Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 27 janvier 2016

Modernes gorgones

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2016

Randa Ph 2.jpgLa chronique de Philippe Randa

L’humanité est riche en monstres, c’est un fait, mais il est toujours déroutant de découvrir qu’en ce domaine, la parité n’a pas attendu le politiquement correct actuel pour s’imposer… Le dégoût est forcément plus grand encore quand l’inadmissible est commis par des êtres d’un sexe qu’on pense trop souvent à tord faible, alors qu’il peut se révéler particulièrement ignoble.

La preuve par ces trois femelles – peut-on les appeler autrement ? – âgées de 16 et 17 ans, en « stage d’apprentissage professionnel » dans un établissement pour personnes âgées d’Annet-sur-Marne : non seulement, elles excellèrent à martyriser « dès le premier jour » de leur stage des personnes handicapées, certaines atteintes d’Alzheimer, mais cherchèrent ensuite les lauriers d’une gloire douteuse en postant sur la plateforme Snapchat pas moins de 33 vidéos de moins de 20 secondes de leurs turpitudes…

Diffusés et visionnés 340 fois en 48 heures, ce sont des internautes écœurés par la violence des images qui ont alertés la gendarmerie.

Mises en examen vendredi pour violences en réunion avec préméditation, diffusion sur internet de scènes de violence et atteinte à la vie privée, les trois gorgones ont été placées sous contrôle judiciaire…

On savait depuis Michel Audiard que « les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! »… Mais désormais, il est certains que les dégénérés, eux, n’ont pas de limites… et qu’il n’y a qu’à visionner leurs « exploits » sur les réseaux sociaux pour en être convaincus !

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

mercredi, 17 juin 2015

Avant le ramadan et les vacances, trois nuits d’émeutes à Toulouse en une semaine

Publié par Guy Jovelin

 

 

Ce ne sont pas encore les vacances scolaires, la fête majeure de l’occupant n’est officiellement pas encore commencée, mais les colons s’échauffent déjà dans les quartiers envahis de Toulouse. Les policiers ont affronté plusieurs dizaines de jeunes dans la ville Rose (?) lundi soir durant plus d’une heure. Pour la troisième fois en une semaine, une patrouille a été attaquée, dans ces petits actes de guerre “civile” que leur République a toléré durant des années, et qui annoncent de durs réveils pour la police du régime comme pour la population qui a soutenu les gouvernements d’occupation.

Lundi, les problèmes ont commencé quand une patrouille de police a tenté de procéder au contrôle de délinquants routiers. Quand le contrevenant a été immobilisé, une trentaine de racailles sont arrivées et ont insulté, puis caillassé violemment les policiers. L’arrivée d’une patrouille de la brigade anti-criminalité (BAC) en renfort n’a pas permis de calmer la situation.

Les étrangers ont continué leurs attaques jusqu’à parvenir à faire exploser le pare-brise de l’un des véhicules et blesser l’un des fonctionnaires. C’est alors qu’une trentaine de racailles ont attaqué en corps à corps les policiers qui s’étaient réfugiés dans un recoin. Ces derniers ont tiré à plusieurs reprises avec leurs lanceurs de balles de défense (une trentaine de coups ont été tirés au total dans la soirée), sans parvenir à se dégager.

Seule l’arrivée de nombreux renforts a permis aux policiers de s’échapper et d’éviter un lynchage plus grave. Il a tout de même fait deux blessés parmi les forces de l’ordre (?) républicain au Mirail. Il y a quelques jours des faits similaires se sont produits déjà au Mirail et dans un autre quartier envahi, à la Reynerie.

Il n’y a eu, du préfet au ministre, aucune réaction, d’aucun officiel, ces émeutes de plus en plus violentes, de plus en plus nombreuses, de plus en plus développées sur le territoire n’intéressant visiblement aucun des grands dirigeants politiques.

Source : http://www.jeune-nation.com/actualite/actu-france/20166-a...

dimanche, 19 avril 2015

Harcèlement sexiste dans les transports : de quoi parle-t-on au juste ? (par Marie Delarue)

 Publié par Johanna

 

 

Notre ministre de la Santé Marisol Touraine et sa collègue Pascale Boistard, chargée des Droits des femmes, ont demandé au Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEFH) un rapport sur ce douloureux problème. Résultat de l’enquête : « Toutes les femmes ont été victimes au moins une fois dans leur vie de harcèlement sexiste ou d’agression sexuelle dans les transports en commun. » Et « dans la moitié des cas, les victimes sont mineures lorsqu’elles subissent leur première agression ».

« Les violences doivent d’abord être nommées pour que tout le monde en prenne conscience », répète Danielle Bousquet, la présidente du HCEFH. Car les femmes n’en sont pas assez conscientes, à ce qu’il paraît, et acceptent trop souvent les injures qui se banalisent. Et de rappeler qu’« un homme qui traite une femme de “salope” encourt pourtant six mois de prison et 22.500 euros d’amende ». Sauf, bien sûr, s’il s’appelle Nicolas Bedos et qu’il injurie Marine Le Pen, auquel cas c’est évidemment de l’humour. Pour la main aux fesses qui est assimilée à un viol, c’est 5 ans de prison et 75.000 euros d’amende.

Du coup, il paraît que les femmes « adaptent leur comportement ». Certaines renoncent à la jupe – mais bien peu au short, ou alors j’ai une très mauvaise vue ! – ou bien « restent debout pendant le trajet et ne s’assoient jamais à côté des hommes », écrit Libération. C’est peut-être parce que leur jupe est tellement courte qu’elles auraient les fesses à même la banquette sale, mais bon, hein, on ne va pas chipoter…

Bref, ces « violences entravent la libre circulation des femmes qui sont contraintes de s’adapter à ce système machiste. On leur refuse le droit d’être librement dans l’espace public », assène madame Bousquet.

Comme j’ai mauvais esprit, je vais poser une question : quelle est la limite du « librement » ? Qui harcèle, pourquoi, et comment ?

Hier, il faisait chaud dans Paris. Parfois très chaud, même… Une jeune femme attendait près de moi sur le quai du métro. En short. Un jean découpé frangé très très haut, laissant apparaître un bon huitième de fesse à l’arrière, et comme il bâillait sur l’avant, elle avait, selon l’expression imagée d’autrefois, « le divertissoir » parfaitement aéré.

Avec cela, l’air hautain. Celui, blasé, de la fille qui n’en peut plus d’être admirée. Semblable aux décharnées cagneuses qui défilent sur les podiums, elle entendait montrer que la beauté est un lourd fardeau à porter. Sifflée peut-être, regardée sûrement – y compris par moi-même -, j’imagine qu’elle est aujourd’hui une fervente militante de la lutte menée contre « le harcèlement sexiste et les violences dans les transports en commun ».

Je sais, on va me répondre qu’une femme peut bien se promener nue sous sa robe transparente si ça lui chante, qu’elle est libre de son image et de son corps et qu’il faut être tordu pour y voir l’once d’une provocation. C’est juste pour respirer à l’aise. Soit.

Simplement, on ne peut nous bassiner à longueur de temps avec la société « multiculturelle » et ignorer ce que cela implique. J’explique : pas un guide touristique qui ne mette en garde contre les tenues « indécentes » quand on part dans les pays du Maghreb et au-delà. Et pour tous, ou presque tous, les ressortissants de ces pays qui arpentent aujourd’hui nos rues, bien des femmes occidentales sont des p… Parce qu’elles en arborent, à leurs yeux, tous les codes, à commencer par la tenue. Et comment des hommes qui n’ont jamais vu leur mère sans son voile, et surtout pas leur femme nue, pourraient-ils considérer autrement une fille qui prend le métro les fesses à l’air et les seins itou ?

Résultat : d’aucuns rêvent de créer l’apartheid dans les transports : 35 ans après avoir supprimé la 1re classe dans le métro, on songe maintenant à y séparer les hommes et les femmes. Quel progrès !

Source

samedi, 21 février 2015

ZAD, violences policières: manifestations tendues à Nantes et Toulouse

 Publié par Guy Jovelin

mardi, 17 février 2015

Nuits d’émeutes à Romans-sur-Isère

 Publié par Guy Jovelin

 

Une jeune racaille maghrébine de 14 ans est décédée dimanche matin à Romans-sur-Isère en fuyant une patrouille de police. Il est mort lorsque le véhicule qu’il conduisait a percuté un arbre à vive allure après avoir notamment grillé un stop. Son passager a survécu et a même tenté de prendre la fuite à pied.

Les faits se sont déroulés dans le quartier envahi de la Monnaie où depuis se sont produites des violences. Des conteneurs à poubelles ont notamment été incendiés pour bloquer une route. Le même quartier avait été l’objet en 2008 d’émeutes créées par les occupants après la mort d’une autre racaille dans des circonstances semblables.

Source