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lundi, 26 mars 2018

26 mars 1962, un crime d’Etat : de Gaulle ordonne d’assassiner des Français !

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2018 

 

De Gaulle voulait absolument rejeter toute la responsabilité du non-respect des « Accords d’Evian » sur l’action de l’OAS et pour cela il a recouru à la force des armes et fait ouvrir le feu sur une population désarmée qui ne souhaitait que rester française.

Le 26 mars 1962, une manifestation pacifique partait du plateau des Glières pour se diriger, par la rue d’Isly, vers le quartier de Bab-el-Oued, cerné depuis plusieurs jours par l’armée française et les CRS.

Bien entendu personne n’était armé, cela était absolument impossible compte tenu de l’état de siège dans lequel se trouvait Alger.

Le rassemblement atteignait la Grande Poste du boulevard Laferrière, lorsqu’une rafale partait d’un fusil mitrailleur, mis en batterie au dernier étage du 64 de la rue d’Isly. Une deuxième rafale meurtrière déchaînait l’enfer.

Les tirailleurs algériens complètement affolés tiraient sur tout ce qui bougeait, vers les toits, sur la foule, ce fut une tuerie. Des tirs sans sommation qui ont duré près de douze minutes.

Le bilan officiel sera de 46 morts et 200 blessés, dont 10 blessés chez les tirailleurs, victimes de balles perdues, et un seul mort (abattu par un officier alors qu’il achevait une femme blessée).

Un second rapport militaire a fait état d’une centaine de morts et de plus de 200 blessés. A la morgue de l’hôpital de Mustapha les corps étaient jetés par terre, nus, en vrac, et ils ne seront pas rendus à leur famille.

La vérité « officielle » sur ce massacre programmé n’est toujours pas reconnue officiellement par les différents gouvernements français et il serait étonnant qu’elle le soit un jour.

Une certitude, ce massacre de la rue d’Isly et, par conséquent l’objectif de cette manœuvre, était la fracture totale entre les Français d’Algérie et l’armée métropolitaine, promise dorénavant au service de l’ALN.

De Gaulle avait atteint son but.

**La preuve directe de l’organisation par le gouvernement français, donc par De Gaulle en personne, du massacre des innocents le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger nous est apportée par CHRISTIAN FOUCHET qui, rappelons-le, était Haut-commissaire en Algérie ce 26 mars 1962, et ministre de l’intérieur du 6 avril 1967 jusqu’au 31 mai 1968 date où il est limogé par De Gaulle.

Voici le témoignage et l’aveu de CHRISTIAN FOUCHET le 28 octobre 1969 :

« J’en ai voulu au général de m’avoir limogé au lendemain de mai 1968. C’était une faute politique.

De GAULLE m’a reproché de ne pas avoir maintenu l’ordre en mai 68.

– « Vous n’avez pas osé tirer » m’a-t-il dit.

J’aurais osé, s’il l’avait fallu – lui ai-je répondu – Souvenez-vous de l’Algérie et de la rue d’Isly. Là j’ai osé, et je ne le regrette pas, parce qu’il fallait montrer que l’armée n’était pas complice de la population algéroise.

(Source : Jean Mauriac « L’Après De Gaulle » – notes confidentielles 1969/1989 – page 41)

Ce même mois de mai 68, de Gaulle lançait à Pompidou une phrase qui résumait toute sa carrière : « Mais, Pompidou, figurez-vous que j’ai passé ma vie à tirer contre des Français ».

(Rapporté par Edouard Balladur à Daniel Rondeau, auteur de « Vingt-ans et plus – journal 1991/2012 »)

Dès le cessez le feu proclamé le 19 mars 1962, l’armée française, sur les ordres de De Gaulle et de quelques officiers supérieurs, les généraux Katz, Debrosse et Ailleret, a perdu son honneur car elle n’a pas éprouvé le moindre état d’âme quand il a fallu tirer sur des Français qui défendaient une terre française à Alger et ne s’est pas opposée au massacre, par l’ALN, de près de 3000 Français à Oran.

Honneur aux officiers de notre armée qui ne se sont pas parjurés.

Le général de Pouilly, un fidèle parmi les fidèles à De Gaulle, n’hésitera pas à écrire : « J’ai choisi la discipline mais choisissant la discipline, j’ai également choisi avec mes concitoyens et la Nation Française la honte d’un abandon et, pour ceux qui n’ayant pas supporté cette honte et se sont révoltés contre elle, l’Histoire dira peut-être que leur crime est moins grand que le nôtre. »

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

RÉINFO, MAGAZINE D'INFORMATION DU PARTI DE LA FRANCE DU 26 MARS 2018

Publié par Guy Jovbelin le 26 mars 2018

Réinfo, journal d’information bimensuel du Parti de la France, présenté par Sylvie Collet.


Bienvenue pour ce nouveau numéro de Réinfo, le journal d’information du Parti de la France, du 26 mars 2018. 

Au sommaire de ce numéro : 
• L'attentat de Trèbes : Encore une fois la France attaquée de l'intérieur. Un fiché S depuis 2014, naturalisé, petit délinquant mais pas dangereux, surveillé mais pas radicalisé vient de passer à l'acte terroriste dans une petite ville de l'Aude. Et il n'y a que les politiques pour en être encore surpris. 
• Sarkozy à nouveau devant les juges : Le pôle financier s'intéresse aux flux d'argent avec la Libye. Pourtant, l'ancien Chef de l'Etat français, porte une responsabilité bien plus grave. En déclarant la guerre au Guide libyen, il a entrainé la ruine de ce pays et favorisé l'invasion migratoire de l'Europe.   
• Scandale pédophile au Royaume-Unis : un réseau pédophile organisé par des gangs musulmans pakistanais depuis les années 80, ciblait des jeunes enfants blanches. Un réseau qui a prospéré sans jamais être inquiété, grâce à la frilosité des autorités terrorisées à l'idée d'être accuser de racisme. 
• L'élection présidentielle en Russie. La victoire annoncée de Vladimir Poutine s'est confirmée par un plèbicite incontestable, même pour le mainstream médiatique occidental. Petit voyage dans un pays qui veut garder la tête haute face à l'adversité. 
Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement. 
 

dimanche, 25 mars 2018

Terrorisme islamique : la trahison de nos élites

Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2018

Redouane Lakdimeest dans son combat, il a tué un ennemi. Il est mort en héros pour Daesh.
Arnaud Beltrame, mort en héros, pareil, mais il est trahi par les siens, au plus haut de l’État.

Redouane Lakdim   Lieutenant-colonel Arnaud Beltrame
Redouane Lakdim, marocain, racaille arabe musulmane, récidiviste, sorti de prison, EN LIBERTÉ   Arnaud Beltrame, Français de souche, mort trahi par ses chefs

Trahi par les Gardes des Sceaux et ses juges, les ministres de l’Intérieur en majorité franc-maçons, prétendûment « humanistes», qui ont remis en liberté Redouane Lakdime, en pleine conscience.
Trahi au plus haut niveau de l’État et du gouvernement qui ne met pas en place les expulsions de nos ennemis sur le territoire

Le ministre de l’Intérieur Gérard Colomb a eu l’outrecuidance de déclarer à propos du tueur : « C’était plutôt un petit délinquant qui à un moment est passé à l’acte. (…) On ne pouvait pas dire qu’il pouvait être un radical passant à l’acte dans les moments qui venaient. (…) C’était plutôt quelqu’un qui était un petit dealer. » 
La liste des victimes du « petit délinquant, petit dealer » s’allonge. Ce n’est que le début, des « petits délinquants, petits dealers » comme lui, on en a des milliers dans chacune de nos villes. Et ce n’est pas fini. Les portes du pénitencier bientôt vont se ré-ouvrir.

Michel Lebon

 

Source : nice-provence.info

Le Moujahid solitaire : un groupuscule inconnu appelle à attaquer la France

Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2018

Par  le 24/03/2018

 

Cette structure mystérieuse a été baptisée Le Moujahid solitaire. Ce groupe, de plus d’une centaine de membres, affirme qu’Allah aurait dit « convertir à l’islam puis combattre ». Et prêche que chaque combattant se trouve « dans le temps du djihad défensif » et qu’il lui faut donc acquérir « une formation militaire physique » et apprendre « la science des armements et la science du combat ». Ou encore qu’il « n’y a pas plus important que de repousser l’agresseur » et qu’il convient de « commencer immédiatement (…), indépendamment du niveau de formation ». En citant une nouvelle fois Allah, ces terroristes appellent à lutter contre « l’agresseur », même si on ne le connaît pas.

 

Castaner préfère accueillir en France les djihadistes de retour de Syrie « pour faire en sorte que l’on puisse identifier le risque »

Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2018

Par  le 25/03/2018

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"258 adultes Français sont en Syrie et susceptibles de revenir. Il vaut mieux les accueillir, les suivre, les emprisonner lorsque des actes criminels ont été commis, pour faire en sorte que l'on puisse identifier le risque". #LeGrandRDV