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samedi, 10 octobre 2015

Hollande demande à Taubira d’aggraver la chasse aux Blancs

Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2015

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Une bagarre à la sortie d’un bar entre Chaïb Zehaf et Jean-Marie Garcia. Chaïb Zehaff meurt.  Jean-Marie Garcia est condamné mais la famille Zehaff demande à ce que l’on requalifie le crime de crime raciste.  L’affaire est rejugée. Sont invités à la barre comme témoins, Dominique Sopo et Bernard-Henri Lévy qu’on ne présente plus. Bien évidemment, ces deux témoins n’ont rien à voir, ni de près ni de loin, avec cette affaire et se trouvaient bien loin du lieu du drame lorsque celui-ci s’est produit, le 4 mars 2006 à Oullins. C’est en tant qu’autorités morales qu’ils sont conviés à la barre. BHL ne transige pas. Il est sûr de lui. Sentencieusement, sans connaître l’accusé,  en dépit de ses dénégations et malgré le premier jugement  de la Cour, notre philosophe décrète que le crime est raciste. Rien ne lui permet de le dire sinon que Chaib Zehaff est d’origine algérienne.

La circonstance aggravante est retenue. Le 29 janvier 2009, la Cour d’Assises du Rhône condamne Jean-Marie Garcia  à 25 ans d’emprisonnement.

Il y a fort à parier qu’elle ne l’eût pas été dans le cas contraire où Chaïb Zehaff aurait tué Jean-Marie Garcia.

La loi qui existe est déjà  éminemment discutable et discriminatoire. Elle  revient en effet à établir que  tuer quelqu’un pour le dépouiller  est  moins grave que le tuer parce que sa couleur de peau ne vous convient pas . Elle établit donc, de facto,  une hiérarchie dans la gravité du crime qui n’a rien à voir avec le crime lui-même mais avec les intentions réelles ou supposées de l’auteur.

La notion de circonstances aggravantes est certes tout à fait fondée.  La raison d’être de la loi est  de protéger les faibles et de compenser les inégalités naturelles : un enfant doit être protégé d’une brute adulte. On reconnaît là la circonstance aggravante.  Mais avec cette loi, on en revient à juger sur des intentions; autrement dit, on entre  en terrain particulièrement glissant. Le cas cité plus haut en est un exemple.

Terrain d’autant plus glissant que tous les citoyens ne sont pas à égalité devant cette loi. Le racisme anti-Blanc n’est pas reconnu.  Par conséquent, les seuls justiciables pouvant se prévaloir de cette loi sont ceux qui ne sont pas Blancs, alors que ces derniers  peuvent toujours  tomber sous le coup de ladite circonstance aggravante sans pouvoir jamais en bénéficier à leur tour. Quel brillant avocat aurait assez de talent pour établir devant une  Cour que  « face de craie »ou « sale babtou »aggrave le degré du crime?

Or, François Hollande,  surfant sur la vague Morano,  demande à la Garde des Sceaux de préparer un texte réformant le Code Pénal pour faire de  « toute inspiration raciste ou anti-sémite une circonstance aggravante pour une infraction, quelle qu’elle soit, et quel qu’en soit l’auteur. »

Ubuesque, orwellien, je vous laisse le choix du qualificatif.

Il s’agit maintenant d’étendre la loi existante  à  « toute infraction ». Rien donc ne saurait sortir de son champ. Rien ne saurait lui échapper. Tout acte, toute infraction, tout délit ou crime, sera envisagé à cette aune suprême : s’agit-il de racisme? Ce qui revient  à établir dans les faits que cambrioler la maison d’un Arabe sera  plus grave que de cambrioler l’appartement de Madame Michu, et sanctionné en conséquence.

Autre sujet d’inquiétude sémantique est l’emploi du mot « inspiration ». Que faut-il comprendre? Pour ce mot, le dictionnaire nous indique: impulsion, mouvement soudain, mouvement  intérieur qui pousse à agir. Il y a dans inspiration l’idée d’une force intérieure incontrôlable et soudaine qui peut surprendre n’importe qui n’importe quand. C’est une notion  beaucoup plus floue, beaucoup plus insaisissable et  invérifiable que « mobile » .

Qui pourra jurer, devant un expert psychiatre, qu’inconsciemment, l’inculpé n’a pas été traversé d’une inspiration de nature raciste? Comment se défendre contre l’inspiration et l’inconscient? Voilà l’inculpé sans parade possible devant un expert ou une autorité morale qui lui soutiendront que, s’il a riposté à un agresseur au taux de mélanine différent du sien, c’est  parce qu‘inconsciemment,  il a éprouvé uneimpulsion soudaine qu’il n’aurait pas eu autrement?

Torquemada n’aurait pas osé, Hollande l’a fait.

La République ne connaît pas de races ni de couleurs de peau, a réaffirmé le Président. C’est au nom de ce principe que la Justice nie l’existence des Blancs sauf pour les déclarer coupables.

Rien ne justifiait  de durcir cette  loi déjà discriminatoire. Voilà qu’en l’espace de quelques jours, non seulement nous ne pouvons plus nous désigner autrement que par les qualificatifs de « sans dents » ou de « souchiens » mais, quoi que nous fassions, il sera retenu contre nous la circonstance aggravante d’être nés Blancs dans notre propre pays.

Monique Bousquet

Source : http://ripostelaique.com/hollande-demande-a-taubira-daggr...

vendredi, 09 octobre 2015

Manuels scolaires : Vallaud-Belkacem veut supprimer les contes traditionnels

Publié par Guy Jovelin le 9 octobre 2015

 

tripletteNajat Vallaud-Belkacem, la piètre ministre de l’Éducation Nationale, a publié un communiqué mercredi qu’elle entendait traquer les stéréotypes de genre jusque dans les manuels scolaires. Ainsi les nouveaux programmes (CP jusqu’à la 3ème) «sont une occasion importante pour améliorer les manuels et ainsi prévenir les discriminations de stéréotypes qui alimentent les inégalités entre les élèves. ».

La sinistre s’appuie sur une « étude » du centre Hubertine Auclert (association féministe militante) pour partir en guerre contre les contes traditionnels tel que Le Petit Chaperon rouge ou Cendrillon.
Selon les harpies féministes « de nombreux contes issus de la culture populaire » sont « truffés de représentations sexistes, ils ont valeur d’autorité littéraire et cantonnent le plus souvent les personnages féminins à des rôles stéréotypés. »

Le rapport en profite pour attaquer la représentation du couple homme-femme et réclament des « modèles familiaux diversifiés » dans les manuels scolaires pour enfants de 5 ans…

Source : http://www.contre-info.com/

La mairie de Puteaux offre une piscine à 250 000€ aux frais des contribuables en… Israël !

Publié par Guy Jovelin le 9 octobre 2015

CaptureDans le numéro d’octobre du magazine Capital, un long dossier est consacré à  « l’extravagant train de vie du secteur public ». Si de nombreux sujets sont abordés, on apprend que le maire de Puteaux a financé, avec l’argent de ses administrés, une piscine pour 250 000€ dans la ville israélienne de Gan Yavne ! Mais, en plus de donner des centaines de milliers d’euros d’impôts locaux aux juifs, le maire prépare un voyage à 60 000€ pour surveiller l’avancement des travaux !

Article complet de Capital : « Partir en voyage aux frais du contribuable, c’est bien. Mais se débrouiller pour que cela vous rapporte des voix aux élections suivantes, c’est mieux encore. La recette de cette martingale ? C’est Joëlle Ceccaldi-Raynaud, la maire de Puteaux (Hauts-de-Seine), qui nous la livre. Pour se concilier les faveurs des trois fortes communautés portugaise, marocaine et juive qu’abrite sa commune, elle a signé des pactes d’amitié avec Braga (Portugal), Tanger (Maroc) et Gan Yavné (Israël). Et elle s’impose de mener régulièrement des visites de courtoisie dans ces villes pour entretenir les liens. C’est ainsi qu’elle a programmé l’envoi d’une délégation de douze personnes, dont six élus et quatre fonctionnaires, à Gan Yavnépour… surveiller l’avancement des travaux réalisés (aux frais de Puteaux) dans la piscine de cette cité proche de Tel-Aviv. Pour des raisons de sécurité, le voyage n’a pas encore pu avoir lieu (Gan Yavne est à portée des roquettes tirées de Gaza). Mais le conseil municipal a donné son accord et autorisé sans barguigner le déblocage des 60 000 euros de crédits nécessaires. A noter qe le maire devrait être du voyage, ainsi que son fils, lui aussi élu municipal.  »

Source : http://www.contre-info.com

 

jeudi, 08 octobre 2015

Migrants et Français : pas les mêmes droits!

 

Photo de Olivier Ballet.

Une évasion par jour : mais que fait Taubira ?

Publié par Guy Jovelin le 8 octobre 2015 

On parle souvent des évadés fiscaux. Beaucoup moins des évadés de prison :

Unknown-18"D’après RTL, depuis le début de l’année, ce sont 236 détenus qui se « sont évadés pendant une permission de sortie », soit près d’une évasion par…jour ! La radio cite des exemples : « les détenus ne reviennent par exemple pas d’un enterrement, de l’hôpital ou d’un rendez-vous administratif et n’ont pas besoin de déjouer la surveillance puisque l’immense majorité va et vient librement ». La station ajoute que les détenus en permission n’ont pas de bracelet électronique et qu’ils ne font pas l’objet d’une surveillance policière.

Au total, l’administration pénitentiaire a délivré 40 000 permissions de sortie de prison depuis le début de l’année. Les détenus qui purgent une peine de plus de cinq ans doivent, en théorie, attendre un tiers de l’exécution de leur peine, avant de pouvoir demander une autorisation de permission."

Michel Janva

Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html