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mercredi, 01 novembre 2017

Attentat de New York : qui est Sayfullo Saipov, le suspect interpellé

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

Zoé Lauwereys (@zlauwereys)|

01 novembre 2017, 8h16 

 
L'auteur présumé de l'attaque de Manhattan est Sayfullo Saipov, un Ouzbek de 29 ans, arrivé aux Etats-Unis en 2010. ABC

Si les autorités restent prudentes, les premiers éléments concernant le parcours de l’auteur de l’attentat de Manhattan apparaissent sur les réseaux sociaux.

Il a roulé à tombeau ouvert mardi après-midi sur une promenade du bord de l’Hudson, à Manhattan (New York), laissant derrière lui des piétons et cyclistes renversés. Sayfullo Saipov, un Ouzbek de 29 ans, est soupçonné d’être l’auteur de l’attaque au camion-bélier qui a tué au moins huit personnes et en a blessé onze autres.

Selon le New York Times, Sayfullo Saipov arrive en 2010 dans l’Ohio depuis Tachkent, la capitale de l’Ouzbekistan. Il a alors 22 ans et parle à peine anglais.

Sans que l’on sache encore quand, le jeune homme part s’installer à Fort Myers (Floride). Il devient chauffeur de camion et rencontre Kobiljon Matkarov, 37 ans, immigré ouzbek comme lui. «Quand je l’ai connu, c’était un type bien (...) Il aimait les Etats-Unis, il semblait chanceux, heureux, et tout avait l’air d’aller bien», a expliqué ce compatriote au New York Times.

 

Le suspect serait marié et père de deux enfants, a expliqué de son côté Kobiljon Matkarov au Tampa Bay Times. Selon ce quotidien diffusé en Floride, Sayfullo Saipov avait une résidence à Tampa, dans le nord-ouest de l’Etat.

La résidence de Tampa où aurait vécu Sayfullo Saipov

AFP/Getty Images/Joseph Garnett Jr.

Le suspect de l’attaque de Manhattan pourrait avoir vécu dans cet appartement de Tempa en Floride. Sayfullo Saipov aurait donné cette adresse lorsqu’il a été arrêté pour un défaut d’entretien de son véhicule.

Sayfullo Saipov repart ensuite dans le nord du pays et s’installe dans le New Jersey, à Paterson, à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest de New York. Là, il devient chauffeur Uber. Selon l’entreprise de chauffeurs privés interrogée par le quotidien new-yorkais, tous ses antécédents ont été vérifiés à ce moment-là, sans que le moindre soupçon ne soit éveillé.

Sayfullo Saipov est détenteur d’une «Green Card», un permis de séjour permanent, a confié une source policière au New York Times.

Mardi après-midi, après avoir tué onze personnes à Manhattan, le jeune Ouzbek a été blessé au ventre par un tir policier et a été interpellé. Selon CNN, un mot, écrit en anglais et laissé dans le camion meurtrier, prêterait allégeance à l’organisation terroriste Etat islamique. Des témoins ont par ailleurs raconté que Sayfullo Saipov avait crié «Allah Akbar» et «Dieu est grand en arabe» alors qu’il venait d’abandonner son véhicule.

 

 Source : leparisien

 

Calais : une jeune femme a été violée par un clandestin en rentrant chez elle

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

Auteur : Pierrot

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Ce qui devait arriver, arriva… Pour faire cesser cette folie, il faudrait que la population locale se soulève, qu’il y ait des représailles, des camps brûlés et des rotules cassées. Mais la répression des fanatiques républicains serait alors terrible…

Non pas contre les envahisseurs qui rentrent chez nous sans entrave, se nourrissent et se logent grâce à notre argent, pillent et violent avec l’assentiment des associations « humanitaires » gauchistes, mais contre nous, qui désirons simplement vivre en paix dans le pays de nos parents et de nos grands-parents.

Un pays blanc, traditionnel, catholique et paisible. Un pays où nos enfants n’apprennent pas à aduler des starlettes allogènes et transgenres dès l’âge de 5 ans. Un pays où la quête de richesse n’est pas l’objectif ultime de millions de moutons en quête du bonheur matériel et où les femmes ne sont pas obligées de limiter les trajets à pied de jour. Un pays où les croix catholiques ne sont pas détruites sur ordre de la justice maçonnique avec la bénédiction de l’Eglise. Une France où l’invasion migratoire et son corollaire islamique seraient rangés au rang des mauvais souvenirs.

Si nous ne travaillons pas à atteindre ces objectifs, les viols et les pillages des millions d’africains qui débarquent en Europe, se feront de plus en plus nombreux chaque année.

Une femme a été violée à Calais lundi 31 octobre dans la soirée, vers 23h40, a appris franceinfo de source proche du dossier. D’après le récit de la victime, l’auteur du viol était un migrant. La jeune femme, qui travaille dans un hôtel, rentrait chez elle lorsqu’elle a été agressée par un homme avenue Charles-de-Gaulle. Il l’a menacée d’un couteau, l’a traînée dans des bosquets à proximité et l’a violée.

 

contre-info

Source : francetvinfo via  FDS

CÉLÉBRONS LA FÊTE DE LA TOUSSAINT

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

La Toussaint est une solennité célébrée le 1er novembre par l’Église catholique latine en l’honneur de tous les saints, connus et inconnus. La célébration liturgique commence aux vêpres le soir du 31 octobre et se termine à la fin du 1er novembre. La Toussaint est la veille de la Commémoration des fidèles défunts.


Célébrons la fête de la Toussaint

Dès le 4ème siècle, l’Eglise syrienne consacrait un jour à fêter tous les martyrs dont le nombre était devenu si grand qu’il rendait impossible toute commémoration individuelle. Trois siècles plus tard, dans son effort pour christianiser les traditions païennes, le pape Boniface IV transformait un temple romain dédié à tous les dieux, le Panthéon, en une église consacrée à tous les saints. Cette coutume se répandit en Occident, mais chaque Eglise locale les fêtait à des dates différentes jusqu’en 835, où elle fut fixée au 1er novembre. Dans l’Eglise byzantine, c’est le dimanche après la Pentecôte  qui est consacré à la fête de tous les saints. 

Souvent on croit souvent que la Toussaint, c’est la fête des morts au cours de laquelle on va fleurir les tombes. Il n’en n’est rien car la fête des morts, c’est le lendemain de la Toussaint ! 

En fait, le 2 novembre, les chrétiens fêtent les morts. C’est le jour où on se rappelle des morts de notre famille, de nos amis, de tous ceux qui nous sont proches. On se souvient de ceux qui sont partis. Les familles vont fleurir les cimetières. Ainsi, on n’oublie pas ceux qu’on a aimés. Ce n’est pas parce qu’ils sont partis physiquement qu’on ne pense plus à eux.

mardi, 31 octobre 2017

Eh oui !

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2017

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Le pays saturé d’illégaux : les policiers dénoncent un système ubuesque

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2017

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Depuis l’assassinat de Mauranne et Laura, à la gare Saint-Charles de Marseille, les préfets ont des consignes strictes du ministre de l’Intérieur et numéro 2 du gouvernement, Gérard Collomb, pour organiser les procédures d’éloignement, voire de « rétention » des migrants illégaux. Très bien. On ne peut qu’applaudir.

Là où les choses se compliquent, c’est qu’il est absolument impossible de faire exécuter ces décisions. Ceci en raison de procédures qui, dans les faits, s’opposent à la « rétention » (le mot « rétention » plaît davantage aux oreilles chastes et de gauche que le mot « détention ») de ces personnes qui séjournent en toute illégalité dans notre pays.

Par ailleurs, même si les procédures étaient modifiées, simplifiées, se pose un autre problème, totalement insurmontable, celui-là : il n’y a plus de places pour la « rétention » des clandestins. Le nombre de ce type de places est exactement de 1755, dont 184 dans les territoires d’outre-mer. Mais même si la totalité de ces 1755 places étaient implantées en Guyane, elles ne suffiraient déjà pas pour retenir les flots de migrants illégaux ayant envahi le territoire guyanais. Idem à Mayotte. Idem à Calais.

Les préfets ne peuvent donc pas appliquer la circulaire de leur ministre de tutelle. A qui la faute ? A beaucoup de monde, mais en particulier à un ministre de la Justice nommé Christiane Taubira, coqueluche des médias il y a peu, et en tout cas dans le même parti que Gérard Collomb…

Nous en sommes à guetter les places qui se libèrent dans les CRA, les centres de rétention administrative. Dès qu’une place est inoccupée, un clandestin y est acheminé.

16 à 18 heures de route

Les syndicats de police dénoncent à longueur de journée une situation ubuesque, qui oblige une escorte policière à trimballer par exemple un migrant illégal arrêté à Briançon jusqu’à un centre de rétention situé à Toulouse : 1400 kms aller-retour pour les fonctionnaires, 16 à 18 heures de route, simplement pour s’assurer de la détention d’un individu. Quand on sait que les illégaux se comptent désormais par centaines de milliers, on imagine les terrifiants volumes de temps passés sur la route et le coût représenté par ces voyages insensés.

Mais plus aberrant encore : si l’interpellé, bien conseillé, refuse son placement en rétention, une fois arrivé au centre d’affectation, il doit alors être renvoyé devant un juge du tribunal du lieu d’interception. Reprenons l’exemple du migrant de Briançon. S’il refuse son internement, les fonctionnaires de police doivent le transporter jusqu’au juge de la ville de Gap, compétent pour Briançon. C’est en quelque sorte un retour à la case départ, qui double le temps et la distance (et le coût) de l’opération ! Les sites des syndicats de police sont remplis de récits de ce genre, qui traduisent une irritation certaine chez ces fonctionnaires : longues absences loin de leur famille, fatigue, dangerosité des individus transportés, risques d’évasion démultipliés, mais surtout un sentiment d’inutilité absolue.

Synergie Officiers, syndicat affilié à la CGC, évoque par exemple le cas d’un clandestin arrêté à Grenoble et placé en rétention à Lille, au seul motif qu’une place venait enfin de s’y libérer. « Inertie, absurdité ou sabotage ? », s’interrogent les policiers.

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Extrait de: Source et auteur

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