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lundi, 06 juillet 2015

Commémoration du massacre du 5 juillet à Oran

Publié par Guy Jovelin

Dimanche 5 juillet, invité de Gérald Légier délégué du CNC Tarn et Garonne (82) (Cercle National des Combattants, présidé par Roger Holeindre) j’ai rendu hommage en tant que Pied Noir et au nom du Parti de La France à toutes les personnes tombées à Oran le 5 juillet 1962 sous les balles du FLN de l’ALN et ATO avec la complicité du gouvernement français, orchestré par le criminel de guerre de gaulle. 
Après avoir entonné avec une trentaine de personnes présentes la Marseillaise et le chant des Africains (l’hymne des pieds noirs) j’ai présenté le Parti de la France de Carl Lang à l’assistance. Le message est très bien passé et j’ai pu enregistrer de nombreux contacts.2015-07-05 18.10.16.jpg2015-07-05 18.24.21.jpg2015-07-05 18.41.29.jpg

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dimanche, 05 juillet 2015

5 juillet 1962 : le massacre d’Oran, avec la complicité de De Gaulle

 Publié par Guy Jovelin

Le général Katz, ordure aux ordres d’une autre ordure

Ce 5 juillet à Oran, alors que le prétendu « cessez-le-feu » était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroule une chasse aux Blancs visant les malheureux qui n’avaient pas encore eu le temps de quitter les lieux.

« On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »

Bilan : 3 000 morts et disparus.

Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».

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vendredi, 03 juillet 2015

La justice annule la suspension de Jean-Marie Le Pen

 Publié par Guy Jovelin

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Source RTL cliquez ici

La suspension de Jean-Marie Le Pen par le bureau exécutif du Front national a été annulée, jeudi 2 juillet, par le tribunal de grande instance de Nanterre, et ce pour une question de forme.

Le FN "devra rétablir M. Jean-Marie Le Pen dans tous les droits attachés à sa qualité d'adhérent et le cas échéant à celle de président d'honneur", précise le jugement.

Le cofondateurdu parti d'extrême-droite avait été suspendu le 4 mai dernier de son statut d'adhérent, une sanction prise par les plus hautes instances du parti à la suite de dérapages verbaux.

 

Le bureau politique du FN s'était alors désolidarisé officiellement des propos tenus par son président d'honneur: "Le Bureau politique désapprouve les propos tenus et réitérés par Jean-Marie Le Pen, notamment ceux exprimés dans les colonnes du journal anti-FN Rivarol, contraires à ses valeurs politiques et statutaires ainsi qu’à l’objet social de l’association". 

Le bureau exécutif lui avait retiré le statut d'adhérent et une assemblée générale du parti devait décider "dans les trois mois" de lui supprimer son statut de président d'honneur.

Après un demi-siècle d'indépendance, l'Algérie n'est plus qu'une poubelle à ciel ouvert

 Publié par Guy Jovelin

 

En accompagnement du voyage éclair de François Hollande à Alger, la télévision française nous a proposé deux documentaires sur l’Algérie : « L’Algérie vue du ciel » par Yann Arthus Bertrand, sur France 2. Un documentaire magnifique qui nous a enchanté, mais hélas commenté par Yazid Tizi dans un texte très engagé et rempli de contre-vérités historiques. C’était tout à fait regrettable et inutile car la beauté des paysages se suffisait à elle-même.

Le second, en revanche, offert par France 3 et son magazine Thalassa, sous le titre : « L’Algérie, une mer retrouvée », est fortement sujet à polémique, notamment de la part des Algériens eux-mêmes.

En effet, révélée par Médiapart le 13 juin, des reporters de l’émission se sont livrés à des commentaires peu flatteurs sur ce document filmé en Algérie et distribué dans plusieurs cinémathèques.

Selon le quotidien algérien Liberté du 15 juin 2015, ce documentaire « L’Algérie, une mer retrouvée », nous a présenté une Algérie de carte postale, avec des allures d’eldorado touristique, une sorte de Nouvelle-Calédonie sans Kanaks. Des plages immaculées car nettoyées avant chaque prise de vue et filmées en vertu d’autorisations délivrées par 8 ministres, sans que cela soit mentionné à l’antenne par les producteurs et réalisateurs.

Il a consterné les Algériens qui l’ont visionné. Il présentait des sites paradisiaques, des sports d’été, une harmonie de vie sans faille, etc. Les Algériens avaient la réelle impression de découvrir les côtes d’un pays étranger et non pas les plages jonchées d’ordures de toutes sortes que le commun des citoyens algérien fréquente.

Pourquoi vouloir à tout prix, même au prix de mensonges, donner de l’Algérie actuelle l’image de l’Algérie d’il y a soixante ans, l’image de l’Algérie « vivante », propre, gaie, où il faisait bon être venu au monde, grandir, vivre ?

Ecoutons certains intellectuels algériens qui ne sont pas aveuglés par une propagande destructrice et une indignation de mauvais aloi.

L’Algérie qui fait s’écrier à la journaliste Raïna Raïkoum dans le Quotidien d’Oran : « Des milliers de bouteilles vides d’eau minérale emportées par le vent, roulant sur l’asphalte. Une terrible saleté sur les plages algériennes, des sachets, des détritus. Pas la saleté habituelle mais une saleté plus ample, plus grave, qui dure. Fallait-il libérer ce pays avec du sang pour, au final, le noyer dans la saleté ? »

Et toujours dans « Le quotidien d’Oran », Ahmed Farrah : « Le malheur d’une certaine frange d’Algériens (les vieux) c’est d’avoir des repères que les jeunes n’ont pas. L’indépendance a fait la fierté de notre peuple, mais peut-on, aujourd’hui, parler de fierté en Algérie alors que la régression est partout visible à rendre myope ? Le temps des bibliothèques scolaires et municipales, des librairies et des grandes éditions, des bouquinistes et des kiosques dans les villes et les villages. Le temps de la lecture et de la culture. Le temps où le maitre d’école en blouse grise était le notable et le modèle. Le temps de l’obligation de sortir les poubelles à la tombée du jour et de les rentrer avant le passage de l’arroseuse communale qui nettoyait les rues. Le temps des denrées bien achalandées dans des lieux nets, propres et astiqués. Le temps de la pudeur, du respect, où l’on n’importunait pas les femmes dans les bus. Le temps des vertus et de l’honnêteté. Le temps des solidarités entre voisins qui partageaient ce qu’ils avaient. Il n’est nullement question de sentiments nostalgiques « pieds-noirisés », ni de l’idéalisation d’un passé décomposé (qu’est-ce que ce serait alors ?) mais simplement de rappeler que l’Algérien était alors travailleur, laborieux, appliqué, consciencieux, bien élevé, respectueux, sociable, pacifique et civilisé. Une fois le « colon » chassé où en sommes-nous un demi-siècle plus tard ? On récolte ce que l’on a semé ! »

L’Algérie que Kamel Daoud décrit comme une « poubelle »« Il y a quelque chose de lourd, de douteux et de trop insistant dans l’indignation. On y trouve une volonté de faire dans le zèle pour masquer quelques honteuses évidences. »

Le Lac de Réghaïa, ce joyau de la nature à seulement 30 km d’Alger, décrit comme un paradis puant, dans El Watandu 11 avril : « Un marécage aux odeurs pestilentielles, des marais aux eaux verdâtres où il est nécessaire de se boucher le nez pour l’approcher. »

Ne serait-il pas plus honnête de présenter aux Algériens et aux Français le visage de l’Algérie telle qu’elle est devenue après un demi-siècle d’indépendance et non pas de tenter de l’enjoliver pour le plaisir de quelques uns en déniant la réalité ?

Source : http://magoturf.over-blog.com/

COLONISATION MIGRATOIRE À CRÉTEIL : « IL Y A MOINS DE 10 BLANCS POUR 376 ÉLÈVES » AU COLLÈGE AMÉDÉE LAPLACE

 Publié par Guy Jovelin

Colonisation migratoire à Créteil : « il y a moins de 10 Blancs pour 376 élèves » au collège Amédée Laplace

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