Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 31 mars 2018

Ces femmes qui se convertissent à l'islam

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2018

De Sabine de Villeroché sur Boulevard Voltaire :

Images"Marine, 18 ans, compagne de Redouane Ladkim, le tueur de Trèbes, convertie à l’islam depuis deux ans, complice… Émilie König, 33 ans, partie faire le djihad, originaire de Lorient, « demande pardon et cherche à revenir en France »… Combien sont-elles, ces petites Françaises de souche, à « changer de vie » pour embrasser le Coran ? Un chiffre hallucinant révélé par une étude réalisée par des chercheurs britanniques en 2011 (relayée sur le site Atlantico) estime à près de 70 % de femmes parmi les Européens qui se convertissent à l’islam ! 

Dans la plupart des cas, rien ne prédestine ces filles à la religion d’Allah. Biberonnées aux droits de l’homme à l’école de la République, nourries de télé-réalité dès leur plus jeune âge, elles jettent aux orties tout ce pour quoi leur mère et grand-mère ont combattu : égalité, pilule, avortement… et font le choix d’une autre religion et d’un autre modèle social… Rien ne semble les arrêter : ni la perspective du port du voile ou de la burka, ni même l’idée d’être reléguée à un statut inférieur à celui de l’homme. Faut-il leur rappeler que, devant un tribunal de la charia, la parole d’un homme vaut celle de deux femmes ?

Comment expliquer cet échec de transmission et, d’abord, que leur a-t-on transmis ? Les témoignages de ces « petites fiancées de l’islam » devraient tous nous interpeller et nous aider à y voir clair.

Le phénomène de mixité sociale et son effet de contagion crèvent les yeux de ceux qui ne veulent rien voir. Nul besoin d’aller chercher dans ces écoles hors contrat « charia compatibles » devenues subitement la cible du gouvernement. Il suffit de se rendre dans certaines banlieues françaises, là où la majorité des écoliers est musulmane. Par peur de paraître différentes, ou simplement pour éviter ce harcèlement dont on ne parle pas, les filles y font « semblant » de faire le ramadan, de se comporter et de s’habiller comme la majorité de leurs comparses. Vient ensuite le besoin de faire partie du groupe pour recréer du lien social, se sentir moins seules. Et ce ne sont pas les enseignements des profs de l’Éducation nationale, trop occupés à faire repentance pour leurs ancêtres, qui leur donneront tort. Les petits musulmans à qui on n’apprend pas à aimer la France méprisent les valeurs républicaines ; les écoliers de souche, eux, rasent les murs.

Le « besoin de donner un sens à leur vie » est une des grandes motivations invoquées par ces jeunes converties ; triste constat d’échec de l’Église de France, qui privilégie le dialogue au détriment de l’enseignement car, parmi les converties, certaines, il faut le reconnaître, sont issues de familles catholiques. Absence de transmission ? Et puis, il y a aussi le témoignage de Nathalia (23 ans, mère au foyer en Haute-Loire), qui l’avoue tout crûment : en portant le voile, « je me sens tellement mieux car je suis maître de mon corps et de ma sexualité ». Conséquence de l’hypersexualisation de cette société que certaines ne peuvent plus supporter ?

Restent, aussi, les raisons du cœur car tomber amoureuse d’un « soldat de dieu », c’est, pour elles, retrouver cette part de virilité que le féminisme étouffe un peu plus chaque jour chez le mâle blanc. La nature étant ce qu’elle est, comment en vouloir à ces jeunes filles de ne pas retrouver dans leur milieu naturel ces qualités masculines qui les font rêver ? Beaucoup de naïveté de leur part qui les conduit tout droit au cauchemar. L’arrivée massive de musulmans sur notre sol ne doit pas occulter ces nombreuses conversions de nos jeunes filles à un islam conquérant. Une prise de conscience s’impose : nos valeurs républicaines ne font pas le poids. Et ces jeunes filles sont les mères des Français de demain."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

vendredi, 30 mars 2018

AUJOURD’HUI, VENDREDI SAINT

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

Il n’est pas inutile de rappeler que le Vendredi Saint est la commémoration religieuse célébrée par les chrétiens le vendredi précédant le dimanche de Pâques. Il marque le jour de la crucifixion et de la mort de Jésus-Christ.


Aujourd’hui, Vendredi Saint
 Aujourd’hui l’Eglise catholique latine et les Églises catholiques orientales qui suivent le calendrier grégorien commémorent la Passion du Christ.  

2000 ans plus tôt, le Christ est condamné à la Crucifixion sous Ponce Pilate.  

Humilié et épuisé par sa croix, Jésus entame son chemin de croix. Lourde, écrasante, la croix pèse sur tout son corps. Il ne cesse à aucun instant de croire en son Père « Je ne suis pas seul, puisque le Père est toujours avec moi » (Jean 16, 32).  

Malgré la pire des souffrances humaines, il reste fidèle à son Père. Chacun de nous est appelé à accueillir et à vivre des épreuves et des deuils. Mais nous ne sommes pas seuls à les porter. Jésus est avec nous.  

Jésus tombe plusieurs fois sous le poids du bois de la croix. Nous comprenons que Jésus prend sur lui nos fautes et nos péchés. Après avoir été dépouillé de ses vêtements, Jésus est cloué sur la croix.  

Vers la sixième heure (environ midi)¸le ciel s'assombrit et demeura obscur jusqu'à la neuvième heure (trois heures de l'après-midi). Jésus meurt sur la croix. 

Son corps est remis à Sa Mère, la Vierge Marie, et mis au tombeau. L’Eglise entre dans le grand silence du Samedi Saint.
 

France 2 dévoile un club de sport proche de salafistes à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

 
   
France 2 salle de sport lutte

Capture d'écran : L'œil du 20h

Une enquête de l’Œil du 20h, sur France 2, a révélé l’existence à Toulouse d’un club de lutte amateur, dont l’un des membres serait proche des milieux salafistes, et où s’effectueraient des recrutements djihadistes. Un courrier a été envoyé au Préfet de la Haute-Garonne par le maire de Toulouse.

Les services de l’État ont analysé le fait que les salafistes « ont stratégiquement ciblé les salles de sport pour leurs recrutements », après « le prosélytisme sur internet et au sein des associations culturelles ». Un fait devant lequel vient d’être confronté la Mairie de Toulouse après les révélations d’une enquête diffusée sur France 2.

C’est un reportage diffusé le mardi 27 Mars, dans le magazine d’enquête « L’Œil du 20h » qui a mis le feu aux poudres. Dans ce reportage, dont beaucoup d’images ont été tournées en caméra caché, on y découvre un club de lutte en plein cœur de la ville rose, touché par « l’intégrisme religieux ».

Un « intégrisme salafiste » qui s’exprime notamment avec le rapport aux femmes du club, leur fréquentation ayant chuté de 90 % entre 2014 et aujourd’hui. Les témoignages indiquent pour elles des obligations vestimentaires, comme le port de manches longues et de jogging, mais également l’interdiction de s’entraîner avec les hommes, comme l’atteste cet échange pris en caméra caché :

« – C’est la seule femme ici ?
– Oui. C’est la seule fille.
– Qui combat avec la fille pour qu’elle progresse ?
– Les petits, ceux pour qui ça ne pose pas de problème par rapport à la religion, parce qu’ils sont petits. Et après, ceux qui ne sont pas musulmans.
– Toi tu luttes avec elle ?
– Non. »

Lire aussi : Mendel : « Trèbes c’est l’échec de la loi antiterroriste »

Selon ActuToulouse, la mairie de Toulouse n’était pas au courant de la possible radicalisation d’un des membres de ce club de lutte. Pourtant, ce club était sous surveillance des services de renseignement. 

La réaction du Maire

Le lendemain de la diffusion de ce reportage, Jean-Luc Moudenc a envoyé un courrier au Préfet de la Haute-Garonne et de l’Occitanie, dans lequel il demande explicitement de fournir « toutes les informations sur ce club de lutte » ainsi que « la liste de toutes les associations sportives qui seraient sous la surveillance de l’État ». La Mairie de Toulouse a mis jusqu’à présent une salle à disposition de ce club au complexe sportif Léo Lagrange.

 

Source : infos-toulouse

Selon que vous serez islamiste ou chrétien, les jugements d’Europe vous rendront blanc ou noir

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018 

 
Kurz_Poutine
 
 

Selon que vous serez islamiste ou chrétien, les jugements d'Europe vous rendront blanc ou noir

Je reconnais que cette laborieuse paraphrase du grand Lafontaine n'est pas des plus heureuses mais la perspicacité du poète me semble assez adaptée à ce que nous vivons actuellement entre MM. Erdogan et Poutine.

Le premier est en pleine dérive dictatoriale, ayant embastillé le moindre soupçon d'ébauche de pensée hétérodoxe par suite d'un fort bienvenu coup d'Etat. Cet événement lui a permis de faire taire ses adversaires parmi lesquels nombre de journalistes et d'universitaires ont tout bonnement disparu au fond d'un cul-de-basse fosse dont ils ne sortiront peut-être pas vivants. Le sultan a aussi un peu envahi une partie du territoire syrien, là où prospérait une ébauche d'état kurde afin d'éviter que sa propre minorité ne nourrisse quelque velléité séparatiste. On se souvient que les victimes de l'agression turque étaient il y a encore quelques semaines les alliés des Occidentaux dans leur lutte contre Bachar el-Assad. Pourtant, aucune protestation contre le triste Erdogan, l'Europe baisse la tête. Plus fort encore, alors que le principal journal aux ordres du pouvoir turc caricature Angela Merkel en Hitler, l'Union européenne reçoit l'allumé du Bosphore pour débattre de la future adhésion de son pays. L'homme ne saurait admettre la moindre critique et veut être admis de suite et sans réserve. Il est vrai que Sultan Mourad contrôle plusieurs millions de migrants potentiels avec lesquels il menace d'envahir l'Europe en ouvrant les vannes. Cela fait réfléchir. De plus, il incarne un islam revendicateur et conquérant, il ne faudrait surtout pas voir dans une éventuelle réserve face au dictateur un soupçon d'islamophobie. Fort heureusement, il y a encore un pays qui voit jour et ose le faire savoir, l'Autriche. Tout comme le 12 septembre 1683, Vienne se défend contre la Sublime Porte, refusant toute négociation avec celui qui organise à l'occasion de foireux enlèvements d'opposants sur notre territoire. Respect à Sébastian Kurz.

Pour Vladimir Poutine, c'est tout différent. Il suffit qu'un agent double, en clair un traitre, soit empoisonné par un agent neurotoxique pour que presque toute l'Europe renvoie des diplomates russes à l'initiative d'une Grande-Bretagne généreuse en soupçons mais bien avare de preuves. L'argument principal tient dans le fait que l'Ours maitrise la technologie liée à ce genre de poison. Si d'aventure la démonstration devait tenir la route, il faudrait admettre que les autres puissances n'y connaissent rien dans le domaine des substances mortifères, chose difficile à croire. On lui reproche aussi son rôle en Crimée face à l'Ukraine. Il n'y avait pourtant pas besoin d'être grand clerc pour comprendre que la Russie ne se laisserait jamais déposséder de Sébastopol, port historique de la flotte russe de la Mer Noire, donnant sur la Méditerrané. Cette préoccupation stratégique explique également pourquoi Vladimir Poutine soutient Bachar el-Assad qui lui met à disposition son seul port disponible en Méditerranée. Vladimir protège donc Bachar, celui que l'Europe veut chasser du pouvoir. C'est mal. On lui impose des sanctions, on les durcit encore et encore, et encore plus avec l'affaire Skripal, du nom de l'espion empoisonné. Il est vrai que la Russie fait de son mieux pour irriter l'Union européenne, se posant en bastion chrétien face à l'islamisme triomphant. Depuis que la Fille ainée de l'Eglise est devenue la putain de l'islam, on ne trouve plus guère de pays d'importance sur notre continent prêts à défendre nos valeurs. Fort heureusement, il y a encore un pays qui voit jour et ose le faire savoir, l'Autriche. Son Chancelier a refusé d'expulser des diplomates russes malgré les pressions londoniennes.

Respect à Sebastian Kurz.

Yvan Perrin, 29.3.2018

 

Source : lesobservateurs

Les Algériens ayant commis des crimes en France ou dans d’autres pays étrangers ne seront pas extradés

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

Par  le 29/03/2018

 

Le ministre de la Justice et garde des Sceaux, Tayeb Louh, annonce la préparation d’une convention concernant l’extradition des criminels et une autre relative aux domaines civil et commercial.

L’Algérie n’extrade pas les nationaux.» Ce rappel est du ministre de la Justice et garde des Sceaux, Tayeb Louh. Hier, lors d’une conférence de presse animée à l’issue de l’adoption des deux projets de loi portant code de procédure pénale et traitement des données personnelles à l’Assemblée, le ministre a qualifié d’«excellente» la coopération judiciaire entre l’Algérie et la France, soulignant que les magistrats français répondent positivement aux requêtes de la justice algérienne. «Idem pour l’Algérie», affirme-t-il, précisant que «les échanges d’informations se font dans le cadre du respect de la Constitution et des lois algériennes et internationales».

A la faveur de ces principes, la loi algérienne, rappelle le ministre, interdit catégoriquement l’extradition de tout Algérien ayant commis, ou étant poursuivi pour un crime à l’étranger.
Il annonce, dans ce sens, la préparation d’une convention concernant l’extradition des criminels et une autre relative aux domaines civil et commercial.

«Trois conventions sont actuellement en étude avec de nombreux Etats, dont la France. Elles concernent les domaines pénal, commercial et civil, ainsi qu’une autre relative à l’extradition. L’Algérie a conclu un accord judiciaire dans le domaine pénal avec la France depuis 1963», note le ministre.

Pour M. Louh, ces deux projets de loi s’inscrivent dans la continuité de la coopération judiciaire bilatérale, ayant abouti à la signature, il y a quelques mois, d’une convention dans le domaine pénal, adoptée récemment par les deux parties, suivant leurs propres procédures.

Parmi les clauses contenues dans cette convention il y a, cite le ministre, l’échange de données entre les autorités judiciaires lorsqu’une affaire est suivie localement par la justice algérienne ou par la justice française, et en cas d’appels judiciaires émanant de la justice algérienne devant être exécutés en France.

Il a, toutefois, précisé que ce ne sont pas toutes les données qui peuvent être transmises dans le cadre de la coopération judiciaire. «Quand un Algérien est poursuivi dans une affaire criminelle dangereuse, telle que le terrorisme, et qu’il est réclamé par une justice étrangère, la loi algérienne est très claire sur ce sujet. Elle ne permet pas l’extradition d’une personne détenant la nationalité algérienne.

Qu’une affaire soit ouverte à son sujet ou non. Son dossier doit être transféré pour le juger conformément à la réglementation algérienne», a détaillé M. Louh. Le ministre reste convaincu que le terrorisme et le crime organisé doivent être combattus dans le cadre de la coopération et des échanges d’informations tant au niveau régional qu’international. Toujours dans le domaine du terrorisme, le ministre indique que son département prépare un projet de loi relatif à la lutte contre «le crime électronique ou la cybercriminalité».  (..)