Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 15 février 2017

Le gouvernement socialiste tente de minimiser le bilan des émeutes

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017

14 février 2017 par Pierrot

Selon le rapport confidentiel du préfet de police de Paris que s’est procuré Le Figaro, au moins 50 incidents dans une trentaine de communes en Île-de-France ont été recensés dans la nuit du 12 au 13 février, dont des violences sur policiers. Une «violence contenue» dans un «climat tendu»? C’est le moins que l’on puisse dire à la lecture de la dernière synthèse des faits de violence urbaine transmise par le préfet de police de Paris au ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux. Le Figaro a eu connaissance de ce document confidentiel, qui brosse sans fioritures le portrait d’une nuit d’émeute dans l’agglomération parisienne. Des événements survenus entre le 12 au 13 février et qui sont, pour l’essentiel, directement liés au climat inquiétant régnant dans les banlieues depuis l’affaire du viol présumé du jeune Théo, lors d’un contrôle d’identité le 2 février dernier, à Aulnay-sous-Bois. Ils témoignent de la difficulté du métier de policier mais aussi de l’implication des forces de sécurité dans ce combat harassant contre des délinquants souvent très jeunes qui pratiquent une forme de harcèlement en bandes organisées.

Première surprise: le bilan global des incidents de la nuit pour la seule région parisienne est sans rapport avec les informations délivrées au compte-gouttes par le ministère de l’Intérieur.


 lire la suite : contre-info

jeudi, 09 février 2017

Inadmissibles violences d'Aulnay-sous-Bois : les journaleux ont choisi leur camp, « l’évangile selon saint Théo »

 

« Qu’est-ce qui a motivé cette interpellation ? » Voilà la bonne question, celle par quoi il faut commencer, la seule qui vaille d'être posée : elle l'est ce matin du mercredi 8 février, sur France info, par un syndicaliste policier ; presque une semaine après !

Il n'y a pas encore de faits absolument et intégralement établis dans ce que l'on peut appeler « l’affaire d’Aulnay », car tout bouge tout le temps et France info nous apprend même qu'une personne chargée de l'enquête n'a pas encore visionné la totalité des vidéos ! On ne peut donc pas - pas encore... - prendre une position définitive et adopter la réaction qu'elle induit, puisqu'on ne sait pas encore avec certitude qui a tort, qui a raison ; qui dit la vérité, qui ment ; qui a fait quoi, et pourquoi.

Mais la cléricature médiatique n'en a cure : elle a déjà tout fait : le procès, la condamnation (des policiers, évidemment), et la béatification-canonisation de « Théo », adopté par l'ensemble des journaleux et appelé uniquement ainsi, affectueusement « Théo », alors que, normalement, toute personne possède un nom et un prénom, non ?

Dans l'état actuel des choses, il semble seulement avéré que, au cœur de « la cité des 3.000 » d'Aulnay, connue pour du trafic de stupéfiants, quatre policiers patrouillent, le jeudi 2 février, quand une dizaine d'individus poussent le cri bien connu : « ça pue », qui avertit les guetteurs de l'arrivée des forces de l'ordre.

Les quatre agents parviennent à contrôler une dizaine de personnes sur les lieux. L'une refuse et rapproche son visage d'un des policiers en geste de défi. Le policier repousse l'individu fermement, et c'est à ce moment précis que le « jeune » - finalement interpellé - aurait attrapé l'un des policiers par le col, puis lui aurait tenu, en criant, des propos injurieux ; il lui aurait donné un coup de poing sur la pommette gauche. Les quatre agents décident alors de le prendre à part pour l'interpeller. L'un d'entre eux le ceinture mais le jeune homme se débat « très violemment ». C'est à ce moment-là qu'un des agents aurait sorti sa matraque télescopique « pour frapper Théo aux jambes », « pour l'empêcher de donner des coups de pieds ».

Après, il est clair qu'il s'est passé quelque chose. Il est non moins clair qu'il faut attendre que Justice et Police établissent définitivement la matérialité des faits avant de réagir. 

Cependant, on peut d'ores et déjà affirmer deux choses.

1. La réaction tribale des « jeunes » des cités est absolument inadmissible, et montre une fois de plus à quel degré de décadence nous en sommes arrivés. Les nuits de destruction systématique de mobilier urbain (que nous payons par nos impôts), d'incendie de véhicules particuliers (appartenant à des gens qui n'ont rien à voir avec « l’affaire ») le font comprendre aux plus obtus, aux plus aveugles, aux plus sourds : il y a chez nous, dans ce qui est encore notre « douce France », des centaines, des milliers de « zones de non-droit » où la racaille fait ce qu'elle veut, quand elle veut, comme elle veut... Et, bien sûr, cela n'est pas normal. Quel que soit l'évènement auquel on se réfère, aucune bande - ici, ethnique - ne devrait pouvoir mettre un morceau de France à feu et à sang. A Sevran, Villepinte, Clichy (communes voisines d'Aulnay) des chariots de supermarchés remplis de bouteilles pleines d'essence sont jetées n'importe où sur n'importe quoi. Bravo les « jeunes » ! Les réparations, après, c'est nous qu'on paye...

Le Système, qui mène depuis 1975 la suicidaire politique d'immigration-invasion que l'on sait ne fait que récolter ce qu'il a semé... mais dont il nous impose les conséquences désastreuses. 

2. La réaction des journaleux est révélatrice : alors que les déclarations du « jeune » interpellé ont varié à plusieurs reprises (des « déclarations évolutives » !) les journaleux ont adopté le jeune « Théo » et ne parlent plus de lui que de cette façon, amicale, chaleureuse, affectueuse : « Théo ». On dirait un membre de la famille, un petit frère ! Deux paysans français se suicident chaque jour, mais, là, les journaleux n'en parlent pas. Et, a fortiori, ne les appellent pas par leur prénom. Pourquoi cette hâte, alors que « l’affaire » n'est pas encore totalement élucidée, à prendre parti pour « Théo », cet amour pour « Théo », « Théo » par ci, « Théo » par-là : franchement, cette affection soudaine est louche, quand on connaît les opinions des journaleux, qui confondent si volontiers carte de presse et carte de parti (de gauche, et immigrationniste, évidemment). Rien que cela suffirait à rendre le « jeune » interpellé suspect...

Dernière chose : dite par l'interpellé plusieurs jours plus tard, les accusations d'insultes racistes (« bamboula » et autres) n'ont plus été reprises par lui, ensuite. Il y a fort à parier que SOS Racisme ou le Cran, dès le début de l'affaire, le 2 février, auraient hurlé à la mort si ces insultes avaient bien été proférées. Là c'est silence radio, qui équivaut à un aveu : l'interpellé a menti. Curieusement, depuis, il ne cesse même d'appeler au calme.

Bizarre, bizarre... Vous avez dit bizarre ? 

 

Source : lafautearousseau

samedi, 31 décembre 2016

Violences et menaces de mort à la Mie Câline : le recours aux caméras de surveillance

Publié par Guy Jovelin le 31 décembre 2016

L'intérieur de l'établissement s'est rapidement transformé en champ de bataille où des objets ont volé./Photo DDM
L'intérieur de l'établissement s'est rapidement transformé en champ de bataille où des objets ont volé./Photo DDM

L’affaire de la violente altercation survenue mardi à Cahors entre une cliente et des vendeuses de la Mie Câline, que nous relatons dans notre édition de ce jour, prend de nouvelles proportions.

À l’instar des responsables de cet établissement, la cliente impliquée dans ce dossier très sensible a également porté plainte au commissariat de Cahors. Elle ne nie pas les menaces de mort qu’elle a proférées à l’encontre des vendeuses, ni sa phrase choquante où elle annonçait qu’elle reviendrait et «poserait une bombe». Dans le contexte actuel, chacun comprend aisément que ce type de menace verbale puisse profondément choquer et attiser les peurs.

En revanche, cette cliente assure qu’il y a eu un échange de jets d’objets la blessant au visage et qu’elle n’est donc pas la seule à avoir agi ainsi. La responsable du personnel de l’établissement confirme que l’une des vendeuses a en effet riposté. «Elle s’est simplement défendue», assure-t-elle.

La cliente ne décolère pas. Elle a justifié son attitude en indiquant que l’une des vendeuses lui avait, par erreur, servi un sandwich contenant du porc. «Je suis d’origine maghrébine», lâche-t-elle. L’enquête de police fera toute la lumière sur ce dossier. Les caméras de surveillance livreront aussi leur vérité et la justice tranchera. Mais les services compétents n’indiquent pas, pour l’instant, que les protagonistes de cette affaire auront à s’expliquer à la barre d’un tribunal.

vendredi, 02 décembre 2016

Les francs-maçons vont célébrer la loi de 1905 et ses violences contre les catholiques

Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2016

par 1 décembre 2016 

fm-10dec2016

Les différentes obédiences maçonniques ont l’intention de célébrer ensemble le 111e anniversaire de la loi de 1905. Pour l’occasion, ils sortiront sautoirs, cordons, tabliers en peau de cochon et autres éléments de déguisement sortis de la panoplie des forces occultes.

Mais qu’ont-ils réellement l’intention de fêter ce jour-là ? Les persécutions anti-catholiques dont ils ont été les initiateurs. A l’époque, le gouvernement maçonnique n’a pas hésité à envoyer l’armée contre les catholiques. Des gendarmes ont enfoncé les portes d’églises. Des baïonnettes ont été pointées contre les poitrines des catholiques. Des tirs ont fait couler le sang des catholiques. 

Voilà ce que fêtent ces obédiences maçonniques.

1905-1

1905-2-armee-enfonce-portes-eglises

1905-3-inventaires

 

Source : medias-presse.info

samedi, 30 janvier 2016

Toulouse : les enseignants du collège George Sand cessent les cours après de nouveaux incidents

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2016

Lassés par les incivilités après un nouvel incident et face au "manque de moyens", les enseignants du Collège George Sand ont décidé de ne pas assurer les cours ce vendredi 29 janvier et de demander au rectorat d'intervenir. Le collège George Sand à Toulouse © Google

© Google Le collège George Sand à Toulouse

 
Situé en Réseau d'Education Prioritaire renforcé (REP+), le collège George Sand, dans le quartier de la Cépière à Toulouse, est au bord de l'implosion. Ce vendredi 29 janvier, après un nouvel incident dans une classe, les enseignants ont décidé de cesser les cours et de se rendre en délégation au rectorat d'académie de Toulouse.

"Au bout du rouleau"

"On est au bout du rouleau, a confié un enseignant à France 3 Midi-Pyrénées. Nous vivons presque chaque jour des incidents, de la violence, avec des débordements dans les cours, des bagarres entre élèves, des enseignants menacés verbalement ou physiquement. Il n'est pas rare qu'un enseignant prenne un coup en voulant séparer des élèves qui se battent". Au-delà des enseignants, c'est toute l'équipe pédagogique et le personnel de l'établissement qui ne peut plus supporter ce climat. 

La question des moyens en zone d'éducation prioritaire

Les enseignants ont donc décidé de porter la situation hors des murs du collège, en cessant les cours (les élèves ont tout de même été pris en charge ce vendredi après-midi par les autres encadrants du collège) et en se rendant au rectorat. "Il faut que le rectorat trouve une solution, a poursuivi l'un des enseignants. Nous manquons de moyens d'encadrement alors que nous sommes en REP+. Au rectorat de nous dire ce qu'il peut faire pour notre collège"

Un audit participatif

Après leur entrevue avec l'inspecteur d'académie, le personnel du collège George Sand a décidé de reprendre le travail lundi. De son côté, l'éducation nationale annonce un "audit participatif" dans les semaines qui viennent pour trouver des solutions à cette violence. Les enseignants seront "vigilants" et souhaitent que cet audit débouche rapidement sur des moyens pour régler ces problèmes. 
 

Exaspérés par la violence les enseignants n'ont pas fait cours ce vendredi après-midi.

 

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/