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mercredi, 15 août 2018

Hulot ou le Don Quichotte de l’écologie française

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

Rédigé par notre équipe le 14 août 2018. 

Depuis son arrivée au Gouvernement il y a plus d’un an, Nicolas Hulot n’a pas crevé l’écran. Pourtant l’ancien animateur qui gagne des sommes folles grâce à la vente de gels douche connaît bien les ressorts du marketing TV. Mais quand il n’y a rien « à vendre » ou si peu, il est bon de rester discret. L’été 2018 venu, le petit Nicolas perd ses nerfs et s’en prend à Brigitte Bardot. Au moins, Hulot a compris que pour durer un peu en politique, il ne fallait pas s’en prendre aux puissants !  

La vie est un combat. Pour tous les Séguéla qui ont investi les premiers cercles du pouvoir, la vie de Nicolas Hulot est une réussite. Un personnage médiatique qui a fait du fric et qui peut se targuer de faire partie des ministres les plus riches du Gouvernement. Ne leur en déplaise, la vie n’est pas qu’un bilan comptable où les shampoings et autres produits dérivés Ushuaïa sont un sésame de réussite. Le succès vient avant tout des actes et du courage dont il a fallu s’armer pour les accomplir. Et à cet autre manière de voir les choses, Nicolas Hulot n’a pas du tout la carrure d’un golden boy.

Hulot n’ira pas à Saint-Tropez !

Longtemps courtisé par Sarkozy et Hollande, Nicolas Hulot a finalement succombé à Macron les yeux bleus. L’ancien monde devait remplacer l’ancien et l’écologie devenir la table de loi sur laquelle tous les textes devaient être ratifiés. Aucune décision qui aille dans le sens contraire d’une écologie bien comprise. Pourtant, après près de 15 mois passés à la tête du ministère de la Transition écologique et solidaire, le doute s’est installé. Plus exactement, il n’y a plus aucun doute quant à la capacité de Nicolas Hulot à avoir un réel impact dans les décisions du Gouvernement. Mis sur la touche par Macron et Philippe, il attend sagement qu’on vienne le chercher pour valider devant tout le monde des décisions qu’il semble à peine comprendre.

Chose inhabituelle, le ministre de papier prend le temps des vacances pour s’inviter sur les ondes et tenter de montrer qu’il est bien aux manettes. Et quand on lui reproche son inaction, il répond tel un politicien aguerri : « l’urgence, c’était hier » en parlant du climat. La lutte contre le réchauffement climatique est donc à ranger dans un musée (avec air conditionnée s’il vous plaît) et arrêtons d’embêter ce brave ministre pour qu’il remporte enfin un arbitrage au sein du Gouvernement. Hulot fait de son mieux et le mieux d’Hulot tend violemment vers zéro. Fermez le banc, il n’y a plus rien à discuter.

Comme tout le monde, Hulot prend le temps des vacances pour décompresser et se décharger du fardeau qu’il a sur les épaules. Il enchaîne les interviews quand surgit un entretien de Brigitte Bardot dans Var Matin. La défenseuse de la cause animale se permet de dire ce que tout le monde pense déjà en accusant Hulot d’être un « trouillard », un « lâche de première classe (…) qui agit comme s’il n’avait aucun pouvoir ». La vérité est dure à avaler surtout au moment où Hulot calmait ses nerfs. Du calme à la perte de contrôle il n’y a qu’un pas (Macron connaît bien) et le ministre décide de faire de Bardot sa tête de turc.

Très en colère, le ministre au bien maigre bilan s’invite sur Franceinfo et joue à celui qui parvient à des compromis grâce au dialogue : « Il n’y a rien de mieux et de plus utile qu’une conversation franche et spontanée, que visiblement Brigitte Bardot n’a pas souhaitée prolonger puisqu’à partir du moment où j’ai développé un certain nombre d’arguments, madame Bardot a préféré raccrocher ». Heu, ça c’est la version d’un ministre humilié par les propos d’une vielle dame qui ne se laisse pas faire et qui a laissé sur Twitter un savoureux message : « J’ai été réveillée, aujourd’hui dimanche 12 août à 10 heures du matin, par un coup de téléphone d’un Nicolas Hulot en rage me traitant de lâche, de mielleuse vis-à-vis du Président, m’avouant que ses dossiers étaient bloqués par l’Élysée et qu’il ne pouvait donc rien faire ». Confirmation éclatante qu’Hulot est un porte-clés, un grigri jupitérien, rien de plus. Le massage se poursuit : « Que personne d’autre que lui n’avait mis 30 années de sa vie à la protection de la planète et des animaux, ce à quoi j’ai répondu que depuis 46 ans ma vie leur était dévouée ».

Un ministre touché et bientôt coulé : « Il a proposé de prouver mon courage en venant avec lui réintroduire des ours dans les Pyrénées, je lui ai rétorqué que j’étais contre la réintroduction d’ours qui allaient se faire flinguer ! Et j’ai raccroché ». Quand la vérité est énoncée en place publique, les lâches rougissent de honte. Si jamais Hulot se sent mal après ce coup de chaud, libre à lui de retrouver Macron dans la piscine de Brégançon histoire de se refaire une santé.

 

Source : 24heuresactu

le 15 août : Assomption de la Vierge Marie, ancienne fête nationale en France.

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

Aujourd'hui, l'Eglise célèbre l'une des plus importantes fêtes de l'année liturgique consacrées à la Très Sainte Vierge Marie: l'Assomption. Au terme de sa vie terrestre, Marie a été élevée corps et âme au Ciel, c'est-à-dire dans la gloire de la vie éternelle, dans la pleine et parfaite communion avec Dieu.

Le vénérable Pape Pie XII, le 1er novembre 1950, définit solennellement ce dogme : «C'est pourquoi l'auguste Mère de Dieu, unie de toute éternité à Jésus Christ, d'une manière mystérieuse, par "un même et unique décret" de prédestination, Immaculée dans sa Conception, Vierge très pure dans sa divine Maternité, généreuse associée du Divin Rédempteur qui remporta un complet triomphe du péché et de ses suites, a enfin obtenu comme suprême couronnement de ses privilèges d'être gardée intacte de la corruption du sépulcre, en sorte que, comme son Fils, déjà auparavant, après sa victoire sur la mort, elle fut élevée dans son corps et dans son âme, à la gloire suprême du ciel où Reine, elle resplendirait à la droite de son fils, Roi immortel des siècles» (Const. ap. Munificentissimus DeusAAS, 42 (1950), 768-769).

 

Source : lesalonbeige

le 15 août 1945 : fin du procès du Maréchal Pétain.

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

Le Maréchal est condamné à mort, à l'indignité nationale et à la confiscation de ses biens, assortissant toutefois ces condamnations du vœu de non-exécution de la sentence de mort, en raison de son grand âge.

Le Maréchal qui a refusé de répondre et de reconnaître ce tribunal révolutionnaire, se lève et prend la parole :

« Au cours de ce procès, j'ai gardé volontairement le silence, après avoir expliqué au peuple français les raisons de mon attitude.

Ma pensée, ma seule pensée, a été de rester avec lui sur le sol de France, selon ma promesse, pour tenter de le protéger et d'atténuer ses souffrances. Quoi qu'il arrive, il ne l'oubliera pas. Il sait que je l'ai défendu comme j'ai défendu Verdun.

Messieurs les Juges, ma vie et ma liberté sont entre vos mains, mais mon honneur, c'est à la Patrie que je le confie.

Disposez de moi selon vos consciences. La mienne ne me reproche rien, car pendant une vie déjà longue, et parvenu par mon âge au seuil de la mort, j'affirme que je n'ai eu d'autre ambition que de servir la France. »

 

Source : lesalonbeige

Bonne question :

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

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Source :  synthesenationale

 

 

mardi, 14 août 2018

"Le halal une exigence pour vous et pour nous" Dans les rues de Toulouse.

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2018

 
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