générale ».

L’INSEE reportait une augmentation de 50 % des SDF au cours de la dernière décennie et estimait à 144.000 le nombre de personnes vivant dans la rue en 2012.

Quand le nombre de Sans-domicile-fixe atteint de tels chiffres, il ne s’agit plus de marginaux, mais d’un phénomène de société. Une société qui ouvre ses portes et le fruit de ses impôts aux jeunes étrangers d’autres continents, en quête de conditions économiques meilleures, mais qui les ferme à ses propres ressortissants.

Source : MPI

dimanche, 07 février 2016

Hallucinant: 27 suicides par jour, agriculteurs en tête. Que fait le gouvernement ? Il finance l’emploi en Tunisie!

Publié par Guy Jovelin le 7 février 2016

Manifestation des agriculteurs en Languedoc-Roussillon

27 personnes se suicident en moyenne chaque jour en France.  C’est l’un des taux les plus élevés d’Europe qui touche en premier le monde agricole. Aujourd’hui même, je viens d’apprendre, dans mon entourage, le suicide d’un agriculteur de quarante ans, homme doux et discret, qui laisse un enfant.

Les paysans étaient 10 millions en 1945, ils n’étaient plus qu’un million lors du recensement de 2010. Combien en reste-t-il aujourd’hui avec la crise provoquée par les contre-sanctions russes suite aux sanctions ordonnées par les USA  à l’UE ? Alors que le traité commerciale transatlantique se profile à l’horizon, qui devrait sceller la mort définitive de la production agricole française traditionnelle?

Depuis les manifestions agricoles des bonnets rouges en  octobre 2013, à chaque nouvelle colère paysanne le désespoir est plus profond et les rangs de plus en plus clairsemés. Je me suis donc penchée sur les statistiques du suicide en France, et il se trouve justement que mardi dernier, le rapport de l’Observatoire du Suicide a été publié.

Selon ses chiffres, 27 personnes se sont suicidées en moyenne chaque jour en France sur la dernière période d’un an.  Ce qui est nettement supérieur au chiffre de la mortalité routière qui est de 9 morts par jour, mais les morts de la route sont accidentelles. Le drame des suicides c’est qu’ils sont des actes volontaires de désespoir. Ces 27 suicidés par jour ne tiennent pas compte des 70 000 tentatives de suicides annuelles, très sous-évaluées, elles aussi, en réalité.

image: http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2016/02/exploitation-agricole-en-mayenne.jpg

exploitation-agricole-en-mayenne

Et tandis que les pouvoirs publics se mobilisent contre les accidents de la route (en multipliant les radars et les procès-verbaux juteux), ils prétendent avoir les caisses vides dés qu’il s’agit de soulager la misère des Français dont ils sont souvent les principaux responsables. Ainsi les agriculteurs n’ont obtenu que 290 millions d’euros, tandis que François Hollande vient de débloquer 1 milliard pour l’emploi en Tunisie, qui s’ajoutent au 60 millions de dettes que ce pays devaient à la France et qui ont été convertis en aides pour la Tunisie et donc annulés (Source: Présent du 28 janvier). Et combien d’autres milliards pour les prétendus « réfugiés », si on compte les hébergements, la scolarisation, les aides sociales, les retraites, les forces de police mobilisées, etc. ? Tout cela avec les impôts des Français au profit des étrangers! Le rapport l’avoue, ce sont les catégories les plus défavorisées qui se suicident en majeure partie. Parmi elles, les agriculteurs arrivent en tête. Les agriculteurs qui, en heures de travail, sont certainement ceux qui en font le plus! 200 exploitations agricoles disparaissent chaque semaine en France. Un chiffre hallucinant lui aussi!

La France est le pays (ou l’un des premiers pays ?) où les gens se suicident le plus si on en croit le rapport de l’Observatoire des suicides, initié en 2013 par Marisol Touraine: « La France métropolitaine, explique-t-il, se situe parmi les pays européens ayant un taux élevé de suicide, après la Finlande, la Belgique et la plupart des pays de l’Est. » L’aveu se veut modeste face à la réalité. En 2010 la moyenne des suicides en Europe était de 12 pour 100 000 habitants,contre 18 en France. Cela fait « 9.715 personnes qui se sont donné la mort en 2012, mais le chiffre réel pourrait être plus important, de l’ordre de 10.700 décès, en se basant sur une sous-estimation de 10%, précise l’Observatoire national du suicide (ONS) dans son deuxième rapport. » (Source)

Le rapport relève encore qu’ « en France, un décès sur 50 est un suicide, et on estime qu’une personne sera confrontée, sur une période de quarante ans, au décès par suicide d’une à trois personnes de son entourage immédiat. Alors que la France bénéficie d’une espérance de vie élevée, son taux de suicide est parmi les plus hauts en Europe.« 

La richesse comme rempart du suicide

Mais  « Les agriculteurs, employés et ouvriers ont ainsi un risque de décéder par suicide deux à trois fois plus élevé que celui des cadres. » Et le plus les gens sont riches, le moins ils sont touchés par le suicide, précise encore le rapport. Dans une société matérialiste, cela est dans l’ordre des choses. 

Le pire c’est que ces chiffres déjà abominablement élevés sont encore largement sous-évalués:  « L’OMS souligne que les données de mortalité relatives au suicide sous-estiment généralement la véritable prévalence du suicide. En France, le CépiDc-Inserm évalue cette sous-estimation à 10 % environ. » Source: la synthèse du rapport.

l’un des auteurs du rapport explique que « les phases de développement économique, de croissance économique rapide entrainent des bouleversements complets dans la façon dont les gens vivent, dans les habitudes et c’est suicidogène ». On peut ajouter que c’est suicidogène aussi de ne plus se sentir chez soi, d’être traité en sous-citoyen dans son propre pays, de ne plus être entendu par personne, de constater que ce que l’Etat fait aujourd’hui pour les clandestins, il ne le fait pas pour les Français.

La politique de haine du christianisme

Mais  Plus que la politique de préférence étrangère de ce pouvoir socialiste, la politique de haine du christianisme menée sournoisement par les différents pouvoirs presque sans interruption depuis la Révolution (1789), dont la perte de la foi est le corollaire, est sans doute la meilleure explication de cette tendance suicidaire par-delà les souffrances et les injustices de ce monde.

Perdue la douceur évangélique, et la démonstration par Jésus-Christ mort sur la Croix le Vendredi saint de sa Résurrection le jour de Pâque. Dans un monde rivé sur les choses matérielles, qui ignore qu’il existe un Seigneur de la vie venu sur terre annoncer: « je suis la voie, la vérité et la vie », que reste-t-il pour donner un sens à la vie au-delà de l’aisance matérielle ? lorsque les biens matériels ne sont pas au rendez-vous des efforts, il ne reste plus que le désespoir et la disparition dans le néant athéiste du suicide. On nous a substitué le prosélytisme pour l’avortement et les exemples morbides des attaques suicides de l’Islam à la religion de la vie qui a construit la France depuis le baptême de Clovis au Ve siècle. Comme en URSS communiste, le monde agricole était le grand vivier du christianisme et des traditions en France, il fallait donc l’abattre. Il ne reste plus d’avenir pour les bannis du capitalisme, victimes du mondialisme, qui ont perdu le seul vrai culte de la vie. 

Voilà une autre explication du suicide que le rapport de l’ONS se donne bien garde d’étudier parmi les causes de suicides, ce serait donner encore un peu de place à Jésus-Christ !

Emilie Defresne

mercredi, 22 juillet 2015

Monde paysan : suicides dans les campagnes

Ce reportage réalisé par Armel Joubert des Ouches pour reinformation.tv a pour but de briser le tabou des suicides dans les campagnes mais aussi de réveiller le monde politique qui, quoi qu’il en dise, méprise de plus en plus le monde paysan.

4 à 500. C’est le nombre de suicides d’agriculteurs recensés en France, chaque année, d’après des chiffres provenant des Caisses de la MSA (Mutualité sociale agricole) et de l’INVS, l’Institut national de veille sanitaire. Mais le chiffre réel est sans doute bien supérieur aux statistiques car, pour des problèmes liés aux assurances notamment, beaucoup de décès seraient déclarés dans la catégorie accident ou maladie. Le suicide dans les exploitations agricoles révèle un effrayant constat : par des lois scélérates, par une multiplication des contraintes administratives et environnementales notamment, par le système du « toujours moins cher » auquel on a habitué le monde urbain, le monde politique accule des agriculteurs à mettre fin à leurs jours. Au-delà de toutes ces explications, il y en a une autre, essentielle celle-ci : l’européisme et le mondialisme défendus par le système politique, le dogme intangible de l’ouverture des frontières pour qui la disparition du monde paysan et les suicides dans les campagnes sont de simples « dommages collatéraux ».