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vendredi, 25 janvier 2019

Traité d'Aix la Chapelle : c'est la France que Macron assassine

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

Cellule Argumentaire du PdF

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Traité d'Aix la Chapelle :  
c'est la France que Macron assassine
 
 
 
Ce mardi 22 janvier à Aix la Chapelle, sans qu'aucun débat national n'ait été engagé en France, Emmanuel Macron et Angela Merkel signeront un nouveau traité de « coopération et d'intégration » France/Allemagne visant à renforcer les liens entre les deux pays et accélérer les convergences en matière de sécurité, de Défense, de fiscalité, d'industrie, de commerce, d’éducation, de recherches, d'environnement, de climat, de santé et questions sanitaires, et de relations internationales. Un renforcement basé sur le socle du traité fondateur de l’Élysée conclu en 1963 par le général De Gaulle et le chancelier Adenauer.
En 1963, le traité était signé à Paris, capitale d'une France ambitieuse et à la manœuvre qui concevait l'Europe comme un moyen de sa grandeur. Quelles que soient, par ailleurs, les fautes commises par Charles De Gaulle, fautes que nous n’oublions pas, il savait que la question allemande devait toujours être abordée par notre pays en se souvenant de cette affirmation nationale établie depuis Philippe Auguste, affirmation structurante d'une politique que les siècles ne peuvent abolir : « Le roi de France est empereur en son royaume ».
En 2019, le nouveau traité sera signé sur le sol allemand. On aurait tort de n'y voir qu'un symbole.
Là où le Traité de l’Élysée créait les conditions d'une étroite coopération entre deux Nations et deux États distincts aux destinées désormais communes, celui d'Aix la Chapelle imprimera dans le marbre un processus de fusion progressive voulu comme inéluctable. Un processus qui, par la force des choses, la faiblesse de nos dirigeants et la complaisance complice de nos « élites », ferait à terme de la France un Land annexé et de l'Allemagne la puissance dominante d'une Europe de la finance, de l'immigrationnisme et de la soumission au mondialisme (cf. le préambule du Traité : France et Allemagne, fermement attachées à un ordre international fondé sur des règles et sur le multilatéralisme dont les Nations Unies constituent l’élément central).
La partie consacrée à l'Alsace-Lorraine est, à bien des égards, édifiante. Si le Traité ne conduit pas à la « vente » de nos deux provinces comme tend à le faire croire une interprétation simpliste (peut être volontairement simpliste, au demeurant, tant il est vrai que les officines du pouvoir savent user des fausses nouvelles et de l'outrance savamment orientée pour mieux discréditer une opposition), il met, en revanche, en place les conditions d'une germanisation linguistique et juridique menant, sous couvert de faciliter la vie des transfrontaliers, à une appropriation culturelle et économique allemande. Barrès et le Daudet de La dernière classe doivent se retourner dans leurs tombes.
Outre la formalisation d'une pratique infâme instituée par Sarkozy d'ouvrir à intervalles réguliers les Conseils des ministres à un ministre de l'autre État, plusieurs éléments particulièrement inquiétants figurent dans le traité comme la création d'un comité permanent de Défense Franco/Allemand, source de paralysie future (faudra-il l'accord du Bundestag pour engager nos troupes sur un théâtre extérieur, ou pour procéder à des exportations d’armes ?) et dont on peut penser qu'il est destiné, à moyen terme, à ressortir la vieille idée de mise en commun de l'arme nucléaire française ; ou la mise en place d’équipes mixtes bi nationales au sein de nos représentations à l'ONU qui préfigurent le partage du siège français permanent au Conseil de sécurité et la codécision en matière de véto. (Article 8 : "Les deux États coopéreront étroitement au sein de tous les organes de l'organisation des Nations Unies (...) Ils mettront tout en œuvre pour aboutir à une position unifiée dans le cadre des organisations appropriées des Nations Unies". Et, toujours dans cet article 8 riche en enseignements, une affirmation en forme d'aveux qui en dit long sur ce qui se trame entre Paris et Berlin : L’admission à un siège permanent au sein du Conseil de sécurité de l'ONU est un objectif majeur de la diplomatie franco-allemande).
On le voit, la philosophie de ce Traité est simple : ce qui est allemand reste allemand et s'impose à la zone euro ; ce qui est à la France sera, à terme transféré à l'Allemagne.
Dès lors que le Traité sera signé, s'engagera un lent mais strict processus qui mènera inévitablement à la mise en œuvre des fins ultimes.
Un Traité peut toujours être déchiré. Et la droite nationale ne s'en privera pas si elle parvient au pouvoir.
Mais il est urgent en attendant que soient freinés les effets de ce « partage » consenti par Macron, partage étant en l'occurrence l'autre nom de la trahison.
L'enjeu des élections européennes est aussi là.
 
   

Nous sommes transportés d'enthousiasme à l'idée que la France va participer à l'augmentation du capital de la banque mondiale à hauteur de 464 millions d’Euros! ! ( loi de finance 2019).  Dans le contexte de pauvreté généralisée des Français,c'est honteux. (20/01/2019)
 
   

Immigration, insécurité, chômage, fiscalisme: Ras le bol ! C'était l'affiche de campagne électorale de Jean-Marie Le Pen à Paris en 1983. Tout était donc déjà dit, il y a 36 ans, et c'est bien dommage qu'il n'ait pas été entendu. (17/01/2019)
 
 

dimanche, 20 janvier 2019

Macron ou l’apparence trompeuse

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2019

 
 

« Tout ce qui brille n’est point or ». Les Français devraient cette semaine se rappeler ce proverbe de leur bon sens national. Il leur permettrait de ne pas succomber à l’assaut de séduction qu’ils ont subi de la part de celui qui occupe l’Elysée depuis 20 mois. La contre-attaque était prévisible. Elle a pris la forme tactique du judo en transformant une faiblesse en force. « Les gilets jaunes sont une chance », a osé le président. Puisqu’ils ont déstabilisé le pouvoir et profondément abîmé l’image présidentielle, celle-ci va renaître comme le phénix en amorçant une seconde phase du mandat, comme un renouveau appuyé sur le mouvement contestataire qui l’a suscitée. Voilà l’espoir caressé : acculé par les mauvaises nouvelles économiques et la révolte fiscale, accablé par la demande de pouvoir d’achat et l’exigence de justice sociale, éreinté par les attaques contre sa personne, le chef de l’Etat va redéployer son seul talent, celui du comédien brillant qu’il fut durant sa campagne. Un mot résume la chose : la performance. En parlant durant plus de six heures devant 700 maires dans une petite commune ceinturée de policiers, il a séduit le microcosme médiatique parisien toujours fasciné par ce qui brille. Peut-être a-t-il réveillé chez certains un peu de fierté nationale fondée sur l’idée que décidément la France est gouvernée par un esprit « brillant ». Le calcul suppose que le contraste avec la confusion et les maladresses verbales des « gilets jaunes » éclatera, d’autant plus que la confrontation aura été évitée, puisque le président se sera exprimé devant des notables d’une région connue pour sa placidité. Flattés et impressionnés par cette longue et talentueuse marque d’attention, ils ont d’ailleurs applaudi. Le peuple est dangereux : il est prudent de s’en tenir éloigné. La cour , celle qu’on avait reçue à la « Rotonde » entre les deux tours ou à la Maison de l’Amérique latine, lors de l’Affaire Benalla, est plus risquée encore car elle dévoile l’oligarchie, la connivence et l’isolement. Les maires, les seuls élus à bénéficier d’une image positive auprès des Français, constituaient l’échelon idéal entre la proximité périlleuse et l’éloignement faussement confortable.

On a donc repeint la façade du quinquennat. Le président brillant est aussi ouvert puisqu’il n’oppose aucun tabou, ni ne pose aucun totem à l’entrée du grand débat. Il cherche même à faire passer la brutalité de certaines de ses formules pour les marques d’un style jeune et direct, celui d’un grand frère qui dit crûment les choses : ceux qui « déconnent », ceux qui racontent des « craques », il ne faut pas les écouter. La fermeté n’est pas la fermeture. La vigueur n’est pas la violence. C’est ce qui doit séparer le président de ses ministres, y compris du premier : il faut laisser à Griveaux, à Castaner ou à Le Maire, le soin d’exclure telle question du débat, ou de réprimer les manifestations de manière suffisamment violente pour les décourager. Le pari est d’assécher les rassemblements et de susciter un réel engouement pour le débat. Si la manifestation de soutien est un succès, et si les élections européennes ne sont pas un échec, puisque la liste présidentielle reprend l’avantage, la chance de restaurer le statut présidentiel qui existait au printemps dernier se fraiera un chemin. Le déplacement à Toulouse pour les voeux aux Armées et symétriquement la garde à vue de Benalla ( avec sans doute une mise en examen qui lui évitera de répondre aux questions des sénateurs…) sont des signes annonciateurs : l’un souligne la fonction régalienne, l’autre montre qu’on ne peut toucher impunément à la réputation du monarque.

On mesurera à la réussite ou non de cette stratégie si la légèreté des Français l’emporte une fois encore sur leur bon sens. La fine pellicule d’or qui vient de recouvrir le buste du roi n’est pas suffisamment épaisse pour résister à la critique décapante du raisonnement. La France est gouvernée depuis bien longtemps maintenant par des élus qui la trahissent sans vergogne. Ceux qui avaient cru voir changer le sort du pays en Mai 2017, savent qu’ils n’ont fait que prolonger le déclin en maintenant au pouvoir nombre de ses acteurs, et sans en modifier les axes principaux, autrement que par une alchimie budgétaire superficielle. La France s’affaiblit économiquement : ses déficits dans tous les domaines en témoignent. Le corps même de la Nation, son peuple, se désagrège, avec le recul persistant de la natalité et le rôle grandissant d’immigrés non assimilés dans sa relative résistance. L’esprit national s’étiole puisque le passé du pays s’appelle repentance, que son présent se nomme soumission à d’encombrants alliés, et que son avenir se confond avec l’effacement dans un magma européen de plus en plus informe.

Si le « grand débat » permet au pouvoir en place de poursuivre son existence au prix de quelques mesures, peut-être grâce à un référendum qui serait la catharsis de la crise, sa dernière étape thérapeutique, il aura été un remède pour la très petite France d’en haut, et un placebo pour celle d’en-bas, condamnée à descendre encore. On pourra lui offrir un certain nombre de parlementaires comme un os à ronger, mais on se gardera de lui donner le référendum d’initiative populaire. La démagogie qui consiste à flatter le peuple, en commençant par les maires, est le contraire de la démocratie qu’on appelle aujourd’hui avec dédain « populisme ».

 

Source : ndf

mercredi, 09 janvier 2019

Macron supprime ses traditionnelles cérémonies des vœux sauf pour les armées

Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2019

Par  le 08/01/2019

 

Le chef de l’Etat, Emmanuel Macron,qui va faire le tour des régions pour le grand débat national, ne fera cette année qu’une seule cérémonie de vœux, pour les armées. Il y en avait eu une vingtaine en janvier 2018.

Très présent en janvier, notamment avec sa « lettre aux Français », qui devrait être diffusée en début de semaine prochaine, puis son tour de France des régions dans le cadre du grand débat national, Emmanuel Macron va en conséquence faire l’économie de son expression publique ailleurs, en supprimant ses traditionnels rendez-vous des vœux.

Fini les habituelles cérémonies au monde rural, aux corps constitués, aux bureaux des assemblées, ou encore à la presse. L’an passé, en janvier 2018, pas moins d’une vingtaine de vœux de ce genre avaient ainsi été adressés par le président de la République. Selon les informations du Parisien , il fera néanmoins une exception, «et une seule», précise l’Elysée, celle des vœux aux armées qu’il tiendra le 17 janvier sur la base du 1er Régiment du Train Parachustiste, à Cugnaux, près de Toulouse. « Il est le chef des armées, donc c’était naturel de maintenir au moins cette cérémonie», précise-t-on.

Le Parisien via fdesouche

mercredi, 02 janvier 2019

Vœux présidentiels : 2019 sera pire que 2018 !

Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2019

Rédigé par notre équipe le 01 janvier 2019 

Macron, un président impopulaire pour de bonnes raisons

Toujours plus bas. Emmanuel Macron a terminé l’année 2018 sur un énième échec. Ses vœux présidentiels ont fait un flop d’audience, ce qui n’est en fait pas bien grave pour l’immense majorité de Français qui s’est passée de cette séance pénible longue de 17 minutes. 24 heures actu a encore les oreilles qui grésillent, mais peut rendre compte de cette allocution où la farce, le cynisme et l’autoritarisme se sont mêlés à un culot très jupitérien.

Dans un discours, il y a le fond et la forme. Commençons par la forme avant de passer à la triste réalité du fond. Pour une fois, notre cher président a fait dans la sobriété. Les vœux ont été enregistrés dans son bureau de l’Elysée entre deux allers-retours au fort de Brégançon (bravo le bilan carbone). Un fond vert aurait suffi, mais Macron a préféré être filmé debout devant la fenêtre entre une toile hideuse de Marianne avec écrit en gros FRATERNITÉ et les drapeaux français et surtout européen. Etait-ce une manière subtile de dire aux Français qu’en poussant encore un peu, il est possible de le faire passer par la fenêtre à défaut de lui faire prendre la porte ?

Un président à côté de la plaque et carrément manipulateur

Le visage toujours aussi amaigri, le président a rapidement souhaité une bonne année 2019 avant d’entrer dans une longue phase d’auto-célébration. L’exécutif et les députés aux ordres ont fait du bon boulot et l’année qui s’ouvre doit « rendre plus efficace le secteur public » et « rendre plus juste le système des retraites ». Traduction du langage macronien, le secteur public va finir d’être détricoté car trop cher et trop…public tandis que les retraités devront se serrer un peu plus la ceinture. Les futurs retraités, eux, devront sérieusement penser à un système de retraite par capitalisation… Voilà pour ce qui a pu être traduit. Le reste est plus compliqué et est donc soumis à la sagacité des lecteurs : « Notre pays veut bâtir un avenir meilleur reposant sur notre capacité à inventer de nouvelles manières de faire et d’être ensemble. Telle est à mes yeux la leçon de 2018 ». On n’y comprend rien sauf le fait que Macron n’a pas compris à l’année qui vient de s’écouler !

« Cette année 2019 à mes yeux décisive » lâche Emmanuel Macron. Le président clame « nous voulons », mais qui est ce « nous » ? Certainement pas les Français qui savent désormais que Macron est une baudruche prête à dire pas mal de contre-vérités juste pour tenir le plus longtemps possible. Des Français qui n’était que 9,2 millions hier soir (contre 11,2 millions l’année précédente) à écouter un président qui ne dit rien, mais qui arrive quand même à lâcher des énormités. C’est ainsi, que sans qu’on lui ait demandé quoi que ce soit, Macron balance un historique « le capitalisme ultra-libéral et financier (…) va vers sa fin ». Vraiment ? Sous l’effet de quelle politique ? Celle ultra-libérale et pro finance de Macron ?

A deux reprises, le président n’a pas pu s’empêcher de faire comprendre que si personne ou presque ne l’apprécie aujourd’hui, c’est parce que des fake news et des méchants Etats (populistes) s’acharnent sur son compte. C’est vrai qu’en regardant France 3 et les pancartes « Macron dégage » qui se transforment en « Macron » sous l’effet du journalisme d’Etat, les fake news sont un véritable danger ! Le président déplore le « culte de l’image » qui permet au fake de l’emporter. Il ne pensait vraiment pas si bien dire !

Ça c’était pour le premier « vœu de vérité ». Il y en aura deux autres aussi désolants et faux que le premier. Un « vœu de dignité » et un « vœu d’espoir » auquel il faut rajouter un « vœu d’écoute, de dialogue et d’humilité ». Il est vrai que si Macron avait été doté de ces qualités, la France (et non pas quelques milliers de manifestants comme aime à le faire croire Castaner) ne se serait pas révoltée pour faire manger son chapeau à ce Gouvernement de cyniques. Mais face à la révolte saine, Macron propose « l’ordre républicain ». Une expression qui ne veut rien dire. L’ordre se suffit à lui même et n’a pas besoin de républicanisme mal senti.

Macron n’a eu à la bouche que le mot d’Europe. L’UE doit protéger les Français et patati et patata jusqu’à la conclusion finale : votez En Marche aux prochaines élections européennes ! Ne pas se plier à ce diktat, c’est prendre le risque d’appartenir à la « foule haineuse » qui s’en prend aux « élus, aux forces de l’ordre, aux journalistes, aux Juifs, aux étrangers, aux homosexuels »… Une manière de rappeler que la France ne serait qu’un pays de collabos ? Et de qui est composée cette « foule haineuse » ? Des gilets jaunes ? Peut-être bien, mais il est difficile de décrypter le Macron, car en aucun cas il n’aura prononcé « gilets jaunes » dans son discours. Trop jeune, le président ne sait peut-être pas que ne pas nommer la réalité, ce n’est pas la faire disparaître.

Enfin, Macron a tenté maladroitement de dire qu’il n’était pas un homme du système, un bourgeois qui ne pense qu’au « pognon de dingue ». La preuve, il a « grandi en province » et « connaît ces terres ». Macron serait un brave paysan « au travail » qui ne compte pas ses efforts pour élever chacun… La farce aurait pu être drôle si les vies de millions de Français n’étaient pas en jeu. Macron ferait bien de ne plus « être au travail », de prendre la poudre d’escampette, car celle de perlimpinpin ne fonctionne plus. 2019 sera bien une année décisive. Soit l’anémique Macron réussit son pari anti-France, soit il passe par la fenêtre et constituera un bel exemple d’un réveil français attendu avec impatience et inquiétude.

 

Source : 24heuresactu

samedi, 29 décembre 2018

Qui va marcher pour Macron le 20 janvier ?

Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2018

  

Aussi incroyable que cela puisse paraître, un appel à une marche de soutien au président de la République le 20 janvier 2019 a été lancé sur Facebook.

L’affaire semble tellement mal embarquée que cet appel à une marche “en soutien à Emmanuel Macron” a rapidement été rebaptisé “Marche républicaine des libertés”. Une appellation plus fourre-tout, de façon à permettre à tous les BHL, CRIF et autres GODF de se ranger plus facilement dans cette manifestation destinée à contrer les gilets jaunes.

La question toute naturelle qui vient à l’esprit est de savoir qui organise cette marche. Pour l’instant, seul un prénom est mis en avant : Laurent, qui se présente comme un ingénieur toulousain qui ne cache pas sa sympathie pour La République En Marche.

Sur Europe 1, l’anonyme Laurent s’est lancé dans un plaidoyer pour sauver le soldat Macron.

“Quand j’entends ‘le président des riches’, qu’il est à la solde des banquiers, d’un nouvel ordre mondial complotiste, ça me choque et je trouve ça injuste.”

Alexandre Benalla sera-t-il dans le coup ?

 

Source : medias-presse.info