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jeudi, 01 mars 2018

Les bailleurs sociaux ont l’obligation de réserver au moins un quart des attributions aux immigrés

Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2018

Minute dénonce cette préférence étrangère instaurée sous Macron:

Capture d’écran 2018-02-28 à 08.49.27"[...] Le 12 décembre dernier, tous les préfets de France et de Navarre, ceux de région comme ceux de département, ont en effet reçu une circulaire comminatoire et sans appel cosignée par le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, et par le ministre de la Cohésion des Territoires, Jacques Mézard. Il s’agit d’une « instruction relative au relogement des personnes bénéficiaires d’une protection internationale », c’est-à-dire les réfugiés.

Sur les 55 000 migrants qui occupent déjà les structures d’accueil officielles, 18 000 ont reçu l’autorisation de rester en France. Il faut donc leur offrir un « logement durable ». Dans son courrier, Gérard Collomb annonce que l’heure est grave : « Au regard du nombre de personnes ayant accédé au statut de protection depuis 2016 ainsi que du nombre prévisible de protégés à venir dans les prochains mois, y compris dans le cadre des programmes européens de réinstallation, ce sont plusieurs dizaines de milliers de personnes, bénéficiaires d’une protection internationale, qui seront en besoin de relogement en France d’ici fin 2018. ». Des dizaines de milliers ? « Il est estimé qu’environ 60 000 réfugiés chercheront un logement d’ici fin 2018 », précise la circulaire dans une note en bas de page !

Dans ce contexte, le ministre a lancé « un objectif national de mobilisation de logements destinés aux bénéficiaires d’une protection internationale [qui] est fixé à 20 000 logements d’ici la fin 2018 », et cela sur la totalité du territoire. Et ce sont bien les logements sociaux qui vont être réquisitionnés, puisque, les désignant nommément, Gérard Collomb écrit aux préfets : « Vous impulserez la contractualisation d’objectifs avec les bailleurs, s’ils n’existent pas déjà, en vous appuyant sur les instances compétentes en matière de logement des personnes défavorisées. » Car, et c’est là qu’est la ruse, le gouvernement estime que les réfugiés relèvent de l’article L441-1 du code de la construction et de l’habitat, lequel définit les conditions d’attribution des logements sociaux ! En conséquence, les bailleurs sociaux « ont l’obligation de réserver au moins un quart des attributions qu’ils maîtrisent à ce public » !

Quand on connaît les difficultés que les Français les plus démunis rencontrent pour obtenir un logement social (certains glissant une pièce à l’employé de l’administration pour que leur dossier soit mis sur le dessus de la pile), on en reste comme deux ronds de flan. Surtout que pour s’installer dans leurs nouveaux pénates, ces étrangers ont droit à une prime pour pendre la crémaillère ! Le réfugié de base, dit « de droit commun », bénéficie d’une prime de 1 500 euros (majorée d’une aide à l’installation de 330 euros), quand le réfugié de luxe – celui qui a signé une convention avec le Haut Commissariat aux réfugiés – perçoit, lui, 4 000 euros ! [...]"

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

Après avoir détruit la famille, il ne reste qu'à achever les vieux

Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2018 

Gabrielle Cluzel dans La Nef montre que la destruction de la filiation ne nuit pas seulement aux jeunes. Elle isole aussi les vieux, désormais abandonnés dans des établissements en attendant qu'ils meurent :

Couverture301"Les salariés des EHPAD se sont mis en grève, dénonçant un manque de moyens ayant pour conséquence un travail bâclé et dans l’urgence. Fruit du hasard – mais le hasard fait parfois froid dans le dos –, concomitamment au mouvement des EHPAD, le débat sur l’euthanasie était remis sur le tapis.

Pour calmer le jeu, Agnès Buzyn a décidé de débloquer 50 millions d’euros. Trop peu, selon les professionnels. Où trouver le reste ? Quel fond de tiroir racler ? On aurait bien quelques idées de subventions baroques – pour rester polies – à réaffecter, mais celles-là seront aussi très vite « mangées ». Parce que l’on a négligé le seul investissement durable : la famille. Et si la détruire inlassablement, méticuleusement, pièce par pièce, au bulldozer où à la lime à ongles selon les occasions, avait été, y compris sur ce plan-là, une très mauvaise idée ?

Bien sûr – éclatement géographique, exiguïté des logements, allongement de la durée de vie obligent – il y a longtemps que les générations, sauf exception, ne cohabitent plus dans la même maison. Naturellement, j’ai lu comme vous Poil de Carotte, Génitrix, Vipère au Poing… et sais qu’il est des familles où l’on s’éreinte plus que l’on s’étreint. Mais enfin la plupart des parents, tout maladroits qu’ils soient, aiment leurs enfants, et réciproquement. Et lorsque les autres visitent les uns, c’est un renfort précieux : un repas qu’ils vont accompagner, un coussin mal installé qu’ils vont remonter, des angoisses qu’ils vont dissiper, de vieilles histoires cent fois rabâchées qu’ils vont écouter, des doléances qu’ils vont adroitement relayer. Et tout cela… bénévolement. Permettant ainsi aux soignants de se consacrer aux autres patients. Mais pour cela, encore faut-il que le mot parent ait un sens. Un sens qui ne soit pas fluctuant, aux contours mal définis. [...]"

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 28 février 2018

CARL LANG VERSUS FLORIAN PHILIPPOT

Publié pâr Guy Jovelin le 28 février 2018

Article de minute de cette semaine. L’un passe tout le temps à la télé, l’autre quasiment jamais. L’un adore distiller les infos qui déstabilisent, l’autre y répugne. L’un a toujours été de gauche, l’autre est resté de droite. Carl Lang, ancien numéro deux du Front national et président du Parti de la France, raconte dans un livre son long « chemin de résistance » au côté, puis à côté, de Jean-Marie Le Pen.


Carl Lang versus Florian Philippot
Il est des gifles que l’on préfère taire. Celle reçue par Florian Philippot fin janvier dans le Val-d’Oise est de celles-là. Au premier tour de la lé gislative partielle, la candidate de ses Patriotes, Denise Cornet, n’a recueilli que 192 voix soit 1,2 % des suffrages exprimés. Ce n’est pas le pire. Parmi tous les candidats qui l’ont de- vancée – et ils ont été nombreux – figurait Huguette François, qui, avec 429 voix, a obtenu 2,6 % des voix. Plus du double des suffrages, donc, pour une obscure candidate dont nul n’avait parlé et qui était présentée par le presque aussi obscur Parti de la France (PDF) présidé par Carl Lang ! La candidate de l’ancien bras droit de Marine Le Pen humiliée par la candidate de l’ancien bras droit... de Jean-Marie Le Pen ! 
Il est des offenses qu’on ne par- donne pas et, deux semaines plus tard, Philippot s’est vengé. Alors que Carl Lang était invité sur le plateau de « Ça vous regarde », une émission de La Chaîne parlementaire, et que Florian Philippot l’était aussi, ce dernier, se comportant avec la morgue dont il est coutumier, a mis son veto à la venue du patron du PDF ! Exit donc Carl Lang, prié de rester chez lui. « L’enfant chéri des médias ferait-il des caprices de star ou craint-il un débat de fond avec un représentant de la vraie droite nationale ? », s’est interrogé Carl Lang, sans exclure que les deux hypothèses se soient cumulées. 

Quarante ans sans dévier de ligne 

Florian Philippot, qui avait reconnu tout ignorer de l’histoire du Front national et aurait pourtant gagné à se pencher sur le destin de ses numéros deux « avant qu’il ne soit trop tard », peut se rattraper avec l’ouvrage que vient de publier Carl Lang, Un chemin de résis- tance, et qui est celui d’un homme qui n’a pas attendu la soi-disant « fibre sociale » d’un chevènementiste pour sa- voir qu’il n’est de bonne droite que « nationale, sociale et populaire ». En trente ans de militantisme au Front national qui ont été autant d’années de res- ponsabilités jusqu’à en être durant sept ans le secrétaire général, à siéger à son bureau exécutif ou à en être vice- président, Carl Lang n’a jamais dévié de son cap, et le Parti de la France qu’il a fondé en 2009 n’est que la continuité de son engagement. 

A l’image de Florian Philippot, en somme, qui est resté ce qu’il a toujours été du Front national aux Patriotes – un homme de gauche –, Carl Lang est toujours resté ce qu’il a toujours été : un homme de droite. Et s’il avait rejoint le Front national en 1978, « c’est vraiment Le Pen, avec sa force de conviction et son aura, qui a motivé mon choix d’adhésion ». D’autant plus rude sera la chute quand, en 2009, le même Le Pen le mettra de- hors sans aucun égard, ni pour lui, ni pour les statuts du parti... Il faut dire que Carl Lang avait eu le tort de s’opposer à ce que Marine Le Pen, qui avait obte-nu son premier mandat sur la liste qu’il conduisait aux régionales de 1998 dans le Nord-Pas-de-Calais et qui en était par- tie pour l’Ile-de-France, y revienne pour l’évincer, à son profit, de la tête de liste pour les élections européennes de 2009. 
Carl Lang raconte tout cela sans acrimonie, hormis à l’égard de Marine Le Pen, à l’égard de laquelle les mots sont très durs, tant sur le plan person- nel que politique (« Le Front de Marine Le Pen n’a plus rien à voir avec les valeurs traditionnelles de la droite nationale fran- çaise ») et avec fort peu d’anecdotes qui ne soient déjà connues. Pour les jounalistes, l’homme au prénom et au pro- fil nordiques n’a jamais été « un bon client ». Le garçon est réputé discret et il n’y faillit pas. 

« La France n’est pas terre d’islam » 
Un chemin de résistance est un livre d’entretiens politiques qui surprendra ceux qui s’attendent à un manifeste d’« extrême droite ». Carl Lang ne s’exprime pas de là où il se trouve arbitrai rement classé, mais de là où il se trou ve, et, dans le contexte actuel qui tend à l’hystérisation du débat public, il pas- serait presque pour un modéré. Jamais un mot plus haut que l’autre, pas d’invectives, pas d’indignations sur- jouées. Pas même de formules à l’emporte-pièce, de ces « punchlines » dont sont friands les réseaux sociaux et les médias qui se calent sur leur rythme, et qui lui permettraient de franchir, au moins l’espace d’un instant, la barriè-re médiatique. 
La conviction profonde de Carl Lang est que « tant qu’il n’y aura pas de renaissance de la conscience nationale, il n’y aura pas de politique de redressement national pos-sible ». Qu’il faut « défendre exclusivement les intérêts de la France en politique étran- gère et la préférence nationale et l’unité française en politique intérieure ». Que « c’est en nous appuyant sur nos traditions et notre mémoire nationale que nous pourrons échap- per aux tsunamis ravageurs du mondialisme et de l’islamisme ». Ou que « les valeurs de l’islam sont celles d’une autre civilisation et d’un autre modèle social qui ne sont pas compatibles avec notre propre héritage de ci vilisation. La France n’est pas terre d’islam. » 
« Pas sexy », dirait-on de nos jours. Mais la situation dans laquelle se trouve la France justifie-t-elle que le débat politique soit réduit à l’arbitrage du Kamasutra médiatique ? 

L. H. 
Carl Lang, Un chemin de résistance, entretien avec Jean-François Touzé, 
éd. Synthèse nationale, coll. Les Bouquins de Synthèse, 190 p., cahier photos, 
20 euros. 
article de Minute

Allemagne: Plusieurs décès dus à l’incompétence de médecins étrangers

Publié par Guy Jovelin le 28 février 2018

hôpital

Le Conseil de l’ordre des médecins de Westphalie-Lippe sonne l’alarme : des lacunes dans les connaissances professionnelles de médecins étrangers voulant travailler en Allemagne menacent de peser sur la qualité des soins donnés aux patients, selon Theodor Windhorst (Bielefeld), président du Conseil de l’ordre. La raison en est que le Conseil n’a le droit de vérifier que leurs compétences linguistiques, mais pas leurs compétences professionnelles.

Aux dires du gouvernement régional, c’est une tâche qui est du seul ressort des gouvernements d’arrondissement. Windhorst : « Nous trouvons inadmissible d’être condamnés à l’inaction lorsque nous constatons des insuffisances professionnelles. » De telles déficiences ont déjà coûté des vies humaines en Westphalie-Lippe, ce qui est attesté par des décisions de justice. Un enfant est par exemple mort à la naissance dans un hôpital de Westphalie-Lippe, suite au manque manifeste de connaissances, pourtant certifiées par son pays, d’une gynécologue venue de Libye. Cette doctoresse a été condamnée à une peine avec sursis pour homicide par imprudence et elle a continué à travailler dans un autre hôpital.

Source : Neue Westfälische traduction fdesouche Via Suavelôs

mardi, 27 février 2018

Le Premier ministre slovaque : « Je suis contre l’émergence de communautés musulmanes dans mon pays »

Publié par Guy Jovelin le 27 février 2018

Par  le 27/02/2018 

« Toute violence contre des femmes est inacceptable et n’a pas sa place dans notre société », a déclaré M. Fico, cité par le quotidien Sme, ajoutant que la protection des droits des femmes est particulièrement importante à une époque où les migrants sont de plus en plus nombreux et apportent avec eux «les modèles culturels et sociétales de leurs pays d’origine», y compris la perception d’une femme en un être humain soumis.

« Je suis contre l’émergence de communautés musulmanes en Slovaquie par principe », a déclaré M. Fico, cité par Sme.

The Slovak Spectator via fdesouche