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dimanche, 23 décembre 2018

Belgique : « À Bruxelles, 90% des allocataires sociaux sont d’origine étrangère. Cette ville est en voie de paupérisation à cause de l’immigration »

Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2018

Par  le 22/12/2018

 

FIGAROVOX/ENTRETIEN – Alain Destexhe analyse les tensions autour de l’immigration en Belgique. Le modèle multiculturaliste a échoué, argumente-t-il.

Pourquoi la question de l’immigration a-t-elle une telle importance en Belgique?

Par rapport à sa population, la Belgique a reçu beaucoup plus d’immigrés que ses voisins, y compris la France. Dans les années 2000, le solde migratoire a été quatre fois plus important en Belgique qu’en France ou en Allemagne! Les problèmes qui en résultent (absence d’intégration, communautarisme, développement de l’islamisme) ont été niés ou minimisés.

Il y a aussi un clivage entre Flamands et Wallons. Au nord du pays, la NV-A et le Vlaams Belang (parti proche des thèses de Marine Le Pen) se sont emparés depuis longtemps de ces questions migratoires. Au sud du pays, la presse et les partis politiques se sont montrés plus réticents. De plus, le nord du pays vote majoritairement à droite (l’extrême droite et la droite nationaliste comptent pour près de 40% du corps électoral alors que le sud vote à gauche.

(…)

A quel point Bruxelles est-elle aujourd’hui une ville multiculturelle?

Bruxelles compte déjà probablement 30% de musulmans. En quelques années à peine, les Belges d’origine sont devenus minoritaires à Bruxelles. (…) Le Parlement régional bruxellois, où les Belges d’origine étrangère sont en passe de devenir majoritaires, vote des résolutions sur la Palestine ou les Rohingyas de Birmanie mais ne s’intéresse pas à la situation des droits de l’Homme en Turquie. Dans les écoles primaires publiques bruxelloises, plus de 50% des enfants suivent le cours de religion musulmane.

(…) La démographie est, ici, une question centrale. Bruxelles est devenue la seconde ville la plus cosmopolite du monde après Dubaï, sans en avoir la richesse. Autrefois, la ville la plus riche du royaume, elle est en voie de paupérisation suite aux vagues migratoires. À Bruxelles, 90 % des allocataires sociaux sont d’origine étrangère. Cela devrait faire réfléchir ceux qui prônent des frontières ouvertes tout en dénonçant la montée des inégalités.

(…) Le Figaro via fdesouche

mardi, 28 novembre 2017

Bruxelles ma belle ? NON, Bruxelles poubelle !

Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2017

 

Korbo.émeutes brussel.22.11.2017.jpg

 Pieter Kerstens

Il ne se passe plus une semaine, sans que la capitale de l’Eurabia ne soit le théâtre d’émeutes. Elle est fort lointaine l’époque où Jacques Brel chantait « c’était au temps où Bruxelles brusselait …»

Ce samedi 25 novembre les casseurs, racailles et autres beurs ont choisi l’avenue Louise et le quartier Matongé pour détruire tout ce qui n’est pas à leur goût.

Le gouvernement belge pour sa part persiste dans le déni des réalités et semble ignorer les leçons à tirer des émeutes qui, depuis 1995, se multiplient au grand bonheur des complices de l’Islam conquérant. Parce qu’il ne faut pas porter les lunettes roses des politiciens socialo-écolo-marxistes pour constater que ces répétitions de déprédations gratuites ne sont pas l’œuvre de mécontents ardennais, flamands ou expatriés français.

Une responsable élue écolo de la commune de Molenbeek vient de découvrir l’eau chaude. Ce week-end elle déclarait aux médias : « C’est hallucinant de se dire que la plus grande mosquée de Bruxelles était aux mains du pays(l’Arabie Saoudite) qui défend l’Islam le plus rigoriste. » Cette idiote réclame en outre « encore plus de mixité », alors qu’à l’inverse les musulmans mettent tout en œuvre pour chasser les derniers blancs des quartiers qu’eux-mêmes occupent. Il suffit de circuler dans les zones de non-droit, non seulement à Molenbeek, mais aussi à Bruxelles, à Schaarbeek, à Forest ou à Anderlecht. Et lorsque les classes moyennes foutent le camp, les recettes fiscales diminuent.

FAIRE FACE !

Malgré les ravages économiques, sociaux, culturels et financiers, la secte socialo-écolo-libéro-capitaliste, au pouvoir de l’Agglomération de Bruxelles depuis bientôt 30 ans, refuse d’appliquer l’Ordre et la Loi sur son territoire et autorise, par laxisme et complaisance, toutes les dérives de la communauté maghrébine. Tous ont estimé que ces immigrés pouvaient s’intégrer ou s’assimiler à la société et aux mœurs des Bruxellois. Erreur ! C’est l’inverse qui s’est imposé avec la multiplication des mosquées, des boucheries hallal, des cantines sans cochon, des babouches, des kamis chouars et des burqas.

En conséquence et pour ne pas choquer la susceptibilité de ces « nouveaux Belges » les bourgmestres (maires) et les politicards à la tête des 19 communes bruxelloises interdisent à la police d’appliquer la loi envers la racaille et les délinquants qui, semaine après semaine, testent la résistance du Pouvoir à leurs débordements. Il ne faudrait quand même pas mécontenter ces électeurs potentiels … qui crachent sur notre civilisation.

QUAND CE N’EST PLUS SUPPORTABLE, ON NE SUPPORTE PLUS !

De nombreux électeurs bruxellois blancs en ont ras-le-bol de la mansuétude des élus vis-à-vis des exactions commises par des délinquants immigrés. En octobre 2018 de nouvelles élections communales auront lieu en Belgique. Mais face à l’immobilisme et à la lâcheté des édiles locaux, il est fort probable qu’une partie du corps électoral exprime son exaspération dans les urnes et que l’on assiste au renouveau des partis nationalistes et identitaires, les seuls ayant dénoncé au fil des ans le danger de l’immigration/invasion et de ses corollaires d’insécurité, de baisse du niveau scolaire, du chômage endémique, de la haine de l’Europe, de trafics divers ou du terrorisme. Même les touristes étrangers dénoncent la décrépitude de la capitale de l’Europe.    

 

Source : synthesenationale

vendredi, 03 mars 2017

Bruxelles menace de sanctions les pays de l'UE n'accueillant pas de réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2017 

© Yves Herman Source: Reuters
Le commissaire européen chargé des migrations, Dimitris Avramopoulos
 
La Commission européenne a durci le ton face aux Etats membres de l'UE, menaçant de sanctions ceux qui refusent d'accueillir des réfugiés, tout en appelant à durcir les mesures contre les migrants en situation irrégulières.

Sur ces deux facettes de sa politique migratoire, la Commission s'est voulue ferme, alors que l'Union doit faire face aux arrivées incessantes sur les côtes italiennes et à la fragilité du partenariat noué avec la Turquie pour mettre fin aux traversées massives en mer Egée.

«Il en va de notre devoir de pouvoir affirmer clairement, aux migrants, à nos partenaires dans les pays tiers et à nos concitoyens, que si des personnes ont besoin d'aide nous les aiderons, sinon elles doivent rentrer», a insisté le 2 mars le vice-président de la Commission, Frans Timmermans.

Voir l'image sur Twitter

: le maire Natacha Bouchart tente d’empêcher les de profiter de l'aide humanitaire https://francais.rt.com/france/34703-natacha-bouchart-calais-arrete-municipal-migrants 

Le commissaire européen chargé des migrations, Dimitris Avramopoulos, a prévenu devant la presse qu'on n'hésiterait pas à lancer des procédures d'infraction contre les pays refusant d'accueillir des demandeurs d'asile depuis l'Italie et la Grèce.

Quelque 13 500 demandeurs d'asile ont pour l'heure été relocalisés depuis la Grèce et l'Italie, alors que les pays européens s'étaient engagés en septembre 2015 à en accueillir jusqu'à 160 000 en deux ans.

Ce plan, réservé aux migrants quasiment certains d'obtenir un statut de réfugiés, visait à la fois à montrer la solidarité de l'UE avec ceux qui fuient la guerre et à soulager l'immense pression sur Athènes et Rome.

Mais la Hongrie, l'Autriche et la Pologne «refusent toujours de participer au programme», tandis que d'autres, la République tchèque, la Bulgarie, la Croatie et la Slovaquie, «n'y prennent part que dans une mesure très limitée», a déploré la Commission.

De fait, les objectifs du plan, contesté en justice par la Hongrie et la Slovaquie, ont été considérablement réduits : 54 000 places sur 160 000 ont été rendues disponibles pour des réinstallations de Syriens depuis la Turquie, dans le cadre du pacte migratoire scellé en mars 2016 avec Ankara. 

Et ce même accord a considérablement fait chuter les arrivées en Grèce, avec des «traversées quotidiennes entre la Turquie et les îles grecques qui sont passées de 10 000 personnes par jour en octobre 2015 à 43 par jour aujourd'hui», selon la Commission.

Le nombre de personnes éligibles à une relocalisation se trouvant en Grèce est désormais estimé à environ 20 000 par la Commission, contre plus de 5 000 en Italie, où la plupart des arrivants sont considérés comme des migrants économiques à renvoyer.

«Il n'y a plus d'excuses pour les Etats membres», a insisté Dimitris Avramopoulos.

«Rétention»

Bruxelles a aussi présenté un «plan d'action» pour renvoyer de manière plus systématique les migrants irréguliers.

Plus de 530 000 ont fait l'objet d'une décision de renvoi en 2015 par les pays de l'UE, mais seulement 36,4% de ces décisions ont été appliquées, déplore la Commission. 

Elle souligne que les Etats membres pourraient «avoir plus d'un million de personnes à renvoyer» parmi les migrants arrivés ces deux dernières années et dont les demandes d'asile ont été ou vont être rejetées.

La Commission, qui a proposé de mettre à disposition 200 millions d'euros en 2017, demande notamment aux Etats membres de raccourcir «les délais de recours» contre les décisions de retours, qui ne doivent plus «comporter de date d'expiration».

Voir l'image sur Twitter

En baisse dans les sondages, le gouvernement déclare que 300 000 seront «rapidement expulsés» https://francais.rt.com/international/34227-allemagne-veut-expulser-300-000-migrants-demande-asile-rejetee 

Elle a pressé tous les Etats membres de placer «en rétention les personnes auxquelles une décision de retour avait été signifiée», dès lors qu'il y avait un «risque de fuite», et à autoriser des durées de rétention d'au moins six mois.

«Les centres de rétention ne doivent pas être considérés comme quelque chose ressemblant à des camps de concentration, ce qui serait très éloigné de nos principes», s'est défendu Dimitris Avramopoulos.

«Les négociations d'accords de réadmission avec des pays tiers doivent être accélérées», a également demandé l'exécutif européen, appelant à des pourparlers avec le Nigeria, la Tunisie et la Jordanie, le Maroc et l'Algérie.

Interrogé sur la possibilité d'installer des camps de migrants en Afrique, où l'UE ferait le tri entre réfugiés et migrants économiques, Dimitris Avramopoulos a assuré qu'«on n'en était pas encore arrivé à ce stade».

 

Source : francais.rt

mardi, 06 décembre 2016

Bruxelles – L’archevêché annonce la désacralisation d’1 église sur 5 ! Pour en faire des boîtes de nuit ou des mosquées ?

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2016

par 5 décembre 2016

archidiocese-bruxelles-malines

La Belgique est touchée de plein fouet par la déchristianisation, résultat direct du travail épouvantable d’un clergé ultra-progressiste en rupture avec tous les dogmes catholiques.

L’archidiocèse de Malines-Bruxelles vient d’annoncer qu’il envisageait de désacraliser une église sur cinq à Bruxelles.

Au-delà du premier choc, il convient de s’intéresser à ce qui va être fait de ces églises détournées de leur finalité. L’archidiocèse évoque différentes pistes : transformation en logements (ailleurs, certaines églises ont été réaménagées en hôtels), en lieux culturels (en Belgique comme ailleurs en Europe, des églises servent désormais de boîtes de nuit),… Mais il est aussi envisagé de céder des églises  » à d’autres cultes « . Ce qui, sans le dire explicitement, signifie clairement l’intention de l’archidiocèse de contribuer à ce que des églises catholiques deviennent des mosquées.

Quand donc les catholiques mettront-ils fin à de tels scandales ?


Projet de désacraliser plusieurs églises à Bruxelles

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 15 septembre 2016

Fête de l’Aïd : Bruxelles présente ses excuses aux musulmans et prévoit des dédommagements

 Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2016

Par le 15/09/2016  

Le ministre-président bruxellois Rudi Vervoort (PS) a présenté mercredi matin les excuses du gouvernement bruxellois aux personnes qui ont eu à subir les conséquences de l’organisation, à Bruxelles, de l’abattoir temporaire, confiée à un opérateur privé.

Disant avoir constaté avec colère que la société ITC n’avait tenu ses engagements ni envers les fidèles, ni envers la Région bruxelloise, il a annoncé avoir requis les services d’un avocat pour étudier la meilleure façon de dédommager les personnes lésées et d’obtenir réparation auprès de celui-ci.

Selon M. Vervoort, le bilan précis de l’édition 2016 de la fête du sacrifice sera établi dans les prochains jours, en concertation avec toutes les parties impliquées: services régionaux, communes et associations musulmanes. [...]

 

 


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Source : fdesouche