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dimanche, 05 novembre 2017

Si Henda a été violée par Ramadan, c’est bien la volonté d’Allah, non ?

Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2017

Si Henda Ayari a été violée par Ramadan, c’est bien la volonté d’Allah, non ?

http://resistancerepublicaine.eu/2017/10/31/henda-ayari-p...

Elle ne pourra que dire que c’est la volonté d’Allah ou Inch’Allah http://islamoncoeur.over-blog.com/article-19532371.html. Et que Dieu l’agrée ou soit satisfait de lui.
Les idéologies totalitaires réduisent la pensée à son minimum : quelques formules suffisent. C’est ainsi que l’on procède pour un lavage de cerveau : par la terreur et le rabâchage d’affirmations que le subconscient de la victime doit « digérer » de gré ou de force. C’est pour cela que l’islam fustige tant les « incroyants », car toute remise en question met le système en péril. Ce qui signifie que certains devraient renoncer à des avantages qui leur sont bien agréables. Et les mafieux ne sont jamais vraiment prêts à renoncer à leur « Butin ».

Laveritetriomphera

Le commentaire de Laveritetriomphera ci-dessus m’a interpellée. Bon sang, mais c’est bien sûr !

Vous avez une femme qui porte plainte contre Ramadan en prétendant y voir un lien entre le viol et le fait de ne pas être violée et qui continue de dégueuler son amour pour l’islam, sa fidélité aux principes mahométans.

Or, le lien d’« islammoncoeur » est clair :

– « Aucun malheur n’afflige les hommes sans la permission de Dieu. »
(64-la déconvenues-11)

De quoi elle se plaint, la Henda ? Ce qui lui arrive est permis par Allah.

Si on en croit le Coran, s’il lui sont advenues des choses désagréables, c’est même qu’elle l’aurait mérité eu égard aux textes coraniques :

 « Ceux qui auront, de toute éternité, bénéficié de notre Grâce, seront éloignés du tourment. »
(21-les prophètes-101)

La Henda n’a pas bénéficié de la grâce divine, serait-ce qu’elle ne l’a pas méritée ?

– « Que me dis-tu, en entrant dans ton jardin : ce que je veux s’accomplit. Il n’y a de force que par Lui ! »
(18-la caverne-38)

Il semble que Tariq Ramadan ait été la main – euh ! le pénis – d’Allah…pour punir la Henda de ses fautes. Quelles fautes ? L’histoire ne le dit pas. Mais c’est une femme, c’est déjà une bonne raison pour la battre et user d’elle sexuellement selon le Coran, non ?

Et puis quoi, Henda ose porter plainte, demander de l’aide à une justice mécréante, et contre un musulman en plus ? Elle contrevient gravement aux ordres coraniques :

« Le Prophète Salla Allahou 3alayhi wa salam dit à Abdallha Ben Abbès :
– Jeune homme ! Je vais t’apprendre des mots : Observe la loi de Dieu, Allah que préservera. Soit lui fidèle, tu LE trouves à tes côtés. Ne demande rien à personne, ni de secours ni d’aide qu’à Lui. Sache que si tout le monde s’unit pour te faire du bien, il ne peut t’accorder que ce que Dieu a réservé. S’il t’accorde à te faire du mal, il ne peut t’arriver que ce que Dieu t’a destiné. Cet arrêt est irrévocable. »

C’est clair, la Henda a fauté, Allah l’a punie…

Et cette conne continue de prier Allah, de le révérer, de se mettre à 4 pattes pour l’honorer.

Quant à savoir si elle a vraiment été violée par Ramadan ou si c’est une mise en scène pour faire vendre son livre…

http://ripostelaique.com/pourquoi-je-nai-pas-une-confianc...

Christine Tasin

 

Source : ripostelaique

Catalogne : le retour du réel

Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2017

Rédigé par notre équipe le 04 novembre 2017.

 

Après avoir bafoué le droit et la morale, les (ir)responsables politiques catalans crient plus que jamais à la dictature. Carles Puigdemont, principal responsable du chaos actuel, appelle à la libération de huit anciens membres du gouvernement catalan placés en détention provisoire. Une nouvelle exigence pour celui qui a pris la poudre d’escampette après avoir placé la Catalogne dans l’impasse d’une pseudo indépendance.

Les événements de Catalogne sont peut-être un exemple des effets d’une baisse du niveau général sciemment mise en place par nos élites. A évacuer la culture et l’esprit civique de l’école, on en arrive à des déclarations ubuesques soutenues par plusieurs centaines de milliers de personnes. Car pour Carles Puigdemont et ses partisans (qui ne représentent même pas la majorité des Catalans), la Catalogne et ses habitants sont opprimés par le pouvoir centrale. Madrid serait une sorte de Franco version new look qui n’aspire qu’à la répression et au malheur de tous ceux qui ont le malheur d’être originaires de Catalogne.

Avec de tels arguments (qui fonctionnent sur certains esprits), il n’est pas très difficile de mesurer le degré d’illégalité qui prévaut dans les actions du gouvernement catalan désormais destitué. Mis au pied du mur par tout un pays, Carles Puigdemont a été obligé de déclarer l’indépendance pour ne pas perdre une seconde fois la face vis-à-vis de ses supporters (ceux-là mêmes qui confondent Rajoy et Franco). Il a gardé la sympathie des catalanistes, mais a sombré dans l’illégalité en déclarant l’indépendance. La tenue d’un pseudo referendum était certes annonciatrice d’une tragi-comédie pour Puigdemont, mais il est toujours curieux de voir un homme s’entêter dans le vide.

Le droit : un jouet pour les indépendantistes

De manière paradoxale, ce dernier a toujours mis le droit en avant sans se soucier une seconde du caractère profondément anti-démocratique et anticonstitutionnel de ses actions. Mais la réalité vient finalement frapper à sa porte. Puigdemont n’a toutefois pas attendu le passage de la justice pour fuir comme un voleur de poule et trouver refuge à Bruxelles… Si l’ancien homme fort de la Catalogne était si sûr de son fait, pourquoi est-il donc parti de sa chère « patrie » enfin devenue indépendante ? La réponse est toute trouvée : la justice espagnole est « politisée »… la preuve, huit membre de son gouvernement sont aujourd’hui en détention provisoire et font l’objet d’une enquête pour « rébellion, sédition et détournement de fonds publics ». Des « prisonniers politiques » clame-t-on du côté des indépendantistes.

Un neuvième devrait normalement les rejoindre en la personne de Carles Puigdemont dont les cours de droit se sont visiblement conclus dans l’antichambre de la salle de classe. Un mandat d’arrêt européen a été émis en bonne et due forme contre lui et si le droit est respecté il devrait être envoyé à Madrid devant les juges. Téméraire mais pas courageux, il se planque en Belgique et pérore : « Je ne vais pas fuir la justice, mais je vais répondre à l’appel de la vraie justice, la justice belge ». Pourquoi réponde à la justice belge s’il n’a rien à se reprocher ?

Puigdemont a-t-il parié sur la faiblesse chronique des Etats qui depuis deux décennies ne sont plus que de vulgaires hombres ? La réaction de l’Etat espagnol est mesurée, mais ferme. Assez pour l’envoyer en prison pendant peut-être 25 ans. Mais dans tous les pays, les quelques esprits indépendantistes (en commençant par l’Ecosse) apprécient cet exemple catalan. Ils savent que le moment n’est pas encore venu, mais ce test grandeur nature n’est que le premier d’une longue série qui doit aboutir à la fin programmé d’un Etat-nation désormais associé à tous les maux pavloviens de certains esprits étriqués. Puigdemont se rêvait en père de la nation catalane, il n’est qu’un vulgaire exilé volontaire à Bruxelles… Notre époque accouche de sacrés héros !

 

Source : 24heuresactu

samedi, 04 novembre 2017

Gauchisme

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2017

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Étudiant tué à Montpellier : l’auteur sortait de prison pour meurtre

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2017

INFO MÉTROPOLITAIN. Le meurtrier présumé de l’étudiant de 20 ans, poignardé à mort jeudi vers 22h dans la rue Saint-Guilhem, devant la supérette située à l’angle de la rue de la Valfère, dans l’Écusson à Montpellier est âgé de 29 ans. Il n’est pas né en France. Formellement identifié dans la nuit grâce à la caméra de vidéosurveillance de la supérette et au fichier des personnes déjà condamnées, il est déjà connu de la justice, notamment pour homicide volontaire.

En effet, il a été condamné en 2013 à dix ans de réclusion criminelle par la cour d’assises des Hauts-de-Seine et il avait été récemment libéré après avoir purgé une partie de sa peine. Il était venu s’installer à Montpellier, dans un appartement du Plan Cabanes, proche du cours Gambetta, où il a été interpellé ce vendredi à l’aube.

Outre sa condamnation pour meurtre, son casier judiciaire en mentionne d’autres, très nombreuses et notamment des délits de violences volontaires avec arme sur la voie publique.

Coup de couteau pour tuer

Selon l’enquête de police qui a reconstitué les faits, jeudi vers 21h30, l’étudiant et sa compagne qui résident dans le quartier voisin de Chaptal se sont disputés sur un trottoir du quartier de Plan Cabanes pour un motif anodin, une querelle de couple. Témoin de la dispute, un inconnu vêtu d’un jogging bleu, d’un tee-shirt blanc et se déplaçant pieds nus s’en est mêlé, prenant fait et cause pour la jeune femme, ce qui n’a pas été goût de son copain.

Il a vertement fait savoir à cet individu de les laisser régler seuls leur problème et de quitter les lieux. L’individu aurait alors sorti un couteau. La jeune femme a été protégée par des témoins de la scène, tandis que l’étudiant s’est enfui en courant par la rue du faubourg du Courreau, vers le centre-ville, poursuivi par l’inconnu au couteau.

Ce dernier a pu retrouver l’étudiant rue Saint-Guilhem, devant la supérette où il lui a porté deux coups de lame, dont une à bout portant en plein coeur, “un coup avec l’intention de tuer”, selon une source proche de l’enquête. La victime a agonisé jusqu’à l’arrivée des pompiers et d’un médecin du Smur-Samu 34 qui n’ont pas pu le ranimer.

Une autopsie a été ordonnée par le procureur de la république de Montpellier. La garde à vue du meurtrier présumé a été reconduite de 24 heures ce vendredi soir dans les locaux du SRPJ.

 

Source : e-metropolitain

Chronopost ne livre plus dans certains quartiers de Saint-Denis

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2017

Ivan Capecchi|03 novembre 2017, 20h18

Saint-Denis. Le quartier du Franc-Moisin fait partie des zones qui ont connu des problèmes de livraison ces derniers mois. LP/G.B.

Depuis plusieurs mois, des habitants ayant utilisé le service Chronopost se plaignent de ne pas être livrés à leur domicile. « Priorité à la sécurité de nos chauffeurs », répond en substance l’entreprise qui a blacklisté les zones qu’elle juge sensibles.

Cité du Franc-Moisin, quartier Delaunay-Belleville… Depuis plusieurs mois, des habitants de Saint-Denis se plaignent de ne pas recevoir, à leur domicile, des colis commandés via Chronopost. Dans un courrier adressé à la mairie à l’été, courrier que nous nous sommes procuré, le PDG de cette filiale du groupe La Poste s’en explique. Il invoque des problèmes d’insécurité : « Durant l’année 2016, sur le territoire national, 51 de nos chauffeurs ont été victimes de vols avec violence(s) ». Et de préciser que, le 4 janvier 2017, un chauffeur a été « agressé par trois individus » à Saint-Denis. « Ceinturé » puis « immobilisé contre un mur », le livreur aurait reçu des coups de poing, avant d’être défaussé d’une partie de sa marchandise. Pour prévenir de tels risques, l’entreprise aurait dressé une « liste » de quartiers jugés sensibles à éviter.

Madjid Messaoudene, conseiller municipal délégué à l’égalité des droits, ne se satisfait pas de cette explication. Même s’il dit entendre l’argument sécuritaire, il ne peut constituer la « seule réponse ». « On ne peut pas, dit-il, condamner tout un secteur parce qu’un livreur a été agressé. » « Pourquoi devrait-on payer pour les bêtises des autres ? », renchérit Aïcha*, une habitante du quartier Franc-Moisin. Elle aussi a connu des problèmes de livraison. La première fois, c’était il y a environ un an et demi. Après avoir passé une commande, elle finit par « recevoir un message lui disant qu’elle devait récupérer son colis dans un point relais » alors qu’elle avait « bien précisé qu [’elle] souhaitait le recevoir chez [elle] ».

Situation similaire pour Thomas, un habitant du quartier Delaunay-Belleville. Par deux fois, il a tenté de commander des couches sans qu’elles ne parviennent jusqu’à chez lui. Le 16 mars, il a décidé d’interpeller la société via Twitter afin de réclamer la « liste officielle » des quartiers considérés comme sensibles. En message privé, l’entreprise lui rétorque que « cette liste n’est pas à la disposition [des] clients dans la mesure où elle est en constante évolution ».

Un peu court pour Madjid Messaoudene qui, lui aussi, demande l’accès à cette fameuse liste. Ne serait-ce, dit-il, que pour avoir un aperçu de l’étendue des problèmes. De son côté, Thomas a saisi Christian Raoult, délégué du Défenseur des droits en Seine-Saint-Denis, pour qu’il statue sur son cas. Si le défenseur des droits ne peut pas rendre d’avis contraignant, il émet une expertise juridique ainsi que des recommandations. « Nous nous réservons le droit de saisir, nous aussi, le défenseur des droits », réagit pour sa part Madjid Messaoudene. Contacté, Chronopost n’a pas été en mesure de répondre à nos questions.

*Le prénom a été modifié.

Comment l’entreprise définit ses zones sensibles

Dans son courrier adressé à la mairie pour justifier la réduction de ses services, Chronopost donne un début d’explication quant à la façon dont elle détermine une zone à risques pour ses livreurs. L’entreprise indique par exemple que sa « Direction Sûreté, régulièrement en relation avec les autorités de police, est amenée à vérifier […] les risques potentiels ou réels des opérations de livraison ». Si restriction de services il y a, Chronopost assure toutefois en limiter l’impact « à une ou plusieurs rues, […] en évitant de l’étendre à des quartiers entiers ». « Notre entreprise et nos chauffeurs, précise toutefois la société, ne peuvent […] feindre d’ignorer la réalité de terrain, et les risques qui sont en rien hypothétiques. »

 

Source : leparisien