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lundi, 25 juin 2018

Mayotte: Deux gendarmes du GIGN entre la vie et la mort

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2018

Par  le 25/06/2018 

Deux gendarmes de l’antenne locale du GIGN ont été grièvement blessés, dimanche, à Mayotte, apprend 20 Minutes de source proche du dossier. Les faits ont eu lieu, vers 15h (14h à Paris), à Bandrélé, au sud-est de l’île. Les deux militaires participaient à une opération visant à interpeller un individu suspecté d’avoir commis des violences sur des touristes et visé par un mandat de recherche.

Lorsqu’ils l’ont interpellé, les deux gendarmes ont été pris pour cible par une dizaine de personnes qui leur ont jeté des cailloux et des pavés. Le plus grièvement blessé, qui se trouve entre la vie et la mort, a eu le crâne fracturé et a été plongé dans le coma. L’autre souffre d’un traumatisme crânien. Ils seront évacués à la Réunion lundi après-midi. La section de recherche de Mayotte est chargée de l’enquête.

samedi, 21 avril 2018

Violences au Mirail: un mois avec sursis pour les militants de gauche

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 218

   

Le Palais de Justice de Toulouse, ce vendredi 20 avril. Crédits: Mathieu Vergez

 

Le Tribunal de Grande Instance de Toulouse vient de délibérer, ce vendredi 20 avril en comparution immédiate, sur le cas des deux militants d’extrême-gauche présents sur les lieux le mardi 17 avril dans le quartier du Mirail, alors que l’émeute faisait rage. Ils avaient été interpellés avec des bouteilles d’acétone dans leur sac à dos.

 

Selon le récit donné par la défense, Jérémy (38 ans), et Marjolaine (23 ans), s’étaient rendus à l’Université Jean Jaurès de Toulouse, située dans le quartier du Mirail, afin d’assister à une projection, dans le cadre du « festival » militant « Auto Défense Populaire ». Ils se sont alors donné rendez-vous avec des camarades à l’extérieur de l’université, dans le quartier du Mirail, vers 22h, pour confectionner une banderole en vue de la manifestation du jeudi. L’acétone dans leur sac était destiné, selon eux, à effacer les inscriptions d’une ancienne banderole afin d’en inscrire de nouvelles.
Le groupe a alors pris la fuite à la vue d’une voiture de police, qui les a surpris regroupés à l’arrière d’une camionnette ouverte. S’en est suivie une course-poursuite à pieds où seuls Jérémy et Marjolaine ont pu être interpellés.
En comparution immédiate, le Tribunal de Toulouse a relaxé les deux prévenus des soupçons de participation aux émeutes qui pesaient sur eux, en l’absence de preuves tangibles et selon la crédibilité du récit. Ils ont cependant été condamnés au motif de leur refus d’obtempérer avec les forces de l’ordre. Au moment de la garde à vue, ils ont tous deux gardé le silence et refusé de se soumettre au prélèvement d’empreintes génétiques. Marjolaine a quant à elle été jusqu’à donner une fausse identité et une fausse adresse, en refusant de révéler son vrai nom.
Les deux prévenus ont expliqués avoir agi de la sorte sur les conseils circulant en milieu militant à propos des situations de garde à vue. Des « conseils » de mauvaise augure, puisque leur refus de se soumettre au prélèvement leur a valu à chacun une condamnation à un mois de prison avec sursis. Marjolaine a en outre écopé d’une amende de 500 euros.

 

Source : infos-toulouse

jeudi, 22 mars 2018

Toulouse (31) : vols, violences et agression sexuelle à la prairie des Filtres, 8 jeunes interpellés dans plusieurs quartiers dont celui du Mirail

Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2018

Par  le 22/03/2018 

Sept individus vont être déférés au parquet de Toulouse, jeudi 22 mars 2018, suite à des faits de vols avec violences et d’agression sexuelle, commis à la prairie des Filtres.

Les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale ont résolu une affaire de grande ampleur, ces derniers jours, à Toulouse. Huit individus ont été interpellés lundi 19 mars 2018, mardi 20 mars et mercredi 20 mars 2018. Sept s’apprêtent à être mis en examen pour des faits de vols et violences en réunion et agression sexuelle.

Les faits se sont déroulés dans la nuit du mardi 3 au mercredi 4 mars 2018, à la prairie des Filtres, à Toulouse. Cette nuit là, deux jeunes hommes et une jeune femme, âgés de 18 et 17 ans, se font accoster par un groupe de huit individus.

Un des huit mis en cause s’en prend alors aux deux hommes qui accompagnaient la jeune femme, en leur assénant de violents coups de poing et coups de pied. Les huit individus récupèrent alors le téléphone portable et le portefeuille des victimes.

L’affaire ne s’arrête pas là. La jeune femme, qui était présente avec son petit ami, demande à pouvoir récupérer son téléphone portable. L’un des jeunes hommes lui demande de lui faire une fellation en échange. Devant son refus, il commet alors une agression sexuelle sur la victime, en pratiquant des attouchements à son encontre.

Mardi 20 mars 2018, les policiers de la sûreté départementale, de la Bac et de l’antenne du Raid, ont procédé à l’interpellation, dans plusieurs quartiers de Toulouse, dont celui du Mirail, de six individus qui avaient participé à cette nuit de violences.

 

Actu.fr via fdesouche

jeudi, 02 novembre 2017

Flambée de violences, durant la soirée d’Halloween dans les cités de Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2017

   

Incendies volontaires de voitures, de poubelles, attaques de pompiers et de policiers, caillassages d’un bus Tisséo… En tout, 25 faits de violences urbaines ont été dénombrés dans la nuit du 31 octobre à Toulouse. 

Après la répétition générale du 23 octobre dernier, la soirée d’Halloween a donné lieu à la représentation finale d’un théâtre devenu banal à Toulouse. Incendies, caillassages ont rythmés la nuit du 31 octobre dans les quartiers du Mirail et d’Empalot. Une soixantaine de policiers ont été mobilisés pour sécuriser les soldats du feu, attaqués de toute part. 25 faits de violences urbaines ont été décompter et une quinzaine de véhicules sont partis en fumée. Dans la nuit, les interventions des secours ont été placées sous alerte orange « violences urbaines », un plan qui permettent aux pompiers de travailler en synergie avec la police pour sécuriser les opérations.

Des violences de 16 heures à 5 heures

Dès 16 heures, dans le quartier Bagatelle, plusieurs jets de pierres en direction d’une patrouille de police ont été constatés. Les prémices d’une longue nuit agitée pour les fonctionnaires. En effet, pas moins d’une heure plus tard, alors que des policiers procédaient à l’interpellation d’un individu refusant d’obtempérer, la même scène s’est répétée, cette fois au Mirail. A cette occasion, un agent aurait été blessé légèrement à l’œil. Dans la foulée, à Bagatelle, deux véhicules et des poubelles ont été incendiés, juste après qu’un bus Tisséo ait été la proie des vandales, rue de Kiev.

Aux alentours d’une heure, plusieurs feux de poubelles et de véhicules ont encore éclaté simultanément dans les quartiers du Mirail, de Bagatelle et d’Empalot. Un quartier qui n’était d’ailleurs plus desservi par les rames de métro depuis 20h30, après qu’une voiture ait été incendiée devant les portes de la station de la ligne B. Un autre bus Tisséo a connu le même sort qu’à Bagatelle. Une équipe de CRS est venu protéger les pompiers durant toute la durée de l’intervention. Le métro n’a pu s’arrêter de nouveau à Empalot qu’au petit matin.

Le bilan de la soirée est plutôt miraculeux du côté des policiers : « quelques collègues ont été blessés sans gravité après avoir reçu des cailloux et des canettes dans une offensive assez marquée à leur encontre », témoigne Didier Martinez, le secrétaire régional du syndicat Unité-SGP Police.

Le syndicaliste fait état « d’une situation d’impuissance face aux violences urbaines, phénomène qui depuis 20 ans s’est banalisé à Toulouse ». Un « premier défi » que devra relevé la police de sécurité du quotidien, dont la ville est candidate à l’expérimentation.

 

Source : infos-toulouse

mardi, 30 mai 2017

Squats, vols, violences… des migrants terrorisent les habitants de Montpellier

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2017

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/ Lundi 29 mai 2017 
Les forces de l'ordre sont débordées par les mineurs clandestins. Photo © SIPA

Immigration. Des mineurs clandestins, toujours plus nombreux, multiplient les actes de délinquance en ville. Avant d’être souvent relâchés dans la nature.

Une véritable épidémie. Les cas de vols s’enchaînent à un rythme inquiétant dans les rues de Montpellier ces dernières semaines, rapporte Le Midi Libre. En cause : des mineurs non accompagnés (MNA), entrés illégalement sur le territoire depuis des pays méditerranéens. Non contrôlés par les forces de l'ordre, ils échappent aussi aux centres d’accueil, toujours saturés, et s’abritent dans des squats.

Des mineurs délinquants relâchés faute de preuves

Plusieurs d’entre eux, de 13 et 14 ans, ont ainsi été interpellés ces derniers jours en possession de portables volés ou de bijoux. Au cours d’un vol en réunion, l’un d’eux a sorti un couteau face à ses victimes. Mais faute de preuves ou de flagrant délit, les jeunes délinquants sont souvent libérés avant une éventuelle convocation judiciaire.

 

Le quotidien régional rapporte même le cas de trois adolescents, dont l’un prétend avoir 10 ans, surpris en train de fracturer à coups de pioche une maison du quartier de Celleneuve, à l’ouest de la ville. Ils ont été appréhendés et passeront prochainement devant le juge.

 

Source : valeursactuelles