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samedi, 06 octobre 2018

Macron en pèlerinage chez le général de division…

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2018

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Macron en pèlerinage chez le général de division…

 

L’adepte du “nouveau monde” fait comme tout le monde en se rendant au sanctuaire de la république moderne, sur la tombe de celui que l’on doit adorer si l’on veut se faire une place sur l’échiquier politique français, du Rassemblement National à la France Insoumise.

Comme tous les autres, il se donne l’illusion d’être un homme d’Etat en s’inclinant sur ce tombeau. Avec De Gaulle, Emmanuel Macron s’offre une cure de jouvence aux sources de la Ve république. Il prendra quelques points dans les sondages.

Le Président en marche y est d’ailleurs allé de son petit couplet sur la grandeur de l’Etat. Cet Etat qui, la la veille de la visite présidentielle, s’est vu condamné pour la première fois par sa plus haute juridiction administrative pour sa responsabilité dans les “conditions indignes” dans lesquelles ont été accueillis les harkis après l’abandon de l’Algérie.

On se demande qui organise l’agenda de Macron car, là encore, il fallait le faire !

Qui d’autre que De Gaulle est responsable des “conditions indignes” d’accueil de ces harkis parqués dans des camps de concentrations ? Et l’on n’évoque dans cet arrêt que ceux qui ont pu rentrer en métropole grâce à des soldats de l’honneur ayant désobéi aux ordres du chef de l’Etat tant adulé. Les autres, à cause de ces mêmes ordres, ont été torturés, violés, massacrés, comme des milliers de pieds-noirs, quelquefois à quelques pas de militaires ou de policiers français, armes à la bretelle, qui obéissaient aux consignes criminelles données par De Gaulle et ses complices.

C’est le prince machiavélique de la raison d’Etat que Macron est allé honorer, celui de qui Jacques Perret pouvait écrire en 1963 : “général de brigade à titre provisoire, de division à titre définitif !

Tant que l’on n’en finira pas avec ce mythe fondateur de la décadence française, rien ne changera au royaume de France. On ne construit rien sur le mensonge et l’imposture.

 

Source : lesalonbeige

vendredi, 05 octobre 2018

Et si le problème de Macron c’était Brigitte ?

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2018

Rédigé par notre équipe le 05 octobre 2018. 

Brigitte Macron aime la lumière, les flashs qui crépitent et les Unes de journaux qui flattent. De la prise de l’Elysée aux rencontres internationales, la presse n’a d’yeux que pour Brigitte et son style à copier dans toutes les écoles de mode selon ses plus grands fans. Sauf que Brigitte n’est peut-être pas le porte-bonheur du président tant loué dans les médias. Ses caprices et sa manie de se mêler des affaires de l’Etat constituent un danger qui pourrait bien accélérer le naufrage de la Macronie.

La vie devait finalement lui être si douce… Brigitte Macron a eu plusieurs vies. Née en 1953 (eh oui, déjà !) dans une famille de chocolatiers réputées pour ces macarons, Brigitte a préféré le Macron. Oui, le jeu de mot est facile, mais mieux vaut un peu d’humour pour raconter son triste sort. Mariée en 1974, elle a trois enfants et mène une vie paisible à Amiens, la ville qui l’a vue naître.

La vie pas si facile sous les ors de la République

La saga met du temps à se mettre en place, mais elle arrive enfin dans les années 1980. Alors professeur de français (et de théâtre à ses heures perdues), Brigitte rencontre l’amour de sa vie. Un amour seulement âgé de quinze ans qui use ses fonds de culotte aux côtés d’une des filles de cette prof pas comme les autres. A partir de là, le récit a été raconté à des milliers de reprises dans une presse française qui ne retient pas sa joie. Brigitte et Emmanuel tombent amoureux, passent leur vie à se téléphoner, etc… Le reste est classé X et est alors susceptible de tomber sous le coup de la loi. A cette époque (Schiappa n’était pas encore passée par là), le délit d’atteinte sexuelle est puni de prison, mais les deux tourtereaux vivent leur liaison et finalement Brigitte divorce pour se marier un an plus tard avec Emmanuel.

Brigitte serait la muse, la raison de vivre du jeune Emmanuel. Une femme droite qui ne veut que le bien de son mari et de la France par la même occasion. Or, les éloges (dis)gracieux qui se multiplient dans la presse au sujet de Brigitte ne sont pas tout à fait innocents. Madame est une intime de Mimi Marchand, la grande « prêtresse de la presse people ». Un vrai titre de noblesse dans notre société en pleine décadence qui permet surtout au couple présidentiel de compter les articles élogieux par dizaines chaque jour. Pas une promenade, pas une robe, pas un pseudo secret n’échappe à Mimi Marchand et son armée de communicants. Du Brigitte et de l’Emmanuel jusqu’à la nausée.

Brigitte serait un roc sur lequel s’appuie le petit Emmanuel. Un président qui lorsqu’il est seul face aux Français ne manque jamais de les rabaisser. Faisant le pitre à Colombey-les-Deux-Eglises pour commémorer le 60e anniversaire de la Ve République, Macron n’a pas pu se retenir. Il a encore attaqué les retraités qui ont, selon lui, trop tendance à « se plaindre ». S’ils savaient se faire plumer sans broncher, « le pays se tiendrait autrement ! ». Un nouveau dérapage ou une manière peu orthodoxe d’envoyer un message à Brigitte ?

Car, il se dit qu’il y a de l’eau dans le gaz entre les deux amoureux. Non, la différence d’âge n’y est pour rien. Les Macron n’arriveraient plus à communiquer ensemble. Ça communique dans les journaux, les radios, les chaines de télévision, mais ça ne parvient plus à échanger normalement entre eux… Valeurs Actuelles se fend d’ailleurs d’un article dans lequel une scène de ménage a fait trembler les murs de l’Elysée il y a quelque temps. Un membre de la sécurité présidentielle (espérons que ce ne soit pas Benalla de retour) a expliqué que « C’était un huis clos derrière la lourde porte du bureau du président de la République. Mais ça cognait si dur’ qu’on a tout capté ». En gros, Brigitte demandait à son époux de président d’ « arrêter les conneries maintenant ! ».

Il y a de l’orage dans l’air et « Gégé » Collomb en a peut-être fait les frais. Malgré les démentis de l’ancien ministre, Collomb serait tombé en disgrâce et aurait fini par donner sa démission. La raison ? L’ex-ministre de l’Intérieur ne se serait pas assez mouillé pour sauver Macron et Benalla de la tempête. A croire que les mensonges en audition devant l’Assemblée nationale ne sont pas assez pour Brigitte. « Gégé » n’a pas assez défendu Emmanuel et a trop chargé Alexandre (Benalla). Un ancien chef de la sécurité qui tient visiblement une place importante dans le cœur à Brigitte puisqu’il a bénéficié entres autres des services de Mimi Marchand…

Benalla tombé, Collomb parti, les Macrons se retrouvent comme un vieux couple qui ne se supporte plus. Un petit passage à New York (discret pour une fois) et depuis on a plus revu Brigitte. Elle aurait pu elle aussi prendre part aux clichés immondes auxquels s’est prêté son mari à Saint-Martin. Cela aurait au moins valu ceux de les photos de la soirée à l’Elysée avec les danseurs transgenres. Les sourires de Brigitte étaient alors peut-être factices… Les Français, eux, ne rigolent plus depuis longtemps avec ce président hissé tout en haut par l’oligarchie et qui a ramené dans sa hotte une Brigitte dont le goût du luxe et du contrôle ne se dément pas.

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 04 octobre 2018

Chaos Collomb – Macron KO

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2018

Rédigé par notre équipe le 03 octobre 2018. 

Ce n’est plus un avis de tempête, mais bien une alerte ouragan qui souffle sur la Macronie. Alors que Macron faisait le kéké avec des jeunes à Saint-Martin un an après le passage de l’ouragan Irma, le président est chahuté un vent lyonnais qui souffle rudement fort : le Collomb. Un ministre qui présente sa démission, qui se la voit refuser, mais qui part finalement 24 heures plus tard. Le pouvoir n’a jamais été aussi fragile et les preuves de son enlisement sont manifestes. Collomb sème le chaos et laisse son ancien champion KO.

Un ministre démissionnaire sommé de rester, mais qui « maintient sa proposition de démission » et qui se retrouve un jour plus tard à poireauter un quart d’heure pour une passation lunaire avec le Premier ministre. Si les débuts de Gérard Collomb avaient été timides place Beauvau, sa sortie est au moins très remarquée. Ministre nul qui a accumulé les fuites devant la tâche et les bourdes, Collomb n’a jamais trouvé sa place à Paris. Il file donc à Lyon où le maire a démissionné comme un bon petit soldat afin de lui laisser la place et mettre en route la machine à propagande qui devra assurer à Collomb un succès aux municipales de 2020.

Le blues du premier flic de France

Collomb est parti et il laisse un goût amer au reste de l’exécutif. Soutien de la première heure du faux novice Macron et fusible qui n’a jamais dit son non dans l’affaire Benalla-Macron. Une affaire qui a montré une fois encore que le « premier flic de France » était le dernier à savoir ce qui se passait sous son nez. Dans ces conditions, la lutte contre la délinquance et le terrorisme était largement au-dessus de ses maigres compétences. Malmené et prêt à dire n’importe quoi sous serment, Collomb a compris que sa survie passerait par un départ rapide en direction de Lyon.

Malheureusement pour lui, Macron a refusé sa démission et le ministre a alors affirmé partout (et en premier lieu au Figaro) qu’il était prêt à rendre son tablier à n’importe quel moment. Un ministre qui dit publiquement que sa fonction ne l’intéresse pas le moins du monde, c’est quelque peu problématique. Mais au fond pas plus qu’une ministre de la Culture qui baigne dans l’illégalité et qui promeut des condamnés en justice… Collomb a finalement été débarqué, mais pas remplacé. La passation de pouvoir avec le Premier ministre ce matin a confirmé l’impréparation au plus haut sommet de l’Etat.

Collomb a attendu comme un benêt qu’Edouard Philippe daigne le relever de ses fonctions et les habituels échanges d’amabilité sur le perron du ministère ont été brefs et très froids. Le Premier ministre n’a pas apprécié l’envol solitaire du septuagénaire. Faute de remplaçant pour le moment, c’est donc le Premier ministre qui devient en plus ministre de l’Intérieur. C’est une première, c’est risible, mais toute la séquence aussi désastreuse soit-elle ne signifie en rien qu’il y a une « crise ». Le pouvoir tente de nier la vérité et ne fait que rajouter au grotesque de la situation.

Les ministres (les plus importants) quittent tour à tour le navire et montrent que la Macronie a déjà atteint ses limites. Il va falloir trouver rapidement une rustine et pour l’instant les candidats crédibles ne se bousculent pas. Un transfuge de droite pour remplacer l’éléphant socialiste ? C’est dans l’air du temps, mais aux marchés aux puces, les bonnes affaires sont parfois difficiles à trouver. La Macronie se cherche un nouveau fusible. Collomb aura désormais le temps de dire ce qu’il pense vraiment de la Macronie. Il a déjà fait un premier pas en avouant lors de la passation de pouvoir qu’il avait remarqué la présence de quartiers entiers ne vivant plus selon les lois de la République. Le vieux Collomb a fini par ouvrir les yeux. Il faut maintenant ouvrir la bouche et dénoncer l’ignominie à laquelle il a tant contribué. Cela soulagera son âme !

 

Source : 24heuresactu

lundi, 24 septembre 2018

Macron ou la chute de l’astre noir

Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2017

Rédigé par notre équipe le 24 septembre 2018. 

Ce qui monte dans le ciel finit toujours pas s’écraser. Macron l’apprend aujourd’hui à ses dépens. La baudruche bourrée d’hélium n’aura pas résisté un an. Après avoir fait quelques sales tours aux Français, l’entreprise de destruction macronienne est en phase de crash. La descente non maîtrisée (dans les sondages) est aussi spectaculaire que légitime. Ils ne sont plus que 29 % à se déclarer satisfaits de l’action du chef de l’Etat. Une poignée d’irréductibles qui n’a pas dû suivre l’actualité depuis longtemps ni vérifié son compte en banque.

Les temps sont durs en Macronie. Le dernier sondage Ifop vient confirmer cette impression. Les chiffres sont très mauvais, mais pas autant que ceux des principaux indicateurs économiques dont est en charge le président Macron. Arrivé au pouvoir avec toute une batterie de mesures libérales et un sac bourré d’idéologie à la place du cerveau, Macron n’a plus grand chose à espérer et se hollandise chaque jour un peu plus. Après avoir tapé sauvagement sur les retraités, il tente maladroitement des les cajoler. Macron est prêt à tout pour sauver sa tête, mais les Français n’y croient plus.

Se goinfrer avant le crash

A vrai dire ils sont encore 29 % à y croire. C’est énorme au regard de l’échec patent du président. Ce dernier avait (comme tous ses successeurs) demandé du temps pour que ses soi-disant bonnes réformes puissent profiter au plus grand nombre. Les Français auront bon attendre deux, trois ou cinq ans, rien ne changera pour le mieux. Prendre l’argent dans la poche des anciens et des étudiants sans sous pour mieux le redonner aux très riches n’a jamais bénéficié à l’ensemble de la société. 71 % des Français ont déjà compris que la France allait tout droit dans le mur avec Macron. C’est la moindre des choses, mais le pouvoir est toujours là. Peureux, certes, mais toujours présent avec toutes les cartes en main au niveau institutionnel pour continuer à délivrer son poison mortel.

Aujourd’hui, Macron ne tient encore debout que par l’absence de grandes mobilisations populaires. Les motifs de mécontentement sont multiples, mais aucune agrégation n’est possible. L’électorat de droite ne descend que très rarement dans la rue et attend passivement la GPA tandis que la gauche peine à se mobiliser pour un Mélenchon qui a montré son rôle malsain au sein des jeux du cirque qu’est la politique française. Un trotskiste n’a jamais vraiment défendu un salarié et vu qu’il n’y a pas d’immigration selon Mélenchon, la France n’a aucun problème à régler.

La Macronie est donc ébranlée, en pleine phase descendante, mais toujours active. Ainsi, la nouvelle nomination hallucinante à l’ambassade de France à Londres prouve que la République des copains et des coquins est plus active que jamais. Il faut placer les amis et les amis des amis avant que le système ne soit complètement bloqué. Qui pour débloquer tout ça ? Même François Hollande se pose la question. En visite à Tulle histoire de faire croire qu’il s’intéresse au sort de la France profonde, le mentor de Macron s’est interrogé : « Si ce pouvoir-là échoue et c’est possible, à la fois par les décisions qu’il prend, injustes, par des comportements excessifs, ou par l’absence de résultats. Mais qui? Qui sera là pour le rendez-vous démocratique? ». Une question qui n’est pas anodine. Hollande a déjà sa réponse…

Mais dans une société saine et démocratique, celui qui a tant échoué et qui a fait la courte-échelle a encore plus dangereux que lui n’a pas sa place dans le débat. Il doit se couvrir de honte pour cesser d’exister et ne plus polluer. Malheureusement, les Hollande et Macron sont fait d’un métal inoxydable. Quand Macron aura été dégagé, sa copie plus moderne ou féminine reprendra le flambeau. Macron, lui fera du Hollande, c’est-à-dire qu’il se vengera de sa défaite électorale en planant comme un vautour sur la politique française. Et quand il aura compris qu’il n’a plus d’avenir, il jettera une dernière fois les dés au niveau européen pour enterrer ce qui dépasse encore du corps France. Un destin noir à la Giscard d’Estaing pour cet astre lugubre derrière le sourire carnassier.

 

Source : 24heuresactu

dimanche, 23 septembre 2018

Macron : la stratégie dans l’impasse

Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 22 septembre 2018. 

En pleine descente aux enfers dans les sondages, minée par les scandales, en panne de résultats économiques, la Macronie est aux abois. Un an à peine au pouvoir et s’est déjà la débandade. Macron a montré son vrai visage, mais une partie encore plus hideuse continue de se cacher. Et pour cause, afin de ne pas sombrer aux prochaines élections (européennes), le chef de l’Etat se lance dans la séduction électoraliste au niveau national et dans le va-t’en guerrisme au niveau européen.  

Alors que les cellules noires de l’Elysée tentent d’éteindre tous les scandales qui entourent le chef de l’Etat, une partie des équipes macronienne garde un œil sur le côté plus politique de l’action. Et là, c’est aussi le désastre. Les mesures qui réduisent le pouvoir d’achat des Français n’ont donné aucun fruit. Les comptes sont dans le rouge, la croissance anémique loin des chiffres du chômage (à croire que les Français n’ont toujours pas fait l’effort de traverser la rue). L’échec est si vif que la Macronie a peur d’essuyer un revers électoral qui la fera trembler jusqu’à ses fondations. Il est temps de réagir et la potion concoctée par ces docteurs sans diplôme à des accents bien populistes.

Des retraités assommés et maintenant (un peu) cajolés

Après le temps des claques, voici le temps des cadeaux. Et ce sont les retraités qui sont visés. Rackettés et dénigrés par l’exécutif et des parlementaires aux ordres, les retraités sont soudainement mis sous cloche. Virage à 180° avec la décision d’exonérer 300 000 retraités de la hausse inique de la CSG. Une « décision technique » selon Edouard Philippe qui sent pourtant drôlement la course aux voix d’anciens jusque-là ostracisés. Une inflexion due à Mamie Brigitte ? Certainement pas ! Cela fait longtemps que Brigitte ne touche plus terre entourée de Mimi Marchand et Alexandre Benalla…

Le cadeau envers une petite partie des retraités n’est rien d’autre qu’un coup électoraliste désespéré. Le Gouvernement crie sur tous les toits qu’il est généreux, car il se passera ainsi de 350 millions d’euros de recettes. Il oublie de dire que la hausse de la CSG lui rapportera des milliards et que l’exonération n’aura lieu que sur deux ans. Juste le temps de se mettre à l’abri de grosses défaites aux européennes et aux municipales. Ensuite, une nouvelle vague de terreur fiscale pourra déferler pendant un an avant une temporisation et quelques faux cadeaux juste avant les élections présidentielles de 2022.

La nouvelle stratégie du Gouvernement – raconte-t-on dans les médias bien vus du pouvoir – est de communiquer plus sur ce qui est positif… L’exécutif n’est qu’une vaste machinerie de communication. Comment faire plus que ce qui a déjà été mis en place ? Et comment communiquer sur le positif quand ce dernier n’existe pas ? Le Gouvernement a déjà trouvé la solution. Il communique sur les mesures impopulaires qu’il aurait pu prendre et qu’il n’a pas prises… Ainsi, le renoncement à changer les règles des droits de succession doit être considéré comme une victoire à mettre au crédit de la Macronie. Plus c’est gros…

Il faut communiquer à tout va, ramener les retraités dans le giron du jeune Macron et montrer que la France est le phare de l’Europe à défaut d’être celui du monde. Ainsi, le petit Emmanuel a montré les dents lors de la réunion européenne de Salzbourg. Le président français a-t-il enfin fermé la porte aux vagues de migrants ? Non, son souci est ailleurs. Il faut punir le Royaume-Uni d’avoir voté contre cette Europe indigente. Alors Macron prend la bannière de tous les hystériques pro-Bruxelles en refusant tout accord avec le Royaume-Uni. Macron affirme que  « De là où je suis, ma responsabilité c’est de préserver les intérêts de l’Union européenne, et donc de la France ». Une phrase tout à fait symptomatique de l’état d’esprit du président. La France arrive en seconde position et Macron se leurre en jurant que les intérêts de Bruxelles se confondent avec ceux de notre pays.

Macron endosse le rôle de Cerbère de l’UE pour montrer aux Français qu’il a du poids à l’étranger. Après une année à s’humilier aux pieds de Donald Trump, il en redemande avec Juncker… Alors il faut punir le Royaume Uni : « Le Brexit, c’est le choix du peuple britannique. Et c’est un choix poussé par certains qui prédisaient des solutions faciles. (…) Ceux qui expliquent qu’on peut faire facilement sans l’Europe (…) sont des menteurs ». Mais qui ment vraiment Monsieur Macron ?

 

Source : 24heuresactu