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lundi, 10 décembre 2018

Macron trouve 500 millions d’euros pour… le Sahel

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Ecrit par Nsango ya Bisu

Nul doute que cette information intéressera les Français et tout particulièrement les Gilets Jaunes. Le ministre Jean-Yves Le Drian vient de le confirmer lors d’une réunion de l’organisation G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad) à Nouakchott :

« la France (…) investira 500 millions au profit des priorités » du G5 Sahel

. « La moitié de cette somme concerne des projets déjà en gestation et en cours (…) L’autre moitié sera octroyée de manière accélérée dans les deux ans qui viennent pour vous permettre d’être au rendez-vous de vos priorités »

La France va ainsi ajouter 220 millions d’euros de financements nouveaux à 280 millions d’euros déjà engagés.

L’Union européenne se fend également de son petit cadeau. « Je suis heureux d’annoncer que le soutien de l’Union européenne au Programme d’Investissements Prioritaires (PIP) s’élève à présent à 800 millions d’euros. Cela comprend l’annonce aujourd’hui de 122 millions d’euros d’argent frais », a déclaré depuis la capitale mauritanienne le commissaire européen pour la Coopération internationale et le Développement, Neven Mimica.

 

Source : medias-presse.info

Macron débloque 40 millions d’euros pour les salaires et retraites des… Tchadiens

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Ce lundi soir, Emmanuel Macron interviendra à la télévision pour tenter de démontrer qu’il a entendu et compris les Gilets Jaunes et proposer quelques mesures destinées à les faire rentrer dans leurs chaumières.

Pourtant, Muriel Pénicaud, ministre du Travail, a déclaré sur LCI qu’il n’y aura pas d’augmentation du smic parmi les mesures annoncées par Emmanuel Macron. “On sait que ça détruit des emplois, ce n’est pas la bonne méthode”.

En attendant ce soir, sachez déjà qu’Emmanuel Macron a trouvé un budget pour les retraites et les salaires. Mais pas ceux des Français. Emmanuel Macron a préféré commencer par payer les retraites et salaires des fonctionnaires… tchadiens !

Ce n’est pas une mauvaise blague, ni une “fake news”. La France a bel et bien décidé d’octroyer au Tchad un budget de 40 millions d’euros pour payer les salaires et les retraites des fonctionnaires, a indiqué l’Agence française de développement (AFD).
Officiellement, il s’agit d’un « prêt » d’« une durée de vingt ans » avec un taux d’intérêt préférentiel. Et vu la dette du pays, le « prêt » risque fort de se transformer en don.

D’ailleurs, la France accorde aussi au Tchad un don – cette fois c’est clair – d’un montant de 10 millions d’euros pour le secteur de la santé.

Et figurez vous qu’un même montant de 50 millions d’euros avait déjà été accordé au Tchad en 2017 avec les mêmes objectifs.

Cette générosité sans fin faite avec l’argent des contribuables français s’inscrit dans les « promesses faites par la France à l’occasion de la table ronde de financement du Programme national de développement (PND) tenue à Paris en septembre 2017 ».

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 06 décembre 2018

L’intox hallucinante de Macron : “Ce n’est pas moi le méchant, c’est Edouard Philippe”

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2018

Auteur : Philippe Carhon

L’intox hallucinante de Macron  : “Ce n’est pas moi le méchant, c’est Edouard Philippe”

Non seulement, il méprise les gilets jaunes et les Français mais commence à tirer la couverture à lui quitte à torpiller son premier ministre, comme Sarkozy en son temps avec Fillon :

“Gilets jaunes” : Macron a voulu revenir sur la limitation à 80 km/h (avant d’y renoncer)

Emmanuel Macron prêt à annuler la limitation de vitesse à 80 km/h ? D’après Europe 1, le chef de l’Etat aurait souhaité ajouter ce revirement aux trois mesures annoncées par Edouard Philippe, mardi 4 décembre, pour tempérer la colère des “gilets jaunes”. Il y aurait ensuite renoncé pour ne pas mettre son Premier ministre en difficulté (…)

Ses conseillers l’auraient toutefois dissuadé : Edouard Philippe s’étant fortement engagé sur cette mesure, le coup porté par son annulation aurait été trop dur à encaisser pour Matignon..[source]

.

“Gilets jaunes” : Macron était prêt à lâcher du lest dès la fin novembre mais…

Emmanuel Macron était prêt à suspendre la hausse des taxes sur le carburant dès la fin novembre, avant d’y renoncer à quelques minutes de son discours : c’est la confidence faite à l’AFP par un pilier de la majorité (…)

Si une “grande concertation de terrain sur la transition écologique et sociale” a bien été annoncée par Emmanuel Macron, la suspension n’a, en revanche, pas été mentionnée, biffée à la dernière minute sur les conseils du Premier ministre, du secrétaire général de l’Elysée Alexis Kohler et du directeur de cabinet d’Edouard Philippe Benoît Ribadeau-Dumas, selon ce cadre de la majorité. [source]

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 05 décembre 2018

Des plaintes contre Emmanuel Macron : racket, dilapidation, détournement, extorsion…

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Auteur : Michel Janva

Des plaintes contre Emmanuel Macron : racket, dilapidation, détournement, extorsion…

“Racket”, “atteinte au droit de manifestation”, “extorsion en bande organisée”… Des Gilets jaunes ont déposé des plaintes aux motifs variés contre Emmanuel Macron, aux quatre coins de la France. Et elles sont enregistrées.

La valse des plaintes a débuté lundi, avec une plainte contre Emmanuel Macron pour sept motifs:

racket, dilapidation de l’argent public, préjudice moral et mise en danger de la vie d’autrui, violences volontaires avec arme, usage abusif de la force publique sur personne vulnérable, et atteinte au droit de manifestation”.

Après quelques recherches dans le code pour évaluer la conformité de la demande, les agents ont finalement enregistré la plainte.

Quelques heures plus tard, un gilet jaune a entrepris la même démarche en Charente. La personne attaque le président de la République pour

“usurpation de fonction et détournement de fonds publics”.

Mardi, en région parisienne, les policiers ont reçu la visite d’un gilet jaune pour une plainte contre le chef de l’Etat pour “atteinte à la liberté de manifester” et “violences volontaires avec armes”.

Le lendemain, un habitant de Belfort a déposé plainte contre le président et son gouvernement pour “extorsion de fonds en bande organisée”.

 “Depuis l’élection de M. Macron, je me sens racketté”. “J’ai le sentiment d’une dilapidation de l’argent public. C’est pour cela que je demande la démission du président voire sa destitution”.

L’homme aurait été imité par cinq autres manifestants dans la région.

De nombreux internautes appellent à multiplier ce type d’initiative pour faire entendre leur voix. 

 

Source : lesalonbeige

lundi, 03 décembre 2018

Emmanuel Macron abandonné par sa propre majorité ?

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2018

Auteur : Michel Janva

Emmanuel Macron abandonné par sa propre majorité ?

Dans l’angoisse d’un 4e samedi de manifestations des gilets jaunes, c’est une ambiance de sauve-qui-peut qui commence à régner chez les élus LREM.

Plusieurs élus de la majorité confient leurs inquiétudes et attribuent le mouvement à l’attitude méprisante du chef de l’État :

« La peur prend le pas sur tout. Même si la force du vent est forte, il faut trouver des solutions qui ne doivent pas être celles de l’ancien monde »

« Si on maintient le cap, il va y avoir des manifestations partout. On ne pourra pas jouer le pourrissement. Il faut répondre précisément au problème du pouvoir d’achat, que les ‘gilets jaunes’ voient sur leur fiche de paie une véritable augmentation».

« Je nierai vous l’avoir dit mais voilà ce que je pense: 80 % du bordel des ‘gilets jaunes’ est le résultat des petites phrases du chef de l’État depuis six mois »

Le député pointe les séquences des « Gaulois réfractaires » et de « traverser la rue pour trouver un job »…

Mais attribuer la colère à un défaut de communication du président, c’est n’avoir rien compris au ras-le-bol de la France périphérique, considérée comme une vache à lait, corvéable à merci

Un député LREM très inquiet :

“j’ai réuni hier soir mon comité de quartier. Ils étaient 70 au lieu de 20 et tous m’ont demandé : mais que fait le gouvernement pour régler la crise ? Même notre noyau dur s’alarme”.

 

Source : lesalonbeige