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dimanche, 12 août 2018

Perpignan (66) : L’été de l’amour pour Salomé et Jean-Loup

Publié par Guy Jovelin le 12 août 2018

Par  le 11/08/2018 
Salomé Blechmans, 32 ans, raconte sa relation amoureuse avec Jean-Loup Carrenard, 37 ans. Tous deux sont cinéastes et vivent à Perpignan (Pyrénées-Orientales).

« Il n’y a jamais eu de drague ni de petits regards entre nous. Tout a été dans le dialogue, dans un rapport intellectuel. Alors, le jour où il m’a appelée pour me dire que je lui plaisais, je ne m’y attendais pas. Pourtant, je le savais au plus profond de moi, et je lui ai répondu : “Tu es mon âme sœur.” Je m’en souviens, j’étais dehors, il pleuvait, c’était très beau.

J’ai immédiatement saisi sa volonté de tout comprendre. Je suis tombée amoureuse de lui à cause de ça. J’ai eu un peu peur. Je me demandais si j’allais être à la hauteur. J’en avais le vertige. Moi, j’étais bordélique et irrationnelle. Lui, non. Si tu restes dans un couple classique, cela veut dire que tu te reposes sur l’autre pour ton propre bonheur, pour tes besoins sexuels. Et ça pète. Je dois arriver dans mon couple heureuse. […] »

Le Monde via fdesouche

Côte-d’Or : ces restaurateurs qui embauchent déjà des réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 12 août 2018

Par  le 12/08/2018

Sonia Cautain, à gauche, et Loïc Joninon (à droite), le futur gérant, encadrent Ayman Madany, Kamal Yah Ya et Gomaa Niazi Al Rachid devant le Café du Nord, à Arnay-le-Duc.
 

Alors que les hôtels et restaurants veulent pouvoir embaucher des migrants, cela existe déjà dans certains établissements de Côte-d’Or.

À Arnay-le-Duc, le Café du Nord confie régulièrement ses cuisines à des réfugiés, avec le soutien très actif du centre d’accueil temporaire service de l’asile (AT-SA) de Pouilly-en-Auxois. Une démarche pour favoriser l’insertion de ces migrants. Et le McDonald’s de Pouilly-en-Auxois, aussi, est une des entreprises partenaires. (…)

Lizzie Barriez, serveuse, Myriam Peronne, patronne, et Alexandre Jourdin, chef, entourent Aziz devant le restaurant L’Aubespin, de Montbard.

bienpublic.com


Côte-d’Or : face à une pénurie de main d’œuvre, des restaurateurs embauchent des réfugiés :

 

Source :  fdesouche

 

L’Union Européenne va consacrer plus de 60 millions d’euros à la jeunesse… tunisienne

Publié par Guy Jovelin le 12 août 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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L’agence de presse italienne ANSA signale les propos de Patrice Bergamini, l’ambassadeur de l’Union Européenne à Tunis :  « L’union Européenne investira plus de 60 millions d’euros pour soutenir le développement des activités des jeunes Tunisiens dans divers secteurs. »

« Je suis venu soutenir les efforts du ministère de la jeunesse et des sports, dans le cadre du partenariat UE-Tunisie visant à apporter un appui technique et financier au ministère pour la formalisation et la validation de sa vision sectorielle de la jeunesse », explique Patrice Bergamini, précisant qu’ « au-delà des efforts qu’on fait dans le domaine des start-ups, avec la mobilisation en début de l’année de 15 millions d’euros, et l’octroi de 61.000 micro-crédits aux jeunes pour démarrer leurs projets et de 2.000 bourses pour faciliter la mobilité des jeunes, on va consacrer plus de 60 millions d’euros pour accompagner le développement des activités des jeunes en Tunisie dans tous les secteurs. »

L’ambassadeur Bergamini a aussi rappelé la contribution de l’UE en matière d’instruction, au travers du financement de 25% des projets de construction et de restructuration des collèges et lycées en Tunisie.

Elle n’est pas belle la vie ?

 

Source : medias-presse.info

C’était un 12 août… Fort Chabrol

Publié par Guy Jovelin le 12 août 2018

Auteur : admin4

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Cet épisode rocambolesque a tant marqué l’opinion qu’il a engendré une expression dans le langage courant.

Il débuta le 12 août 1899, après que le président du Conseil Waldeck-Rousseau décida d’engager des poursuites contre les dirigeants des ligues nationalistes, accusés de complot contre la sûreté de l’État. Ce jour, les autorités firent arrêter des dizaines de nationalistes pour les traduire devant la Haute-Cour de justice, dont Paul Déroulède et les dirigeants de la Ligue des patriotes, ainsi que les chefs des Jeunesses royalistes.

Mais, le président de cette dernière, Jules Guérin, refusant d’obtempérer au mandat d’amener lancé contre lui, s’était retranché avec quelques camarades dans le siège du « Grand Occident de France » (slogan : « trois poings dans la gueule »), au 51 rue de Chabrol.

Quand les policiers se présentèrent pour l’arrêter rue de Chabrol, il leur lança, provocateur : « Pas question de nous rendre. Nous avons des cartouches et des armes. S’il le faut, nous ferons sauter l’immeuble ».

Sur l’ordre de leurs chefs, les gardes républicains se contentèrent de garder l’immeuble jour et nuit, persuadés que les « insurgés » vont se rendre rapidement, faute de nourriture. C’est compter sans les nombreux sympathisants antisémites et antidreyfusards de la capitale. La résistance s’organisa, et un appartement fut loué par des amis de Guérin dans un immeuble proche d’où le ravitaillement put être lancé vers le 51 rue de Chabrol. Malgré des pertes, une quantité suffisante de nourriture parvint aux mains des rebelles.

Et comme si cela ne suffisait pas, des colis furent jetés aux insurgés par les clients de l’omnibus à impériale qui, plusieurs fois par jour, passait dans la rue. Tout cela sous les clameurs enthousiastes de la foule venue nombreuse soutenir les Ligueurs.

Le 20 août 1899 de violentes bagarres éclatèrent entre nationalistes et révolutionnaires, aux abords de « fort Chabrol ». Tous furent refoulés par la police vers la rue Saint-Maur et c’est alors que des anarchistes saccagèrent l’église Saint-Joseph.

Les insurgés se rendirent le 20 septembre 1899, après trente-huit jours de résistance qui déchaînèrent la presse.

Le Sénat se constitua en Haute Cour de justice pour juger Déroulède, Guérin et soixante-cinq de leurs partisans, accusés de complot contre la sûreté de l’État.

Déroulède et son camarade André Buffet furent condamnés à dix ans de bannissement, Guérin à dix ans de détention. Tous les autres accusés furent acquittés, sauf le monarchiste Eugène de Lur-Saluces qui, une fois arrêté, fut condamné à cinq ans de bannissement.

 

Source : contre-info

L'autre barbouze de l'Elysée

Publié par Guy Jovelin le 12 août 2018

260px-Ludovic_Chaker_-_2018Ludovic Chaker est présenté par le Mondecomme «  l’autre conseiller secret de l’Elysée  ». Cet ami d’Alexandre Benalla occupe un poste inusité, celui de chargé de mission auprès du chef d’état-major particulier du président de la République. C’est la première fois qu’un tel poste est créé au sein de l’un des institutions les plus confidentielles du pays. C’est lui qui aurait supervisé le recrutement d’Alexandre Benalla comme directeur de la sécurité du candidat. 

Il fut candidat divers gauche en 2012 aux législatives pour les Français de l'étranger (Europe orientale, Asie orientale, Océanie). Éliminé au premier tour avec 1,99 %, il appelle à voter pour le candidat socialiste Marc Villard. Diplômé de chinois, passionné d’arts martiaux et marqué par les philosophies orientales, Ludovic Chaker, 39 ans, n’est ni militaire, ni fonctionnaire. Le Monde indique qu’il est officier dans la réserve opérationnelle de l’armée de terre depuis 2005. Ludovic Malik Chaker a été nommé sous-lieutenant dans la réserve opérationnelle du corps des officiers des armes, armée de terre, en 2005. Il a depuis lors été promu régulièrement, obtenant le grade de commandant en 2018, après avoir été inscrit au tableau d’avancement pour ce grade en 2017.

Durant la campagne, dans le groupe de travail sur la défense auquel il participait, il se présentait comme « ancien militaire, 44 ème régiment d’infanterie ». Le 44e RI est la structure administrative de rattachement des personnels militaires affectés à la DGSE, hors service action. Il est étonnant qu’un responsable d’En Marche ait ainsi fait état de cette appartenance. Selon Le Monde «  il aurait été un temps rattaché au Commandement des opérations spéciales (...) au service des «  actions indirectes  ».

Quelle fonction occupe-t-il auprès de l’amiral Rogel, chef d’état-major particulier du président ? Le mystère est total.

Ludovic Chaker fait partie du noyau originel de la République en Marche, au moment de la campagne. Il est un ami d’Ismaël Emelien, proche conseiller du Président. Selon une source bien informée, il s’est activé l’an dernier - avant et après l’élection - dans les milieux du renseignement, en vue de leur réorganisation. Une source ajoute qu’il aurait été engagé à l’Elysée, parce qu’il était « au chômage », mais qu’ « il ne fait rien » et qu’il est rarement vu à la Présidence...

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige