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dimanche, 07 septembre 2014

Communiqué de PISS CHRIST FORA

Publié par Guy Jovelin

 Communiqué de PISS CHRIST FORA

Ce mercredi 3 septembre, François Veyret-Passini effectuait son neuvième jour de grève de la faim, dont l'objectif est d'obtenir le départ de Corse du « piss Christ », la pseudo-œuvre d'art du photographe américain Andres Serrano, exposée au musée Fesch d'Ajaccio depuis le 27 juin, et en théorie jusqu'au 29 septembre. Lire la suite

De Lavrilleux en Thévenoud : les mauvais comptes de l’UMPS

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Publié par Guy Jovelin

L’étrange double standard moral de l’UMP L’UMP, qui refuse de limoger Jérôme Lavrilleux, le discret mais tenace eurodéputé du Parti populaire européen (PPE), toujours membre de l’UMP alors qu’il a …

Source :http://jeune-nation.com/2014/09/8964-de-lavrilleux-en-thevenoud-les-mauvais-comptes-de-lumps/

samedi, 06 septembre 2014

Cote d’impopularité : François Hollande bat un record vieux de plus de 35 ans

Publié par Guy Jovelin

Selon TNS SOFRES-SOPRA, la cote de popularité de François Hollande s’est effondrée de cinq points en un mois, à 13 % d’opinions favorables, le plus bas niveau historique jamais atteint par un président depuis 1978. Dans l’enquête du CSA, François Hollande recule de 4 points en un mois à 19 %.

Son premier ministre subit un recul encore plus violent, -6 points à 31 % selon le CSA, et -12 points chez les ouvriers et employés à 19 % d’opinions favorables. À l’inverse, il reste relativement populaire chez les cadres à 42 % (-1). Dans l’enquête TNS, il perd au total 14 points durant l’été, tombant à 30 % d’opinions favorables. Seule Édith Cresson était tombée aussi bas après six mois à Matignon.

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Thomas Thévenoud doit quitter le gouvernement après avoir fraudé les impôts

Publié par Guy Jovelin

Le secrétaire d’État au Commerce extérieur, au Tourisme et aux Français de l’étranger  a « démissionné » selon l’Élysée ou a été contraint à « remettre sa démission » du gouvernement selon Matignon.

François Hollande, ajoutant un nouveau mensonge à son palmarès, a annoncé dans un communiqué le départ de son ministre soupçonné de corruption en prétendant que Thomas Thévenoud partait « à sa demande et pour des raisons personnelles ». Les services de Manuel Valls ont eux reconnu qu’il s’agissait d’une nouvelle affaire de corruption, précisant qu’il s’agissait d’un problème de « conformité [sic] avec les impôts ». Ce proche de Laurent Fabius aurait été confondu par les services fiscaux, pour avoir, au moins ces trois dernières années, menti sur ses déclarations de revenus.

Ce libéral de gauche, spécialiste des questions financières et économiques, avait été nommé en 2013 par les députés socialistes vice-président de la mission d’information sur la fraude fiscale et vice-président de la commission d’enquête sur l’affaire Cahuzac à l’Assemblée antinationale. Il y a quelques jours, il se vantait d’avoir voté en faveur la loi sur la transparence du patrimoine des députés.

« En cette période particulière, il faut aller au-delà du factuel et expliquer les choses aux citoyens : on n’est pas tous des Cahuzac ! » déclarait-il. Il pourrait retrouver rapidement son poste de député de Saône-et-Loire. Entre-temps sa famille continuera à vivre sur le dos des Français, sa femme étant elle chef de cabinet du président du groupe socialiste au Sénat, Didier Guillaume. Dans son dernier article paru sur son site www.thomasthevenoud.fr, Thomas Thévenoud faisait la promotion des ABCD de l’Égalité et de l’idéologie du genre.

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Cet égoïsme monstrueux et assassin… (par Marie Delarue)

 

Publié par Guy Jovelin

 

Se tenir, et tant qu’à faire se tenir bien. Se retenir surtout. Être maître de soi, de ses fureurs, de ses instincts. Par respect de soi-même et des autres, éviter les débordements et les cris. Voilà ce qu’on nous enseignait autrefois. Voilà, au temps des tweets et du triomphe de l’impulsion, ce qui n’existe plus.

Les faits du jour : sauvagerie à tous les étages. Des parents qui assassinent leur enfant et se livrent pendant dix jours à une mise en scène macabre, promenant une poupée dans son landau, chauffant des biberons pour la galerie avant d’inventer une fumeuse histoire d’enlèvement. Un adolescent qui se précipite en sang chez les voisins, dénonçant dans des propos incohérents un « crime de rôdeur » des plus improbables. Et puis une ex-première dame qui fait sous elle, qui chie sa haine en 300 pages comme l’autre lâche ses coups sur un nourrisson qui pleure, comme le frère exaspéré – ou jaloux lui aussi – a poignardé ses frère et sœur.

On peut juger le rapprochement osé. Il ne l’est pas. Tout cela relève du même mal : l’incapacité de tous ceux-là à penser plus loin que soi-même. Le père qui cogne le petit Loan, la mère qui s’en débarrasse comme on met les déchets au compost, l’adolescent de Moernach (Haut-Rhin) qui supprime ceux qui le gênent comme il le fait sur l’écran, Trierweiler qui confond l’État et la télé-réalité.

Interrogée par Yves Calvi sur RTL, la psychologue Sophie Marinopoulos assurait que l’assassinat du petit Loan témoigne de « la carence affective » des parents, soulignant qu’aujourd’hui « la famille est le lieu le plus violent de la société française ». La famille, ou le couple : je cogne, donc je suis.

Pour reprendre l’image prêtée au Président, la famille du petit Loan appartient aux « sans-dents ». Celles de madame Trierweiler sont immaculées et bien rangées. Le tribunal populaire accordera peut-être aux premiers le manque de discernement. Pas à la seconde.

Le petit Loan attend sa sépulture. Ses parents sont en prison, ses grands-parents disent qu’ils n’ont pas les moyens de payer les obsèques. La petite fille de Moernach est aujourd’hui sur la table d’autopsie. Son frère de 8 ans se bat contre la mort. Madame Trierweiler a eu un époux dont elle porte encore le nom et qui n’en demandait pas tant ; elle a trois fils, aujourd’hui de jeunes hommes qui doivent certainement, à l’heure qu’il est, affronter les quolibets. François Hollande a quatre enfants nés de son compagnonnage avec Ségolène Royal. Tous adultes, certes, mais qui doivent eux aussi subir la honte de cet étalage obscène d’une intimité qu’ils n’avaient pas à connaître.

Le commun dénominateur ? L’égoïsme, monstrueux. L’assouvissement immédiat des pulsions qui ne connaît rien d’autre que soi-même. L’ignorance de ce qui, au fil des siècles, a forgé la civilisation. La barbarie, en somme, chez les Groseille comme chez les Lequesnoy.

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