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samedi, 18 août 2018

C'est un migrant qui a égorgé le passager du bus

Publié par Guy Jovelin le 18 août 2018

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L’homme soupçonné d’avoir égorgé un passager dans un bus parisien le 8 août, mis en examen et écroué jeudi, est un étranger en situation irrégulièredéjà connu des services de police pour différents types d’infractions.

Bruno Lafourcade analyse ce terrorisme de proximité :

"Dans le crime de masse, il appartient à la branche artisanale : c’est l’auto-entrepreneur de l’attentat, l’assassin du quotidien ; appelons-le le terroriste de proximité. Lui, il ne tue pas en se réclamant de Daesh, il n’a même pas besoin de crier : « Allahou akbar ! ». Non, lui, il va acheter un couteau de cuisine à Carrefour, et il poignarde sa voisine de quatre-vingts ans.

Avant, il a fait ses armes dans la drogue et la prédation, et s’est mêlé à d’autres ambitieux, qui tuent leur temps en tuant des individus isolés. Ils en choisissent un, blanc, lui demandent une cigarette, lui reprochent de les avoir regardés, et lui tombent dessus à sept ou huit, le tabassent et le laissent pour mort après lui avoir volé son smartphone et vingt euros. Si Anne-Sophie Lapix en parle, le lendemain, ce sera pour évoquer une « rixe » ou un « crime gratuit ».

Encouragé, notre homme lance donc sa petite entreprise. Encore une fois, ce n’est pas lui qui se fera sauter dans une salle de spectacle ou foncera dans une foule avec une estafette louée ; non, lui, il travaille dans le local : il essaie de violer une lycéenne à la sortie d’une boîte de nuit, et poignarde le jeune homme qui l’a défendue. Si Laurent Delahousse en parle, le lendemain, ce sera en évitant de dire son nom, sa nationalité, en indiquant qu’il est « déséquilibré », et en rangeant son attentat Leader Price parmi les faits divers.

Ce terrorisme artisanal, qui s’est tellement banalisé que nous ne voyons plus qu’il est du terrorisme, s’étend partout, désormais ; on le trouve à Périgueux, à Mons, à Châtellerault, à Dunkerque, à Aix, à Metz – partout, donc. Il continuera de prospérer tant qu’on le considèrera de façon isolée, seul dans son genre alors qu’il se produit tous les jours en France, tant qu’on jugera ces tueurs comme s’il s’agissait de types qui ont provoqué une bagarre dans un bal du samedi soir après avoir trop bu, tant qu’on refusera de les voir comme les membres du terrorisme islamiste, dont ils occupent un segment de marché en apparence moins spectaculaire que celui de leurs « grands frères » de Daesh, mais qui se révèle jour après jour plus meurtrier."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

jeudi, 09 août 2018

« Chaque jour des musulmans égorgent des Français »…L’égorgé du jour…

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2018

 
 
 

Publié le 8 août 2018 - par 

 

Dans notre dernier numéro, Jean Sobieski exprimait sa colère, devant un scénario qui se répète quotidiennement. Il y a quelques jours, c’était Adrien Perez, âgé de 26 ans, qui, dans une boîte de la banlieue grenobloise, fêtait ses 26 ans, qui était poignardé à mort par deux musulmans, par ailleurs frères.

https://ripostelaique.com/chaque-jour-des-musulmans-egorg...

A noter que le maire de Grenoble, l’immigrationniste écolo Eric Piolle, n’a pas daigné publier le moindre communiqué, pour s’exprimer sur ce drame. Sans doute la victime était-elle trop française, et les assassins trop musulmans…

Il faut écouter le témoignage bouleversant de la mère d’Adrien, à qui le remplaçant de Jean-Jacques Bourdin a laissé la parole, sur RMC. Elle a osé dire (dommage qu’elle n’ait pas de nom sur sa formule) que ce sont toujours « Nos enfants qui se font assassiner par les mêmes ».

http://www.fdesouche.com/1054949-temoignage-choc-de-patri...

Puis nous avons appris la mort d’un homme (dont on ignore le prénom, le nom et la photo) de 30 ans, qui, le soir de son anniversaire, a eu le malheur de vouloir défendre une amie, agressée par des voyous dans les rues de Jarny, en Meurthe-et-Moselle. A remarquer que la presse et la police ne balancent pas le nom du coupable, ce qui, en général, signifie qu’il n’a pas un prénom français…

http://www.europe1.fr/faits-divers/meurthe-et-moselle-mor...

https://ripostelaique.com/chaque-jour-des-musulmans-egorg...

Et ce jour, encore un homme de 50 ans, poignardé en plein Paris, à 7 heures du matin, dans un bus. Le malheureux a osé protester quand un cycliste a voulu entrer dans le bus avec son vélo, ce qui est juste interdit par le règlement. L’homme au vélo a alors sorti un couteau, et a poignardé sa victime à la gorge. Encore un mort. Certes, tout est possible, dans ce cas, on ignore encore le nom de la victime et celui de son assassin. Mais on peut imaginer que si le mort s’appelait Mohamed et le tueur Lucien, cela ferait déjà le tour de tous les médias. D’autant plus que selon les premiers témoins, l’assassin aurait demandé à sa victime si elle  parlait arabe…

Il est donc fort probable que, comme le disait la mère d’Adrien Perez, cette affaire confirme que ce sont toujours les mêmes qui tuent nos enfants.

Par ailleurs, on remarque de nombreuses études sur les attaques au couteau en France, sauf que, bien que fort précises, elles omettent l’essentiel. La plupart des musulmans et des migrants, par tradition, portent un couteau sur eux, et n’hésitent pas à s’en servir contre d’autres clandestins, lors de batailles ethniques qui se multiplient, soit contre des infidèles qui ont la malchance d’être là au mauvais moment.

https://www.kmkc3.com/self-d%C3%A9fense-actualit%C3%A9/ag...

https://www.mudoculture.fr/blog/2017/12/lames-fatales--ob...

Il est révoltant, par ailleurs, de noter que dans ces trois cas, les victimes se sont révoltées contre l’inacceptable, que cela soit une agression ou un geste incivique, et qu’elles ont payé leur courage de leur vie.

Dans la France de Macron, nos dirigeants ont décidé que les malheureux qui osaient se révolter contre les envahisseurs pouvaient être assassinés dans l’indifférence générale, sachant que les meurtriers n’étaient en général sanctionnés que par des peines légères. Ils ont décidé que nos compatriotes qui s’armaient pour se défendre, et qui tuaient pour ne pas être tués, devaient faire 12 ans de prison (paysan de Nantes) ou 10 ans (buraliste de Lavaur).

Encore pire, les traitres qui dirigent le pays multiplient les confiscations d’armes contre nos compatriotes, et cela depuis un moment, bien avant l’épisode des « 10 terroristes d’ultra-droite » rejoints par trois autres.

https://www.lanouvellerepublique.fr/loir-et-cher/coup-de-...

Par contre, aucune démarche n’est entamée contre les porteurs de couteau, musulmans la plupart du temps, qui égorgent nos enfants les uns après les autres, chaque jour.

Macron et Collomb désarment les Français, et foutent une paix royale aux musulmans à couteau.

Nous sommes vraiment dirigés par des salauds.

Lucette Jeanpierre 

Source: https://ripostelaique.com/legorge-du-jour-avait-50-ans-il...

Paris : le passager d’un bus « gratuitement » égorgé pour une histoire de vélo (MàJ : le meurtrier a demandé à sa victime « s’il parlait arabe »)

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2018

Par  le 08/08/2018
 
 

Un passager d’un bus RATP, âgé de 50 ans et originaire du Val-de-Marne, a été mortellement et « gratuitement » poignardé par un cycliste qui tentait de monter dans le véhicule avec son vélo. Le drame a eu lieu ce mercredi à 6h20 à l’arrêt du 255, porte de Clignancourt (XVIIIe), au nord de Paris.

(…) « Un passager s’en est offusqué », relate une source policière. Un autre témoin entend l’agresseur « demander à sa victime s’il parle arabe ». Ce dernier, qui ne semble pas le connaître, l’enjoint de « le laisser tranquille ». Le cycliste sort alors un couteau, le poignarde à la carotide et quitte le bus. La victime tente de le poursuivre, mais s’effondre sitôt sur la chaussée.

(…) Le Parisien via fdesouche

mercredi, 15 juin 2016

Il menace de mort des policiers et leurs familles : un homme en garde à vue à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2016

Un homme de 44 ans a été placé en garde à vue à Toulouse après avoir menacé des policiers de la BAC de les "égorger" et de "mettre une balle dans la tête de leurs femmes et de leurs enfants". Après l'attaque meurtrière de Magnanville, ce type de propos est plutôt malvenu.

 
Les faits se sont passés place des Pradettes © Google

© Google Les faits se sont passés place des Pradettes

 
Les policiers de la brigade anti-criminalité de Toulouse ont placé en garde à vue mardi soir vers 22h40 un homme qui les menaçait de mort ainsi que leurs familles, a-t-on appris de souce policière.

Les policiers ont contrôlé un homme qui consommait de l'alcool sur la voie publique place des Pradettes. L'homme s'est rebellé et a menacé "d'égorger" les policiers et "de mettre une balle dans la tête de leurs femmes et de leurs enfants". Des propos qui l'ont immédiatement conduit en garde à vue. Il devrait être déferré au parquet dans la journée. 

Des propos qui interviennent au lendemain de la mort d'un policier et de sa compagne fonctionnaire du ministère de l'Intérieur, à leur domicile de Magnanville dans les Yvelines, tués à l'arme blanche sous les yeux de leurs enfants de 3 ans par un homme qui se revendiquait de Daesh. 

Depuis cette affaire, les policiers sont sous le choc et les syndicats réclament que les fonctionnaires de police puissent garder leurs armes en permanence.