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mercredi, 28 mai 2014

« La prestation de Louis Aliot : Mots croisés du 19 mai 2014 »

Publié par Guy Jovelin

Franck.jpegLes interventions de M. Aliot dans l’émission « Mots croisés » ont eu le mérite d’éclairer le peuple français et les électeurs de la circonscription Sud-ouest sur le vrai visage de cette personnalité politique.

Certes il était seul face à une horde d’européistes, de gauchistes, ne lui laissant pas la parole.

En cela, bien que nous ne soyons pas « pro-Aliot » nous ne tirerons pas sur une ambulance !!

Nous critiquons M. Aliot du fait qu’il a trahit les fondamentaux du FN et s’est inscrit dans une logique de « dédiabolisation » mortifère pour tous les nationalistes !

Nous l’accusons à juste titre d’avoir épurer, vider toute la substance du Front National, ce qui fut sa spécificité originelle.

Lors de cette émission ses interventions furent certes combatives, mais les effets produits n’ont eu que l’effet d’un « pétard mouillé ».

Ce n’est pas en se montrant sûr de soi devant l’adversaire, que l’on triomphe ! Mais plutôt avec des arguments percutants et plausibles et les « armes » à la main !

Les participants de l’émission n’avaient aucune complaisance vis à vis du vice-président du FN.

Du débat, il ne ressortit qu’une cacophonie générale qui du reste, ne sert qu’a alimenter un  peu plus la désaffection des téléspectateurs pour la politique.

A quand une confrontation d’idées sereines, mais fermes, audibles, où  chaque téléspectateur pourra se faire une opinion précise des thèmes, idées, projets mis en avant ?

La politique a perdu ses lettres de noblesse ! Nous assistons à des jeux du cirque…

Rien d’étonnant à ce qu’une partie non négligeable du peuple préfère les séries de télé réalités.

Ces citoyens s’en trouvent « délestés » d’un point de vue intellectuel, leurs instincts sont « revigorés » virtuellement et ce pour le plus grand bonheur de ceux qui nous gouvernent !

Décidément la décadence française est en marche, à nous de réveiller promptement

notre peuple et de provoquer un électrochoc avant que ce processus ne soit irréversible.

Franck Pech responsable communication PdF 31

Laurent Joffrin de retour à Libération : vive la nécromancie ! (par Nicolas Gauthier)

Publié par Guy Jovelin

Les jours passent et se ressemblent ; en registre journalistique comme politique. L’UMP, c’est le PS ; et Le Monde, c’est Le Figaro. Ou l’inverse. Le bidule ne remonte pas à hier. François Mitterrand a bien démarré à l’Action française et Jacques Chirac à vendre L’Humanité sur le trottoir. Et du coup, tout le monde vote Front national.

Dans le genre flou, nous venons d’apprendre que Laurent Joffrin devrait bientôt revenir aux manettes de Libération. Comme un air de déjà-vu : il connaît les lieux, les ayant occupés plus d’une fois. Comme un air de trop vu, surtout. Franz-Olivier Giesbert, passé du Nouvel Observateur au Figaro pour ensuite rebondir au Point : faire le point sur le « Figarobs », en d’autre termes…

Bravo les gars : couillons interchangeables. Un jour à gauche, l’autre à droite, mais jamais en France. Plus grave : ce qui est l’évidence en journalisme devient aussi la triste réalité politique. Laurent Fabius parti au PS parce que les giscardiens ne pouvaient lui offrir une place éligible, etc.

Revenons-en à Joffrin, Mouchard de son vrai et si joli nom. Nom de son père, gestionnaire de la cagnotte du Front national. Joffrin qui, déjà tout petit, sautait sur les genoux du grand Jean-Marie. Remarquez, les histoires de famille, c’est comme la religion : on y croit dans le meilleur des cas ou, au pire, ça force le respect.

Pour le reste, personne ne semble comprendre que le monde qui nous entoure est un monde qui s’écroule. Où la presse écrite se meurt : qui lit encore Libération, si ce ne sont de petits profs à la retraite, coincés entre calvitie avancée et cancer de la prostate en progrès ?

Bref, des gens pas forcément indispensables ; qu’ils soient à la tête de journaux que personne ne lit plus ou de partis pour lesquels les Français votent de moins en moins. Libération, Joffrin ou pas, sera bientôt racheté par un fonds de pension oriental ou un de ces opérateurs téléphoniques dont les jours, eux aussi, peuvent être, à long terme, comptés.

Alors, bonne chance, petit Joffrin, pour ta énième nomination à la tête de Libération, charmant journal de petits vieux. Et à la prochaine ! À La Vie du rail ou Les Veillées des chaumières. En revanche, évite de pleurer sur le vote massif des Français pour le Front national. Tu sais, ces gens qui n’ont pas les moyens financiers d’être de gauche et qui, à leur manière, persistent à penser qu’en France, ils sont un peu chez eux. Et si Libération crève, ce sera toujours l’occasion de se réabonner à Spirou.

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Cannes, un palmarès dans la tradition : bons sentiments et auto-célébration

Publié par Guy Jovelin

La bulle cannoise a remis son palmarès 2014. Un événement, plutôt un non événement. Aussitôt célébrés, aussitôt oubliés, la plupart des films primés ne rencontrera pas le vrai public. Mais le festival s’en moque. Il a, pour le public, le même intérêt que les eurocrates européens pour les électeurs et le peuple. Cannes est une démonstration parfaite d’ailleurs de la vanité des fausses élites.

En fait, tout ce petit monde se prend, pendant quelques heures, pour le centre de la culture internationale et pour des maîtres à penser. Ils se connaissent tous, et seuls leurs amis, bien sûr, ont du talent. C’est presque toujours de la cooptation pour élargir un peu, mais pas trop, le cercle des « happy few ». Tout cela est rendu possible par une collaboration  médiatique qui fait de ce rassemblement une vitrine mondiale.

Cannes intéresse de moins en moins. Les audiences télés le prouvent, mais Cannes, c’est comme Libération… ce n’est pas fait pour les « gens », c’est fait pour des cercles d’influence. Cette année le festival a trouvé sa « bonne cause ». Une récompense partagée entre un jeune et un vieux, la lutte contre ceux qui n’aiment pas les jeunes ou se détournent des vieux, au nom du talent qui réfute toutes les exclusions et tous les racismes seraient-ils d’âge. Tout le monde savait donc depuis trois jours que ces deux là seraient récompensés, forcément récompensés, mais Brassens sur les conflits d’âge a depuis longtemps réglé les problèmes, « le temps ne fait rien à l’affaire quand on est con, on est con. »

Quant à la palme d’or, elle récompense un  film à vider les salles au bout de 20 minutes de projection. Pour avoir une récompense à Cannes, il faut, parfois, savoir être emmerdant et le faire passer pour de la philosophie cinématographique. Un  film « chiant » si l’on en croit les internautes qui sont allés le voir et qui ne sont pas restés jusqu’au bout.  Un hiver interminable de plus de 3 heures, bon courage.

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mardi, 27 mai 2014

COMMUNIQUE DE PRESSE de Carl Lang Président du Parti de la France : Après le rejet, la colère et la sanction ; Le nécessaire référendum

                                                                                    

 Publié par Guy Jovelin

colère,référendum,rejet,union européenneLe fantôme du Non du peuple français au référendum de 2005 sur le projet de Constitution européenne vient de sortir de sa boîte. En mai 2005, 54,7% des Français refusaient la ratification d’une Constitution européenne et pourtant cette Constitution transformée pour l’occasion en Traité européen de Lisbonne se trouvait validée par le Parlement réuni en Congrès. Près de dix ans plus tard, la politique du mépris des peuples menée par la caste de Bruxelles et par les partis euro-fédéralistes vient d’être lourdement sanctionnée lors du scrutin européen d’hier.

Les dirigeants et fonctionnaires de l’Union européenne et la classe politique des partis de gouvernement en Europe n’ont pas vu venir le vote de colère et de rejet qui s’est exprimé hier dans les urnes.

En France, le ras-le-bol cumulé des échecs lamentables de la gauche, des divisions et des affaires de l’UMP ajoutés à l’inefficacité ou à la nocivité des politiques européennes ont fini par provoquer un immense écœurement de l’opinion, puis le rejet et la colère.

Le vote de rejet de l’Europe de Bruxelles et de ses politiques ainsi que le vote de colère contre les partis de gouvernement  viennent de s’exprimer clairement, d’une part avec une abstention massive de près de 57% et d’autre part avec un cumul des voix anti européennes à près de 30% des suffrages exprimés.

Et maintenant, après le rejet, quel projet ?

Les Français souhaitent-ils jeter le bébé de l’idée européenne avec l’eau du bain de cette Union européenne là ? Personne, parmi les partis médiatiquement autorisés n’a défendu durant cette  campagne le projet d’une grande Europe européenne des patries, des nations souveraines et des peuples libres, fière de son héritage historique, de ses frontières, de ses valeurs de civilisation, de ses racines chrétiennes, d’une Europe indépendante refusant la soumission au nouvel ordre mondial et refusant la destruction de ses identités culturelles et historiques par la politique criminelle de colonisation migratoire et islamiste. Une Europe matérialiste et nihiliste, sans identité et sans âme n’a en effet pas plus d’avenir que les nations et les peuples qui n’ont plus eux-mêmes ni mémoire, ni identité, ni fierté. Ajouter le néant historique au néant des valeurs ne constituera jamais une force.

Si le choix ne se résume plus qu’à un non choix entre l’Europe de Bruxelles et l’Europe de Bruxelles, alors, après le désastre électoral de son camp, le Président de la République se doit d’interroger le peuple français par référendum sur la question de savoir si la France doit ou non rester membre de l’Union Européenne. Les partis politiques et les citoyens  assumeront ainsi clairement leurs choix et leurs responsabilités.

Communiqué suite aux élections européennes

Posté le 26 mai 2014 par Guy Jovelin

 Par l’abstention comme par le résultat exceptionnel du Front national (le score souverainiste avoisinant au total les 30%), le peuple français a manifesté clairement son rejet de l’européisme qui sévit depuis plusieurs décennies. C’est aussi un rejet de la politique menée en France, comme le confirme la gifle que reçoit le parti au pouvoir. C’est enfin un rejet de l’oligarchie en place, un rejet du discours faussement moralisateur tenu par les médias, l’épiscopat français ou les puissances financières.

Plus généralement, c’est le funeste concept d’un « sens de l’histoire » porteur d’un inexorable mondialisme (et dont l’Union européenne est un marche-pied), qui essuie un cinglant revers.

Il n’est pas vain de prêcher à temps et à contretemps que la nation est un fait et un bienfait, une réalité que l’humanité ne saurait nier sans payer le prix des utopies.

Les bonnes nouvelles de ce dimanche, en France et dans d’autres pays d’Europe, doivent fortifier l’espérance et la volonté combative des nationalistes, décidés à réveiller leur peuple et remettre à l’honneur non seulement l’indépendance de la nation, mais son identité et sa civilisation.

Ce travail d’avant-garde, fondé sur le triptyque formation-information-action et dont les fruits ne sont pas toujours directement sensibles, doit être intensifié jusqu’à la restauration d’un Etat digne de ce nom, un Etat nationaliste et chrétien, seul à même de régler les problèmes qui se posent à la France et aux Français.

Alors que le vent de la révolte commence à souffler à travers l’Europe, hissons toujours plus haut les voiles du renouveau national !

Thibaut de Chassey

Source : http://www.renouveaufrancais.com/