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jeudi, 29 mars 2018

LE GRAIN DE SEL DE JEAN CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2018

« FICHES « S » ? LA METHODE ROOSEVELT ! Longue est la liste des crimes commis par les adeptes de Dae’ch dans notre pays : deux gendarmettes abattues en 2012 dans le Var, un chef d’entreprise décapité, la tuerie de « Charlie Hebdo » et de l’hyper cacher de la Porte de Vincennes, deux policiers assassinés devant leur enfant, à leur domicile dans les Yvelines, deux jeunes filles égorgées à la Gare Saint-Charles de Marseille, un policier tué sur les Champs Elysées, sans oublier, bien sûr, les massacres du Bataclan et de Nice, les crimes de Mérah à Toulouse.


On nous dit, à la louche, qu’il y aurait une vingtaine de milliers de suspects fichés « S » qui se baladent dans la nature,plus ou moins surveillés par nos services de sécurité et de renseignement. Sachant qu’il faut, au minimum, une dizaine d’agents pour effectuer la surveillance d’un terroriste potentiel 24 h sur 24, on mesure là, l’impossibilité matérielle qu’il y a à assurer une totale sûreté à nos concitoyens. 

Expulser les suspects étrangers, supprimer la double nationalité  

D’efficaces mesures pourraient, pourtant, être prises rapidement. D’abord expulser tous les suspects étrangers dans leur pays d’origine, retirer la citoyenneté française à ceux qui ont une double nationalité, - on ne peut être à la fois de Sparte et d’Athènes, de Rome et de Florence !-, refuser le retour des familles de « repentis » des théâtres d’opération de l’Etat islamique, supprimer toutes les aides sociales à ces suspects.Et, bien sûr, n’accorder de visa aux ressortissants des pays touchés par l’islamisme militant, qu’au compte-goutte. 

Roosevelt n’avait pas fait dans le détail ! 

Le 7 décembre 1941, une attaque aéronavale japonaise commandée par l’amiral Tojo, en deux vagues successives d’un total de 400 avions, avaient détruit 188 appareils US, tué 2043 Américains et blessé 1178 autres à Pearl Harbour, dans l’ile d’Oahu, archipel des îles Hawaï. La réaction ne se fit pas attendre. Le 19 février 1942, soit deux mois après, le Président des Etats-Unis Roosevelt, signait l’ordre d’incarcération des quelques 110 000 Japonais et Américano-japonais résidant aux USA. Dans le cadre du War relocation centers, ils étaient internés : hommes, femmes, vieillards et enfants, dans des baraquements dressés en toute hâte dans les Etats de Californie, de Washington et d’Oregon, sur la côte Ouest.Après expulsion des indésirables du territoire français, les autorités françaises devraient interner ou mettre en résidence forcée tous les autres « fichés S ». De Gaulle le fit à l’encontre des patriotes « Algérie française », hélas une référence ! Cela nécessiterait, certes, une logistique importante. Mais l’armée, la gendarmerie et leurs réservistes sont là : camps de toile et Algécos feraient l’affaire. Demandons la recette à l’ancien Shérif Arpaio du comté de Phoenix, en Arizona, où il est candidat républicain aux sénatoriales, il connait son affaire ! Et rien n’empêcherait ceux à qui le goût de la semoule viendrait à manquer d’aller demander l’asile dans un pays du Maghreb ou du golfe par exemple ! 

Un héros français 

Le sacrifice suprême du colonel Arnaud Beltrane qui a offert sa vie pour sauver un otage, est la marque d’un homme d’honneur. Combien de ces étoilés et autres politiciens présents à la cérémonie des Invalides seraient capables d’un tel geste ? Qui d’entre nous ? Soyons honnêtes, fort peu. C’est d’autant plus écœurant que cet hommage rendu à l’héroïqueofficier, avait comme une odeur de récupération par un pouvoir qui, s’il ose, enfin, désigner l’ennemi, n’a pas, - pas encore ? -, choisi tous les moyens, TOUS les moyens mis à sa disposition pour éradiquer ce mal qu’est l’islamisation rampante de notre patrie avec, surtout, son volet fondamentaliste. 

Islamophobie ? 

Certains diront que l’on ne peut stigmatiser un segment de la population et, qu’en aucun cas, il ne faut pratiquer l’amalgame. C’est vrai que beaucoup de nos compatriotes musulmans vivent sous le règne de l’omerta, et qu’ils ne sont, ni de près, ni de loin, des adeptes du terrorisme islamiste. Mais force est de constater que les « territoires perdus de la République » et autres « zones de non droit », sont les taches noires de la triste peau de léopard qu’est  devenu l’hexagone, et que ce ne sont ni des Lapons, ni des Esquimaux, encore moins des bushmen qui les peuplent. Et c’est là que se pratiquent de juteux  trafics divers et variés. Les autorités militaires, en tout cas, en sont bien conscientes, puisqu’elles entrainent leur infanterie dans des « Cenzub », ou Centre de combat en zones urbaines. Et mon petit doigt me dit que des officiers israéliens nourris des expériences au Sud-Liban et dans la bande de Gaza, doivent inspirer nos penseurs militaires ! Car, un jour,  à défaut d’un inacceptable consentement d’une partition du pays, il faudra bien reconquérir tous ces quartiers, toutes ces cités sans âme, où leterrorisme islamiste trouve un fertile terreau en dépit des milliards déversés depuis des années dans le cadre de l’inefficace « politique de la ville ».En un mot comme en cent, « il faudra prendre le taureau par les cornes », si je puis dire ! 

Jean-Claude ROLINAT 

mercredi, 28 mars 2018

160 clandestins, soutenus par la CGT, se mettent en grève : régularisés !

Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2018

 
 

160 travailleurs clandestins, sans papier, d’origine africaine, étaient employés par des entreprises de la région Île de France.

Le 12 février 2018, ils se sont mis en grève, ce qui est plutôt rarissime, et ils ont certainement eu raison, cela, bien entendu, avec l’appui de la CGT.

Et cela peut paraître étonnant car, jusqu’à preuve du contraire, la CGT défendait les travailleurs français contre justement les travailleurs détachés, et plus « détachés » que des immigrés clandestins c’est difficile à trouver.

Les 6 entreprises qui employaient, en toute illégalité, ces « travailleurs africains » : Défi Technology (Intérim), SEPUR (Ordures ménagères), GLS (Logistique), EVENT THAI (Plats cuisinés), STLG (Collecte de déchets) et CHRONOPOST (Livraison de colis), seront, nous l’espérons, très sévèrement sanctionnées car elles ont enfreint la loi en toute connaissance de cause en employant ouvertement une main d’œuvre étrangère et clandestine, non déclarée.

Mais là où cette affaire tourne à la dérision la plus totale, c’est sa possible, pour ne pas dire probable, conclusion.

En toute logique ces entreprises devraient être condamnées à de très fortes amendes et les 160 travailleurs clandestins et sans papier renvoyés chez eux.

Ce n’est pas le cas, loin s’en faut.

D’un côté la CGT ne cache pas sa satisfaction, alors que, contrairement à ce qu’elle affirme haut et fort : « Ces travailleurs n’amènent aucune richesse, bien au contraire, ils travaillent pour un salaire nettement inférieur et la seule richesse profite uniquement à leurs employeurs, donc au « patronat » qui, jusqu’à présent (mais peut-être qu’avec Emmanuel Macron, président, la cible se détourne de son objectif initial, si l’on tient compte du peu de succès obtenu par les récentes manifestations « de masse ») était « l’ennemi » de toujours. »

De l’autre côté, les 160 clandestins, sans papier et illégaux, ont obtenu un engagement de régularisation de leur situation par les autorités afin qu’ils puissent être embauchés régulièrement.

Ils ont ainsi obtenu, par la grève, le droit de travailler et de vivre en France.

Il s’agit là d’une décision qui risque de ne pas « tomber dans l’oreille d’un sourd » et de faire des milliers d’envieux !

N’est-ce pas le but recherché et par le patronat et par l’Union européenne et donc par la France de la  République En Marche…mais vers quelle destinée ?

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

Les deux tiers des attentats en France ont été commis par des fichés S Et la moitié par des personnes déjà condamnées, selon LCI

Publié par Guy Jovelin le 28 mars2018

 

Les deux tiers des attentats en France ont été commis par des fichés S  

 
 

Lundi 26 mars, Jennifer Knock, dans sa chronique "Les indispensables" diffusée dans 24h Pujadas sur LCI, est revenue sur la réalité autour des personnes "fichées S" pour radicalisation. Si on prend les plus grosses attaques terroristes commises en France depuis 2012, sur les 31 terroristes impliqués, 20 étaient fichés S, soit les deux tiers, a-t-elle expliqué. Parmi ces djihadistes, on trouve : Mohammed Merah, qui a perpétré les tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban ; Amedy Coulibaly, prôneur d'otages de hyper cacher en 2015 ; Larossi Abballa, qui a assassiné des policiers à Magnanville, en juin 2016.

Les autres terroristes n'étaient pas fichés S, mais étaient connus des services de renseignement, a indiqué Jennifer Knock. C'est notamment le cas de Salah Abdeslam, qui n'était pas fiché en France mais en Belgique. En outre, selon la jeune femme, la majorité de ces terroristes a déjà eu affaire à la police. Plus de la moitié d'entre eux avait un casier judiciaire, souvent pour des délits de droit commun.

 

Source : atlantico

Ecole : comment des parents combattent le racisme de leurs enfants

Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2018

Par  le 28/03/2018

 
[…] Le fils de Mélanie, 7 ans, lui a déjà dit qu’il était « raciste », voyant que le mot semblait susciter des réactions. « Encore une fois, j’ai expliqué le sens et tout est rentré dans l’ordre. C’est juste qu’ils mélangent toutes les informations qu’ils reçoivent. »

Quand la fille d’Anaïs lui a dit qu’elle « n’aimait pas les marrons », la mère a repris son arbre généalogique avec l’enfant : « Je lui ai montré comment, dans notre famille comme dans beaucoup d’autres, il y avait des gens d’origines différentes et beaucoup de mélanges. Comme plein de variétés de fleurs qui sont toutes belles. »

Pour Nicolas, l’éducation anti-raciste commence par aiguiser l’esprit critique vis-à-vis de certains discours médiatiques : « Pourquoi, quand il y a un drame, on ne donne la nationalité et la religion du tueur que si la personne est originaire du Maghreb et surtout musulmane ? N’est-ce pas du racisme ordinaire ? »

Guillaume a remarqué que son fils adolescent, plutôt ouvert d’esprit, critiquait beaucoup les Roms. « On a regardé ensemble en quoi ce qu’il pensait d’eux venait de clichés, vu qu’il ne connaissait personnellement aucun Rom. On a exercé son empathie : que ressentirait-il, lui, d’être mal jugé comme ça par quelqu’un qui ne connaît même pas ses valeurs ni sa personnalité ? Et on a regardé sur Internet des vidéos sur les aspects sympas de leur culture, comme leur langue et leur musique. Le racisme, c’est surtout de l’ignorance et de la peur. »

Aurore Augendre relate, sur la page Facebook d’Ouest-France, un échange avec son fils alors qu’il avait 3 ans. « Maman, tu as vu le garçon, il ne s’est pas lavé, il est tout noir !… » Elle lui a alors répondu : « Mais non, il est né comme ça, avec cette couleur de peau, c’est comme pour la couleur des yeux, on n’a pas tous la même couleur ! »

Sur Facebook encore, Dario Stéphanie Andrade raconte : « Mon fils a tenu des propos déplacés sur la couleur de peau d’une dame travaillant dans l’école. J’ai bien sûr été mise au courant de ce fait que je ne cautionne absolument pas ! J’ai obligé mon fils à écrire une punition sur 200 lignes. Il a été privé de toute sortie avec copains et de console pendant deux mois. Il a écrit une lettre d’excuses à la dame et je suis moi-même allée m’excuser. J’ai expliqué à mon fils que la couleur du sang, qui plus vital qu’une couleur de peau, ne change pas. C’est rouge. On a tous des organes, du sang, de même couleur. De son côté, mon fils a bien compris la leçon. » (…)

 

Ouest France via fdesouche

Périco Légasse dénonce le silence des autorités sur l'égorgement de Beltrame (CNEWS,26/03/18,19h23)

Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2018

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