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mercredi, 01 novembre 2017

INTERVIEW DE THOMAS JOLY PAR RIPOSTE LAÏQUE POUR SON PROCÈS LE 9 NOVEMBRE À BEAUVAIS

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

Ce jour, nous avons rencontré Thomas Joly, secrétaire du Parti de la France, qui, comme d’autres patriotes, paraît avoir quelques soucis avec la justice de son pays… 


Thomas Joly : Je suis fonctionnaire de l’Éducation nationale, j’ai 41 ans, je suis marié et père de 3 enfants, je pratique la boxe anglaise pour entretenir la forme et je consacre une grand part de mon temps libre à mes activités politiques ! Engagé en politique depuis l’âge de 19 ans (au Front national à l’époque), je n’ai eu de cesse de lutter contre la colonisation migratoire et l’islamisation de notre pays qui, si elles ne sont pas stoppées et inversées, se révéleront mortelles pour notre peuple et notre civilisation lorsque nous ne serons plus qu’une minorité sur notre propre sol. 

Riposte Laïque : Vous voilà donc convoqué le 9 novembre prochain, au tribunal correctionnel de Beauvais. Qu’avez-vous donc fait de si grave ? 

Thomas Joly : J’ai commis le crime abominable d’avoir illustré des articles de mon blog dénonçant la barbarie de l’État islamique avec des photos de la décapitation de Hervé Cornara par l’islamiste Yassin Salhi, ainsi que celle de James Foley décapité par l’État islamique. Je suis convoqué devant le tribunal correctionnel de Beauvais le 9 novembre prochain pour une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur », prétexte trouvé par le procureur pour me poursuivre. A savoir que j’ai passé six heures en garde à vue, le 19 février 2016, pour ce motif et que j’ai été convoqué à trois reprises par la gendarmerie pour ces mêmes faits. 

Riposte Laïque : Quelle est votre réaction, devant ce procès ? 

Thomas Joly : Il s’agit clairement d’un procès politique destiné à faire taire ceux qui dénoncent l’invasion afro-musulmane et la barbarie terroriste pratiquée au nom de l’Islam par des fanatiques sanguinaires. De plus, le chef d’accusation choisi est pour le moins cocasse lorsque l’on sait que les médias ont diffusé jusqu’à la nausée la photo du cadavre du petit Aylan échoué sur une plage afin de promouvoir l’arrivée massive de clandestins en Europe, que dès le plus jeune âge nos enfants ont droit à des cours détaillés sur la Shoah, que dans les écoles primaires des exercices de confinement sont discrètement organisés afin de préparer les enfants à l’éventualité d’un attentat islamique (requalifié en novlangue administrative « cas de risque majeur ») au risque de les traumatiser. Ce qui dérange le gouvernement et son représentant du Ministère public, c’est que, comme eux, je pense que « nous sommes en guerre contre le terrorisme » mais moi je désigne clairement l’ennemi et j’incite nos autorités à véritablement mener cette guerre ! Et celle-ci ne pourra commencer qu’en expulsant du territoire la plupart des extra-européens islamisés qui se comportent en conquérants et dont la majorité a une bienveillance suspecte avec les terroristes. Les rares fois où des musulmans sont descendus dans la rue suite à des attentats, c’était pour demander avec arrogance de ne pas faire d’amalgame avec l’Islam et de dénoncer l’islamophobie – pourtant légitime – des Français… J’invite ceux qui le souhaitent, et le peuvent, à venir me soutenir lors de ce procès inique, l’audience se déroulera jeudi 9 novembre à 8 h 30 au Palais de justice de Beauvais (20, Boulevard Saint-Jean). 

Riposte Laïque : Vous n’avez pas ménagé vos critiques, depuis la création du Parti de la France, contre la direction du Front national et sa présidente, Marine Le Pen. 6 mois après la présidentielle, quel est votre regard sur la situation du FN, et plus largement sur le camp patriotique ? 

Thomas Joly : Marine Le Pen est une véritable calamité pour la droite nationale. Elle n’a strictement rien retenu de son fiasco de la Présidentielle, alors même qu’elle bénéficiait de conditions historiques pour prendre le pouvoir ou au moins s’en approcher (attentats islamiques, crise des migrants, rejet de la classe politique du Système, chômage de masse). Lors de sa dernière prestation sur France 2, elle a continué sur la même ligne gaucho-souverainiste, qu’elle a toujours partagée avec son ex-lieutenant Philippot, et n’a pas pu s’empêcher d’avoir un petit mot ému pour nos « compatriotes musulmans » ; sûrement pensait-elle aux 92 % de mahométans qui ont voté Macron au 2nd tour de la Présidentielle ? Je crois qu’il n’y a rien à attendre du Front national tant que Marine Le Pen sera à sa tête ; le problème n’était pas Philippot, c’est elle. En outre, il est fort probable qu’elle subisse assez prochainement les foudres de la justice et qu’elle soit inéligible pour 2022, sans compter que le Front national, qui touche pourtant des millions de subventions publiques, est en quasi-faillite. Le camp national doit se réunir sur l’essentiel : le refus de la colonisation migratoire et de sa conséquence inéluctable : l’islamisation de notre société et l’instauration, à terme, de la charia. 

Riposte Laïque : Quel est votre regard sur les six premiers mois de gouvernement de Macron ? 

Thomas Joly : Même s’il fait mine de bousculer les codes établis, Emmanuel Macron est le digne successeur de ses prédécesseurs. Il gère le déclin économique et social ainsi que le chaos ethnique, un peu comme un liquidateur judiciaire, sauf que là il s’agit de notre Nation. Européiste, social-démocrate, immigrationniste, acquis à toutes les dérives sociétales, il n’y a rien à attendre de cet individu, pur produit de l’engeance systémique. 

Riposte Laïque : Quels sont les prochains projets du Parti de la France ? 

Thomas Joly : Le Parti de la France entend poursuivre la reconstruction du camp national avec tous ceux qui ne souhaitent pas voir la France mourir et notre peuple disparaître. Nous avons encore le droit de rester nous-mêmes, de ne pas vouloir que notre pays soit un déversoir pour toute l’Afrique et que l’appel du muezzin remplace les cloches de nos églises, n’en déplaise à nos pseudo-élites apatrides bien peu attachées à notre terre ancestrale du fait de leurs racines nomades. 

Propos recueillis par Pierre Cassen 

Source : http://ripostelaique.com 

La croix retirée de Ploërmel : « Tout acte de déchristianisation est perçu comme une propédeutique à l’islamisation »

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

 

Les réactions à la décision du Conseil d’État d’imposer le retrait de la croix de la statue de Jean-Paul II dans cette commune bretonne illustrent les fractures quant à la question religieuse en France, où tout acte de déchristianisation est perçu comme une propédeutique à l’islamisation.

#MontreTaCroix. Après la décision du Conseil d’État de confirmer le retrait d’une croix d’une statue de Jean-Paul II installée depuis 2006 sur la place de la petite commune de Ploërmel, dans le Morbihan, des internautes se sont emparés de ce mot dièse pour manifester leur colère. De Varsovie à Maaloula, de la Provence à la Bretagne, des images innombrables de crucifix, calvaires et églises ont envahi les réseaux sociaux.

 

Source : Le Figaro via fdesouche

Ignace – Le dessin du jour

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

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Source : medias-presse.info

Halloween ou Toussaint ? Tout est dit en un tweet…

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

 

 GO HOME ! Célébrons la 

Gendarmerie incendiée de Meylan : l’impunité antifa se paie cash…

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

La milice auxiliaire du régime, certaine de son impunité, passe au cran au-dessus. Cette fois, à Meylan, dans la banlieue de son fief de Grenoble, la vermine rouge s’en est prise directement aux familles des gendarmes, en faisant un trou dans le grillage à la cisaille et pénétrer nuitamment dans l’enceinte non pas de la gendarmerie elle-même, mais des immeubles de l’allée des Frênes, où vivent les neuf familles des militaires, soit 24 personnes.

Dans la nuit du 25 au 26 octobre (plus exactement à 3 heures du matin), un incendie s’est déclaré à la caserne de gendarmerie de Meylan. Les gauchistes ont mis le feu à 3 véhicules, crevé les pneus d’un autre et ont cadenassé le portail donnant accès au parking afin de ralentir les secours. Ce sont des véhicules personnels des gendarmes qui ont été visés : « Les gendarmes ont été réveillé par les odeurs de fumée, elles provenaient de dessous les bâtiments où sont logés les militaires et leurs familles Les occupants des logements ont été évacués et le feu a été rapidement maîtrisé par les pompiers. Les véhicules visés sont des véhicules civils, qui appartiennent aux familles. C’est un nouveau cap qui est franchi » déclare le colonel Yves Marzin. Selon le maire de la ville, Jean-Philippe Blanc : « Deux voitures ont pris feu sous l’auvent de l’immeuble, ce qui a provoqué l’incendie de la façade. Des fenêtres ont fondu, d’autres ont explosé, mais la fumée n’est pas rentrée dans les appartements, il ne devrait heureusement pas y avoir de relogement ». Les services techniques de la ville sont mobilisés pour rétablir l’eau et l’électricité.

Pour le général Olivier Kim, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne-Franche-Comté :

« les événements sont récents, donc bien sûr il y a une véritable émotion, mais on ne doit pas céder à l’émotion, simplement en regardant l’histoire. Au cours de la guerre d’Algérie, certaines gendarmeries étaient l’objet d’attaques. Dans certaines régions de France, des mouvements séparatistes s’en sont parfois pris aux gendarmeries. Il faut réagir avec sang-froid, et ne pas tomber dans une paranoïa qui nous gênerait dans l’exécution de nos missions. En un mot, la gendarmerie continue de protéger ses concitoyens, comme elle le faisait avant ce type d’événement ».

C’est la deuxième fois en un mois que des locaux militaires isérois sont ciblés par des incendies, selon le même mode opératoire. Le 21 septembre, c’est la gendarmerie de Grenoble qui a été touchée, plus exactement les locaux techniques du groupement de gendarmerie de l’Isère. Un feu revendiqué par des membres de la mouvance anarcho-libertaire sur le site internet Indymedia. Rappelons que cet incendie a opportunément détruit une partie des éléments d’enquête sur la disparition de la petite Maëlys de Araujo…

Déjà à Limoges, le 19 septembre, cinq véhicules garés sur un parking de la caserne Jourdan, abritant le groupement de gendarmerie de la Haute-Vienne, avaient été détruits par les flammes. Dans les deux cas, la mouvance liée à l’extrême-gauche est suspectée d’être à l’origine de ces incendies, qui coïncident avec ceux ayant visé la société Enedis, qui installe les compteurs électriques Linky, à Grenoble et à Limoges.

Au moment des faits, le Figaro avait indiqué que la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) s’inquiétait du risque de dérives de certaines factions de l’ultragauche et redoutait un scénario analogue à celui qui vit la formation du groupe terroriste Action Directe, formé et entraîné par le KGB avec quelques piges pour le Mossad…

Il n’est pas étonnant que dans une ville détenue par l’extrême gauche comme Grenoble, la vermine se sent chez elle. Assurés de l’impunité gouvernementale, les nervis rouge et noir (non, il ne s’agit pas de hooligans de l’OGC Nice ou du Stade Rennais) ont attaqué le 25 septembre des militants royalistes. Le 29 juin, leur torchon La Horde lançait la chasse à notre camarade Alexandre Gabriac, le tout aboutissant aux épisodes que l’on sait à Fontaine. Puisqu’on parle de La Horde, ces derniers se sentent menacé par le développement de la résistante catholique à Chambéry, citant même dans un article votre serviteur (nous en reparlerons).

Rappelons aussi qu’il y a quelques années (en 2011-2012 je pense), des blattes courageusement anonymes avaient fiché les mouvements patriotes, avec également publication des photos des enfants des militants, précisément dans la région de Grenoble.  Ce n’est pas d’aujourd’hui que datent les problèmes. Déjà, le 20 avril 1944, à Voiron, on tuait les bébés de 15 mois pour crime de filiation…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info