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lundi, 20 août 2018

« Aujourd’hui, la peur est dans le camp des policiers et non plus dans le camp des délinquants »

Publié par Guy Jovelin le 20 août 2018

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Entretien ce samedi 18 août 2018 avec Yves Lefèbvre, secrétaire général Unité SGP Police FO. Interrogé par RT France, le syndicaliste donne son analyse sur la polémique liée à l’utilisation des armes par la police dans un nombre croissant d’opérations :

 

dimanche, 19 août 2018

Pont effondré de Gênes: des « Allah Akbar » retentissent pour les 2 morts musulmans durant les funérailles catholiques

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2018

Nice-Matin en profite pour clamer que "l'extrême-droite gouverne l'Italie et que les étrangers sont les victimes de nombreuses violences". En sachant ce que subissent les Italiens de la part des migrants depuis des années, un tel commentaire est non seulement non professionnel mais démontre la nocivité de la presse de gauche et sa proportion à publier des fake-news.

 

Quatre "Allah akbar" ont retenti dans un silence respectueux lors d'une parenthèse ménagée en hommage à deux victimes musulmanes pendant les funérailles d'Etat catholiques après l'effondrement du pont de Gênes.

En présence de tous les plus hauts responsables de l'Etat et de dizaines de prêtres, un imam a mené quelques minutes de prière psalmodiée en silence et ponctuée de quatre "Allah Akbar" (Allah est le plus grand), conformément à la formule rituelle des prières funéraires.

(...)

Nicematin.com via lesobservateurs

France : Grenoble, ville dirigée par un maire rouge-vert, est devenue un «Chicago français», selon un syndicat policier

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2018

Une délinquance 63% plus élevée que dans les autres villes de France de la même taille. C'est une situation sécuritaire «catastrophique» que dénonce l'antenne du syndicat de police Alliance en Isère.

Le syndicat Alliance Police Nationale a dénoncé le 17 août l'insécurité «catastrophique» régnant à Grenoble, un «Chicago français», alors même que le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb était en déplacement à quelques kilomètres de là, dans le Vercors. Dans son communiqué, l'antenne iséroise du syndicat de police met en exergue «une délinquance 63% plus élevée» dans la cité alpine «que dans des villes de même taille». «Rien que sur ces quinze derniers jours, on dénombre plusieurs agressions au couteau et règlements de comptes par armes à feu, l'un des protagonistes ayant moins de seize ans...», relève-t-il.

Le syndicat souligne qu'avec d'«autres acteurs de la sécurité» (mairie, préfecture, direction de la sécurité publique), il avait «tiré le signal d'alarme» auprès du «gouvernement et des directions centrales», sans résultats. Alliance Police Nationale rappelle les propos du procureur de la République à Grenoble, Jean-Yves Coquillat, qui avait affirmé il y a un an n'avoir «jamais vu une ville de cette taille aussi pourrie et gangrénée par le trafic de drogue». Déplorant que le ministre Gérard Collomb «ait préféré se consacrer à la sécurisation des activités sportives et à l’air pur du Vercors plutôt qu’à l'atmosphère beaucoup moins vivifiante de la cité grenobloise», le syndicat affirme que trente postes ne sont pas pourvus sur la ville, «sans perspective de renfort sur les prochains mois». Selon lui, les policiers démotivés «sollicitent leur mutation, faute d'attractivité pour les retenir». Il demande notamment que le bassin grenoblois «soit considéré en secteur difficile et bénéficie de la prime de fidélisation correspondante» comme c'est le cas à Lyon. Et qu'il reçoive rapidement de nouveaux effectifs, comme à Marseille. «Sans un changement radical de politique, dans peu de temps, la loi de la rue remplacera celle de la République», pronostique-t-il.

Dans la nuit du 28 au 29 juillet, Adrien Perez, un jeune homme de 26 ans, a été mortellement poignardé devant une boîte de nuit située à Meylan, près de Grenoble, alors qu’il tentait de défendre son ami agressé. Meurtris, ses parents ont dénoncé le climat de violence qui règne dans le pays, tandis que la droite pointe le laxisme de l'Etat.

RT via lesobservateurs

Colonies de vacances : les familles ne veulent plus de mixité sociale

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2018

Par  le 19/08/2018

 
L’idéal du brassage social des jeunes, à travers des expériences communes et joyeuses, a été longtemps porté par les mouvements d’éducation populaire, les syndicats ouvriers et les Eglises. Leur affaiblissement appelle de nouvelles options pour « faire France ensemble », estime le sociologue Jean Viard, spécialiste des temps sociaux, mais aussi de l’aménagement du territoire, de l’agriculture et des comportements politiques.

En tout cas, le déclin, depuis plusieurs générations, est spectaculaire. Quelles en sont les raisons ? Elles sont nombreuses et ne sont pas toutes mauvaises, même si la principale explication – sur laquelle je reviendrai – tient à une réticence croissante envers l’idéal du « vivre-ensemble ».

 

Le Monde via fdesouche

samedi, 18 août 2018

C'est un migrant qui a égorgé le passager du bus

Publié par Guy Jovelin le 18 août 2018

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L’homme soupçonné d’avoir égorgé un passager dans un bus parisien le 8 août, mis en examen et écroué jeudi, est un étranger en situation irrégulièredéjà connu des services de police pour différents types d’infractions.

Bruno Lafourcade analyse ce terrorisme de proximité :

"Dans le crime de masse, il appartient à la branche artisanale : c’est l’auto-entrepreneur de l’attentat, l’assassin du quotidien ; appelons-le le terroriste de proximité. Lui, il ne tue pas en se réclamant de Daesh, il n’a même pas besoin de crier : « Allahou akbar ! ». Non, lui, il va acheter un couteau de cuisine à Carrefour, et il poignarde sa voisine de quatre-vingts ans.

Avant, il a fait ses armes dans la drogue et la prédation, et s’est mêlé à d’autres ambitieux, qui tuent leur temps en tuant des individus isolés. Ils en choisissent un, blanc, lui demandent une cigarette, lui reprochent de les avoir regardés, et lui tombent dessus à sept ou huit, le tabassent et le laissent pour mort après lui avoir volé son smartphone et vingt euros. Si Anne-Sophie Lapix en parle, le lendemain, ce sera pour évoquer une « rixe » ou un « crime gratuit ».

Encouragé, notre homme lance donc sa petite entreprise. Encore une fois, ce n’est pas lui qui se fera sauter dans une salle de spectacle ou foncera dans une foule avec une estafette louée ; non, lui, il travaille dans le local : il essaie de violer une lycéenne à la sortie d’une boîte de nuit, et poignarde le jeune homme qui l’a défendue. Si Laurent Delahousse en parle, le lendemain, ce sera en évitant de dire son nom, sa nationalité, en indiquant qu’il est « déséquilibré », et en rangeant son attentat Leader Price parmi les faits divers.

Ce terrorisme artisanal, qui s’est tellement banalisé que nous ne voyons plus qu’il est du terrorisme, s’étend partout, désormais ; on le trouve à Périgueux, à Mons, à Châtellerault, à Dunkerque, à Aix, à Metz – partout, donc. Il continuera de prospérer tant qu’on le considèrera de façon isolée, seul dans son genre alors qu’il se produit tous les jours en France, tant qu’on jugera ces tueurs comme s’il s’agissait de types qui ont provoqué une bagarre dans un bal du samedi soir après avoir trop bu, tant qu’on refusera de les voir comme les membres du terrorisme islamiste, dont ils occupent un segment de marché en apparence moins spectaculaire que celui de leurs « grands frères » de Daesh, mais qui se révèle jour après jour plus meurtrier."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige