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lundi, 24 décembre 2018

Et les millions d’euros de subventions aux syndicats, qu’en pensent les Gilets Jaunes ?

Publié par Guy Jovelin le 24 décembre 2018

Encore une promesse de Macron non tenue ! Souvenez-vous, le président de la république avait promis de réformer le financement des syndicats. Il devait instaurer le “chèque syndical” permettant “à chaque salarié d’apporter au syndicat de son choix des ressources financées par l’employeur”.

Au lieu de cela, ce sont encore et toujours de plantureuses subventions de l’Etat (et donc de tous les contribuables) qui sont versées aux syndicats. Et ce alors que le taux français de syndicalisation est de 8,79% dans le secteur national et associatif et de 19,8% dans le secteur non marchand comme dans le secteur public.

L’« Association de gestion du fonds paritaire national » créée en 2014 pour « financer leurs missions de dialogue social » fait savoir qu’elle a distribué en 2017 la bagatelle de 123,2 millions d’euros(122,8 millions d’euros en 2016).

Citons la répartition parmi les plus grands bénéficiaires :

. CGT : 18,9 millions d’euros

. CFDT : 18,6 millions d’euros

. FO : 14,9 millions d’euros

. CFE-CGC : 12,6 millions d’euros

. CFTC : 12,6 millions d’euros

. Unsa : 3 millions d’euros

. Solidaires : 2,6 millions d’euros

Et pour les autres partenaires sociaux :

. Medef : 12,3 millions d’euros

. CPME : 6,3 millions d’euros

. U2P (artisans, professions libérales) : 2,3 millions d’euros.

 

Source : medias-presse.info

mardi, 18 décembre 2018

«Gilets jaunes» : les syndicats de policiers appellent eux aussi à la mobilisation

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2018

 

Lefigaro.fr et AFP agence Mis à jour le 17/12/2018

 

Le syndicat Alliance a demandé «à tous les policiers de France de ne sortir que sur appel» mercredi, sous le mot d'ordre «fermons les commissariats», afin d'obtenir du gouvernement de meilleures conditions de travail et de rémunération.

Les syndicats policiers ont brandi lundi le spectre d'un mouvement social au sein des forces de l'ordre en réclamant notamment «un retour sur investissement» après un mois de mobilisation des «gilets jaunes» et de gestion de la menace terroriste. «Les syndicats seront reçus mardi à Beauvau par le ministre» Christophe Castaner, a indiqué à l'AFP le ministère de l'Intérieur. Le secrétaire d'État à l'Intérieur Laurent Nuñez a assuré lundi soir que «la porte est ouverte» pour les syndicats pour une réunion «sur les thématiques qu'ils ont souhaitées».

» LIRE AUSSI - Ces millions d'heures sup' non payées qui suscitent la colère des policiers

Le syndicat Alliance [...] demande notamment aux députés de ne pas voter le projet de loi de finances 2019 estimant que le budget consacré aux forces de l'ordre est «insuffisant», relève Frédéric [...]

Un mouvement «service minimum - 100% prévention»

L'Unsa-Police a enjoint les policiers à se lancer dans un mouvement «service minimum - 100% prévention» dès ce mardi. La troisième organisation représentative de la police nationale demande à être reçue par le président de la République et met en garde contre «d'autres actions». «Les ronds-points ne sont pas réservés qu'aux seuls gilets jaunes», a souligné le syndicat dans un communiqué.

[...]

source: via lesobservateurs

lundi, 16 avril 2018

Grande-Bretagne : un syndicat d’enseignants fustige les parents « racistes » qui refusent l’enseignement de l’islam pour leurs enfants

Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2018

Par  le 15/04/2018 

Un syndicat d’enseignants prétend que les parents qui retirent leurs enfants des cours d’éducation religieuse parce qu’ils ne veulent pas qu’ils apprennent l’islam sont « racistes ».

Des inquiétudes ont été soulevées au sujet des mères et des pères qui abuseraient de leur droit de retirer leurs enfants des cours à l’école, empêchant ainsi leur capacité à explorer de grandes questions et une pensée critique.

Lors de la conférence annuelle de l’Association of Teachers and Lecturers, il a été déclaré que cela allait à l’encontre des tentatives des écoles de préparer les jeunes à la société moderne au Royaume-Uni.

Le syndicat exhorte le gouvernement à prendre des mesures pour s’assurer que les parents n’empêchent pas sélectivement leurs enfants d’apprendre certaines religions, rapporte The Telegraph.

(…)

Richard Griffiths, de la section locale d’Inner London, a déclaré que la motion visait à assurer que ce droit ne soit pas abusé, dans les cas où les parents peuvent avoir «des préjugés incluant l’islamophobie et l’antisémitisme».

(…)

La vice-présidente du syndicat, Kim Knappett, a ajouté qu’elle avait vu une lettre d’un parent demandant que son enfant soit retiré des études religieuses.

Selon les rapports, la lettre était si «vicieuse» qu’elle pensait que les autorités avaient besoin d’être informées.

Mirror.co.uk / Lesobervateurs.ch

mardi, 10 avril 2018

Supprimer toutes les subventions

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2018

POSTÉ LE 10 AVRIL , 2018, 2:46

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On constate que l’État verse de grosses subventions :

  • aux services de propagande, d’intox et de lavage des cerveaux des « sans-dents » ;
  • aux syndicats ;
  • à une palanquée d’associations.

La suppression de tous ces versements assainirait les finances publiques.

Les agents de propagande devraient se remettre en question pour mettre en place une gestion saine de leur entreprise et ne pas faire n’importe quoi en faisant fi des coûts.

Les syndicats sont des officines qui ne travaillent que pour la poursuite de leurs avantages personnels, et non pour les travailleurs.

Ce sont aussi des officines spécialisées dans la mise en péril de l’économie du pays par des grèves à répétition.

Pour éliminer leur capacité de nuisance, la suppression des subventions serait une bonne nouvelle. Elle entraînerait probablement la fin de leurs actions subversives, car ce n’est pas avec l’argent de leurs adhérents et de leurs sympathisants qu’ils pourraient vivre.

Ainsi l’État ferait-il coup double : il économiserait de l’argent et il n’aurait plus à supporter les nuisances syndicales.

Les associations touchent des subventions de l’État, ainsi que des collectivités locales – en plus des dons en provenance des entreprises et des particuliers.

Pour les associations accréditées à délivrer des reçus pour les dons dont elles ont bénéficié, l’État paye ainsi deux fois.

En conséquence, aucune subvention ne devrait être versée aux associations autorisées à émettre des reçus.

Il faudrait aussi supprimer toute subvention aux associations soi-disant antiracistes, puisqu’elles ne mettent pas en pratique ce qui est écrit dans leur objet social.

Aucune déontologie chez ces associations, car, nous le constatons tous, elles ne tiennent aucun compte du racisme anti-blanc, alors que c’est le plus fréquent et le plus grave.

Solution : soit elles dénoncent tous les actes et propos racistes sans exception pour toucher des subventions, soit elles continuent comme elles l’ont toujours fait et elles crèveront.

En tout cas, comme dans le cas précédent, elles ne pourront pas survivre uniquement grâce à l’argent de leurs donateurs et de leurs sympathisants.

 

Source : les4verites

jeudi, 22 mars 2018

La grève fera-t-elle dérailler le train d’En Marche ?

Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2018

Rédigé par notre équipe le 22 mars 2018.

L’épreuve de force a commencé. Les fonctionnaires sont dans la rue en ce 22 mars avec des revendications différentes selon les corps de métier. Fer de lance de la mobilisation, les cheminots devraient donner le ton et espèrent faire peur à un Gouvernement qui a d’ores et déjà exclu de se soumettre aux exigences de la rue. Cette journée a de grandes chances d’être un coup d’épée dans l’eau, car il sera difficile de faire durer une mobilisation qui bénéficie de la bienveillance des Français.

Pas d’accord avec le Gouvernement ? Ce sont les Français qui sont pris en otage. La réforme de la SNCF prend finalement l’accent de la grève. Les cheminots ont menacé après le passage en force de l’exécutif, ils sont aujourd’hui dans la rue pour interpeller sur la menace que fait peser une telle réforme sur le service public. Si les cheminots s’accrochent corps et âme à leur si bon statut, il est vrai que la réforme cache des maux comme la mise en concurrence et la privatisation de la SNCF. Le Gouvernement prétend le contraire, mais ne peut faire oublier son inspiration libérale et les directives de Bruxelles qu’il reçoit en ce sens. La mobilisation se fonde sur des raisons plus ou moins légitimes et il n’est pas certain que les Français soutiennent un mouvement qui les pénalise, eux, et non pas quelques élites qui voyagent en jet privé.

Frapper fort pour espérer

Ce jeudi 22 mars constitue donc une épreuve de vérité. Si la mobilisation est faible et que la manifestation ne prend pas une grande ampleur, le Gouvernement sait que la partie sera facilement gagnée. Toutefois, si les chiffres commencent à faire bouger le trouillomètre, alors les syndicats auront remporté la première phase d’un conflit qui ne pourra être gagné que sur la durée. Mais les grévistes sont entre le marteau et l’enclume, car si la grève persiste, les usagers vont rapidement se ranger du côté d’un Gouvernement qui a les médias et les sondages dans sa poche. Le refrain « le diktat de la rue ne passera pas » sera chanté gaiement et précipitera la chute de cheminots qui doivent compter sur l’agrégation des revendications issues de d’autres professionnels.

Dans la possible bataille de longue haleine, ce ne sont pas les agents de la RATP ou les professionnels de santé qui ont la clé. Les premiers n’iront pas jusqu’au bout du bras de fer et les seconds ne sont jamais écoutés et trop humains pour cesser complètement le travail. Ce sont les enseignants qui ont la clé. Leur pouvoir de nuisance est fort et leur moindre début de raclement de gorge fait trembler tous les gouvernements. Se mobiliseront-ils sur la durée ? Cela est peu certain, car les réformes annoncées dans l’Education nationale ne sont pas (encore) de nature à rendre les enseignants hors de contrôle. Leur tour viendra, mais seulement après la défaite des cheminots.

La colère grondait sous Hollande et pourtant aucune mobilisation regroupant bien des métiers n’a réussi à émerger. La nouvelle équipe au pouvoir est trop retors pour tomber dans un piège que même Flamby 1er a su contourner. La bataille s’annonce difficile pour les syndicats…

 

Source : 24heuresactu