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vendredi, 08 février 2019

Comment Emmanuel Macron prépare un référendum en secret

Publié par Guy Jovelin le 08 février 2019

Pour s’extraire de la crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron se convertit à l’hypothèse d’un référendum. Selon les confidences de sources haut placées recueillies par le JDD, il envisage même de plus en plus sérieusement d’organiser cette consultation le même jour que les élections européennes, le dimanche 26 mai

Preuve tangible que ce scénario prend corps : le bureau des élections au ministère de l’Intérieur, chargé de l’organisation des scrutins, a pris langue en fin de semaine avec des imprimeurs et papetiers afin d’être prêt pour le jour J, si le chef de l’État confirme ce calendrier.

[…] En organisant un référendum le 26 mai, l’exécutif tenterait de rebondir aussitôt après les conclusions du grand débat, qui doivent survenir les week-ends des 9 et 16 mars via des assemblées générales citoyennes constituées de citoyens tirés au sort.

Le JDD via fdesouche

mardi, 05 février 2019

Christian Baeckeroot : « Macron, rends-moi mon vote ! »

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2019

Le 29 mai 2005, les Français, à 54,68 %, répondaient NON à la question qui leur était posée par référendum en vertu de l'article 11 de la Constitution française par le Président de la République Jacques Chirac, après adoption du texte du projet dans les mêmes termes par les deux Assemblées : « Approuvez-vous le projet de loi permettant la ratification du traité établissant une Constitution européenne ? »

Couplé au NON des Pays bas, et puisqu’un seul pays refusant de ratifier le texte suffisait à le rendre inopérant, ce refus français aurait dû signer la fin de cette Constitution de l'Union voulue par les supranationaux mondialisés, architecture institutionnelle visant à abattre les derniers murs d'indépendance nationale dont Valéry Giscard d'Estaing fut le maître d’œuvre à la tête de la Convention chargée d'en établir les règles.

Il n'en fut rien. Dans un déni de démocratie sans précédent, les européistes s'acharnant dans leur projet funeste, réussirent à contourner les décisions populaires en rédigeant un nouveau traité qui reprenait 90 % des éléments de la Constitution sans y mettre ni le mot ni la nature institutionnelle. Ce fut le honteux Traité de Lisbonne que Nicolas Sarkozy devenu Président fit ratifier par le Congrès et signa le 13 décembre 2007.

Au moment où, désireux de sortir si possible par le haut de la crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron semble vouloir organiser un nouveau référendum à l'issue des débats nationaux/alibis qu'il a voulus, organisés et cadrés, ne serait-il pas juste, souhaitable et pour tout dire réparateur que la République, par la voix de son Président, reconnaisse l'atteinte faite à la souveraineté du peuple français, bafoué dans sa volonté, nié dans sa parole et muselé dans son pouvoir décisionnaire ?

Le traité de Lisbonne fut une infamie, non seulement dans ses intentions – le fédéralisme comme seule voie pour le destin du Continent - mais dans sa pratique – toujours moins d’indépendance, toujours plus de technocratie et de pouvoir bureaucratique de la Commission – et dans ses effets – la marche en rythme accélérée vers la financiarisation des marchés et vers l’immigrationnisme, ce qui ne fut pas pour rien dans la crise financière de 2008, ni dans celle de la déferlante migratoire de 2017, la première faisant encore sentir ses effets sur nos économies, la seconde étant bien loin de se finir.

Sans le Traité de Lisbonne, l’Europe et la France auraient été mieux armées pour faire face à ces deux crises majeures.

En gage de sincérité dans sa démarche affichée de rendre la parole au peuple, les Français attendent du Chef de l'État qu'il déclare, par souci de repentance pour une fois utile et légitime, la responsabilité de la République dans l'injustice politique, nationale et identitaire qui leur a été faite.

Christian Baeckeroot - Ancien député - Membre du Bureau Politique du Parti de la France

Elysée : les effarants et coûteux travaux des Macron

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2019

Auteur : Rédaction

Les Macron ont décidé de « rénover » la salle des fêtes de l’Elysée. Avec 500 000 euros, ils l’ont transformée en vulgaire salle des fêtes municipale, presque un funérarium…

Décidément, ils n’ont rien à faire là… 

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Source : contre-info

 

dimanche, 03 février 2019

Liberté d'expression

Publié par Guy Jovelin le 03 février 2019

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dimanche, 27 janvier 2019

Violences en France chaque samedi...

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2019