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vendredi, 31 août 2018

Le banquier contre les Gaulois

Publié par Guy Jovelin le 31 août 2018

Rédigé par notre équipe le 30 août 2018 

Emmanuel Macron s’est distingué à plusieurs reprises pour ses dérapages incontrôlés contre les Français. Pas assez riches pour beaucoup, pas assez ouverts à la modernité macronienne, trop Français en un mot. Monarque républicain et surtout roi du mépris, Macron a récidivé hier avant de plaider pour le « trait d’humour ». Une gauloiserie qui ne passe pas et qui montre que le locataire de l’Elysée est en pleine crise de nerfs.  

Alors qu’il fait la tournée des popotes en Europe du nord, Emmanuel Macron a eu la mauvaise idée de parler des Français. Il se croit légitime et capable, mais comme à chaque fois, dès qu’il sort de ses réformes en forme d’usine à gaz, Macron perd le contrôle et en vient à insulter les Français. C’est donc depuis le Danemark que les gueux que nous sommes avons été remis à notre place. Une place extrêmement lointaine qui nous range au même niveau que nos ancêtres les Gaulois.

Le banquier sans racine veut l’or des Gaulois

Se prêtant au jeu des comparaisons entre les peuples, Macron déclare le plus sérieusement du monde : « Il ne s’agit pas d’être naïf, ce qui est possible est lié à une culture, un peuple marqué par son histoire. Ce peuple luthérien, qui a vécu les transformations de ces dernières années, n’est pas exactement le Gaulois réfractaire au changement! Encore que! Mais nous avons en commun cette part d’Européen qui nous unit ». Dans l’esprit de Macron, les Français sont de tels beaufs qu’ils peuvent être rangés directement à côté de peuples qui ont foulé la terre de France il y a 2 000 ans. L’insulte est d’autant plus grave que le terme « gaulois » est devenu une des expressions favorites de toutes ces « chances pour la France » qui exècrent notre pays tout en croquant ce qu’il reste du fruit français.

Bref, Macron insulte le peuple qu’il est censé dirigé et face à la polémique légitime. Le jeune politicard plaide 24 heures plus tard pour le trait d’humour. De l’humour que ne peuvent pas comprendre les Français puisqu’ils sont des beaufs, « analphabètes » pour beaucoup, doublés de « fainéants » au « cynisme » affligeant. Le tableau dressé ces derniers mois par Macron n’est pas reluisant. Pourquoi donc avoir voulu gouverner un tel peuple ?

La réponse est simple ! Pour lui faire les poches ! Les Français (ou Gaulois, c’est au choix) sont pris à la gorge et au porte-monnaie par Bercy. Le ministère où a régné Macron avant son opération Elysée. Le même ministère qui a lancé le haschtag « gauloispasréfractaire » sur Twitter ! Le mépris envahit toutes les maisons où passe Macron. La couardise aussi, car après plusieurs heures, Bercy a retiré son message insultant. Ça sent la petite frappe à plein nez. Insultes de loin et victimisation en guise de pseudo excuse.

Les mots ont leur importance. Les actes aussi. Ainsi Macron a montré depuis longtemps qu’on peut insulter un peuple avec des décisions. La dernière en date ? La nomination de Philippe Besson au poste de consul de France à Los Angeles. Une nomination qui prend la forme d’un gros doigt d’honneur aux Français qui voient que les amis du couple Macron sont choyés tandis que le peuple est méprisé. En Macronie, il y a deux camps. Celui des Gaulois et des losers est une masse qui ferait bien d’aller botter les fesses à une élite qui n’en peut plus d’elle même.

 

Source : 24heuresactu

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 31 août 2018

L’INSUPPORTABLE et INTERMINABLE ÉTÉ MACRONIEN. Après la rocambolesque et scandaleuse « affaire Benalla », - en fait « Lahcène Benahia, lieutenant-colonel de réserve dans la gendarmerie, comme moi je suis Evêque !-, il y a, enfin, comme un « air de rentrée », avec une odeur de cartables neufs pour des petites têtes de moins en moins blondes.


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Lesquelles vont se préparer pour  une longue année scolaire semée d’embûches : vous pensez, savoir lire, écrire et compter, quels exploits !  Les embouteillages  vont recommencer, comme les inéluctables  retards dans les transports en commun avec ses cavalcades d’usagers  qui n’en peuvent plus, ainsi que les inévitables rendez-vous syndicaux. Avec, au bout, d’inutiles et vieillissants cortèges d’appareils  militants. Sans oublier la certitude  d’un avenir plus difficile encore, pour les retraités. Merci qui ?... 
Mais tout ceci participe d’une routine. Mais, ce qui est plus grave, l’opinion va finir par s’habituer à une autre « routine » : celle des trop nombreux « faits divers » qui ont émaillé notre été français. Qu’on en juge : des dizaines et des dizaines d’agressions « diverses et variées», beaucoup de coups de couteaux assénés par des « déséquilibrés » qui, curieusement, crient à chaque fois « Allah Akbar ». Une épidémie ? Quand ce ne sont pas les allogènes eux-mêmes qui s’entretuent, comme à Alençon début août, en l’occurrence des Afghans. Le 29 juillet, c’était le jeune Adrien Perez à qui pourtant l’avenir souriait, qui périssait à Grenoble ,mortellement frappé par les frères El Habib, « des chances pour la France », comme aurait dit feu Stasi, ci-devant député-maire d’Epernay. A la fin du mois, c’est Kamel Salhi, licencié de la RATP, inscrit au FSPRT, le fichier des « apprentis terroristes »,  pour soupçon de « radicalisation », qui poignardait sa femme, sa sœur( ?) et une passante, en criant, là aussi, « Allah Akbar ». Dans la même période, à la sortie d’un match PSG/Angers joué au Parc des Princes, un jeune homme de 25 ans s’écroulait sur le quai de la station de métro Exelmans,  mortellement touché au thorax par une lame. Encore  l’acte d’un « dingue » ? En début de mois, le 8 août, un  autre étranger  égorgeait, apparemment sans raison, un passager du bus parisien 255, avant de prendre la fuite. Identifié, arrêté, mais jugé « psychologiquement instable », il pourrait échapper à la justice ! Le département de la Drôme, a lui aussi, connu  un  dramatique épisode du même tabac. 
Consulter la presse régionale aux pages des faits divers, c’est prendre un coup de massue quotidien et se démoraliser pour le reste de la journée ! 
Un bilan catastrophique 
Les violences « gratuites », pour un regard de travers, une « clope » refusée, un accrochage en voiture, sont de plus en plus fréquentes. Depuis le début de l’année, c’est de 170 à 173 000 actes de violence ( !) que la police et la gendarmerie ont enregistrés. Et encore, toutes les agressions ou tentatives de viols ou de vols, ne donnent  pas forcément lieu  à un dépôt de plainte. Les agressions sexuelles sont à la hausse, comme par exemple celles dont ont été victimes le 19 août à Nantes, plusieurs jeunes filles à la sortie d’une discothèque. Et  il ne semble pas que la pétroleuse en chef de Macron, Dame  Schiappa  ,s’en  soit émue . Quelques noms en bas de page, au mieux une « marche blanche » pour accompagner leur trépas, vite oubliées sauf de leurs proches, les victimes rejoindront l’immense répertoire  de celles et ceux qui sont tombés par la faute d’une justice laxiste, par l’absence d’un pouvoir politique,  hautain et indifférent, insensible, bref pour tout dire, inhumain. 
Un jeune Coq…. « Gaulois », vraiment ? 
Et pendant ce temps-là, notre jeune et sémillant Président de la République s’époumone sur les tréteaux, de Copenhague à Helsinki où il est en visite officielle, à étriller qui, Victor Orban, qui Mattéo Salvini, pour leur supposée  politique  « égoïste » face aux migrants, pour tout dire leur « populisme ». Ce que m’a confirmé Mr François-Xavier Lauch dans sa lettre du 30 juillet, en réponse à mon propre courrier du 26/6 interpellant justement le Chef de l’Etat sur  sa politique « immigrationniste » :-« Le repli des égoïsmes nationaux, Monsieur Emmanuel Macron en est profondément convaincu, porte le germe de la haine et de la division et il ne saurait l’accepter ». Voilà, vouloir défendre sa patrie contre une immigration sauvage, incontrôlée, illégale et illégitime,-combien de faux demandeurs d’asile ?-, c’est être porteur de « haine » ! Il en prend combien chez lui, Mr Lauch ? Poser la question, c’est deviner la réponse : aucun. « Faites ce que je vous dis, ne faites pas ce que je fais ! ». 
Et le même Emmanuel Macron de fustiger le mercredi 29 août, ces « Gaulois » que nous sommes, car nous serions hostiles à toute réforme. Le Président devrait savoir, lui, qu’il est contraire aux usages de commenter ou d’émettre une opinion sur la politique intérieure de son pays depuis une capitale étrangère. Nous  ferons respectueusement remarquer à notre « Coq en chef » que des « Gaulois », grâce à sa politique et à celle de ses prédécesseurs,  ne les oublions pas, et bien, il y en a…de moins en moins ! Une consolation dans tout cela, une cerise sur le gâteau en quelque sorte, c’est que Monsieur Hulot, à contre-courant, a enfin pris ses vacances ! 

Jean-Claude ROLINAT

jeudi, 30 août 2018

Gaulois réfractaires

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2018

 

 

Puisque Macron, avec sa morgue coutumière, affiche son mépris pour le peuple français,il nous rendrait service en retournant dans sa banque d'affaires. Ainsi, il pourrait se tenir loin des Gaulois réfractaires.

Faut-il brûler les « populistes » ?

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2018

 

 Article publié le 29.08.2018

   
Michel Garroté -- Les partis souverainistes, populaires et patriotiques d'un certain nombre de pays européens sont de plus en plus incontournables et ils bousculent le discours - pour l'instant dominant - des partis classiques de l'establishment politico-médiatique installé (des partis souverainistes, populaires et patriotiques accusés de "populisme" par les médiocres écrivassiers des castes médiatiques).
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Les principaux points communs à ces partis souverainistes, populaires et patriotiques sont le refus de la migration musulmane massive, l'opposition aux institutions européennes (qui ne proposent aucune réforme des Etats et de l'UE), institutions européennes jugées - à juste titre - autoritaires et liberticides, le conservatisme éthique (avec notamment leur opposition au pape François islamophile et immigrationniste), et, pour la plupart d'entre eux, un grand respect pour le président russe Vladimir Poutine.
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De plus, les partis souverainistes, populaires et patriotiques sont de plus en plus soutenus par le peuple car ils condamnent fermement le fait que des centaines d'Européennes et d'Européens sont violés et tués par des étrangers musulmans, des clandestins musulmans et des migrants musulmans, sans provoquer d’indignations médiatiques et sans provoquer des mobilisations chez les personnalités politiques. Bref, en résumé et en conclusion, notons que le "populisme" est devenu la seule alternative face aux puissants du moment sur le déclin.
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 29.8.2018

Il y a 60 ans, à Brazzaville, de Gaulle posait les jalons de la décolonisation de l’Afrique noire

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2018

Par  le 28/08/2018
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En visite en Afrique en août 1958, Charles de Gaulle souhaite rallier les colonies du continent en une Communauté qui donnerait une certaine autonomie à ses membres, dans le but d’éviter que ces territoires ne fassent sécession. Mais moins de deux ans plus tard, ces pays accèdent à l’indépendance.

 

«Il est naturel et légitime que les peuples africains accèdent à ce degré politique où ils auront la responsabilité entière de leurs affaires intérieures, où il leur appartiendra d’en décider eux-mêmes», lance le 24 août 1958 le général de Gaulle à Brazzaville, la capitale de l’Afrique équatoriale française (AEF), qui regroupait quatre colonies françaises d’Afrique centrale […]

La Croix


24 août 2018-24 août 1958, il y a exactement soixante ans, le général de Gaulle lançait, depuis le Congo, le processus de la décolonisation devant aboutir, deux ans plus tard, à l’indépendance des pays de l’Afrique équatoriale française (AEF) et de l’Afrique occidentale française.

Le général de Gaulle, alors président du Conseil de la IVe République française, prononçait le 24 août 1958 un texte fondateur de la décolonisation lors du voyage qu’il avait entrepris dans les territoires français d’Afrique. Devant une foule enthousiaste au stade Félix-Eboué, à Brazzaville, il énonçait les principes qui devaient régir les nouveaux rapports entre la France et son empire (autonomie interne, libre détermination des territoires, création d’un vaste ensemble politique, économique et de défense) et définissait, par la même occasion, les structures institutionnelles de la « Communauté », posant avec exactitude la question de l’indépendance.

Dans ce discours, le général de Gaulle balayait toute équivoque. Dans « ce qui était alors la capitale de la France libre », il parlait ouvertement, solennellement et à plusieurs reprises d’indépendance. « On dit, nous avons droit à l’indépendance. Mais certainement oui. D’ailleurs l’indépendance, quiconque la voudra pourra la prendre aussitôt. La métropole ne s’y opposera pas… Il est nécessaire que s’établissent de grands ensembles, économiques, politiques, culturels et au besoin de grands ensembles de défense. Mais au sein de cette communauté, chaque territoire aura l’entière responsabilité de ses affaires intérieures. Chacun aura le gouvernement libre et entier de lui-même », déclarait-il.

[…]

Congo actuel