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lundi, 23 avril 2018

Le président de Tolbiac porte plainte: plusieurs centaines de milliers d’euros de dégradation Par Laennec le 22/04/2018

Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2018

 

D’après le Journal du Dimanche, le président de l’Université Panthéon-Sorbonne, Georges Haddad, a déposé une plainte, en son nom, auprès du parquet de Paris dès vendredi, jour de l’évacuation du centre universitaire de Tolbiac, qui était occupé depuis quatre semaines par des opposants à la loi sur l’accès à l’enseignement supérieur défendue par le gouvernement.

Le coût des « dégradations » s’élève à « plusieurs centaines de milliers d’euros », a déclaré la présidence de l’Université. Tags sur des murs repeints il y a deux ans, portes forcées, vidéoprojecteurs abîmés, écrans détériorés, etc… « Les dégradations sont énormes. Elles vont coûter très cher à l’université et au contribuable. C’est l’argent de la nation qui a été gaspillé », a ajouté Georges Haddad lors d’une conférence de presse.  « La plupart des fauteurs de trouble ne font pas partie de l’université », explique au JDD ses avocats[…]

 

Le Figaro via fdesouche

vendredi, 21 avril 2017

Plainte contre Macron pour injures confirmée à Perpignan après ses propos sur la colonisation

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2017

Par Sébastien Berriot, France Bleu Roussillon et France BleuJeudi 20 avril 2017 

Les rapatriés manifestent devant le palais de justice de Perpignan

Les rapatriés manifestent devant le palais de justice de Perpignan © Radio France - Delphine-Marion Boulle

 

La plainte déposée par le Cercle algérianiste contre Emmanuel Macron a pris forme ce jeudi à Perpignan, après les propos du candidat à la Présidentielle sur la colonisation. L'avocat de l'association a officiellement déposé la consignation réclamée par la justice. 150 rapatriés ont aussi manifesté.

Après les propos controversés d'Emmanuel Macron sur la colonisation, le Cercle algérianiste, association de rapatriés, a franchi une nouvelle étape judiciaire ce jeudi à Perpignan dans le cadre de sa plainte pour injures qui vise le candidat à l'élection présidentielle.

 

L'avocat de l'association a officiellement remis à la justice un chèque de 2.000 euros, correspondant au montant de la consignation demandée par le tribunal. Cette remise ouvre maintenant la voie à la saisine d'un juge d'instruction.

 Maître Gilles-William Goldnadel, l'avocat de Cercle algérianiste - Radio FranceMaître Gilles-William Goldnadel, l'avocat de Cercle algérianiste © Radio France - Delphine-Marion Boulle

A l'extérieur du palais de justice quelques 150 rapatriés d'Algérie étaient rassemblés pour soutenir cette plainte contre Emmanuel Macron et dénoncer les propos du candidat, prononcés à Alger lors d'une interview accordée à une télévision privée algérienne. Emmanuel Macron avait qualifié la colonisation de vraie barbarie et de crime contre l'humanité, provoquant de très vives réactions dans la communauté des rapatriés d'Algérie.

Plusieurs élus Les républicains figuraient parmi les manifestants devant le palais de justice, notamment le maire de Perpignan, Jean-Marc Pujol, ou encore le président des Républicains dans les Pyrénées-Orientales, François Lietta.

Le président national du Cercle algérianiste Thieery Rolando avait également fait le déplacement. Perpignan a été choisie pour le dépôt de cette plainte, la ville et le département des Pyrénées-Orientales ayant accueilli de très nombreux rapatriés d'Algérie.

 Les manifestants du Cercle algérianiste - Radio FranceLes manifestants du Cercle algérianiste © Radio France - Sébastien BerriotSource : francebleu

dimanche, 19 avril 2015

Convoqué à 9 ans devant la gendarmerie… Français, respirez, on vous protège ! (par Marie Delarue)

Publié par Johanna 

 

On le sait, les tribunaux sont engorgés par les histoires de voisinage. Des histoires de corne-à-cul, d’arbres mal taillés, de murs qui bouchent la vue, de chiens qui gueulent et de vacarme les soirs de beuverie. Dorénavant, il se pourrait qu’ils soient aussi encombrés par des histoires de cour d’école.

C’est La Dépêche du Midi qui rapporte l’histoire. À Saint-Lys, en Haute-Garonne, un petit Jordan de 9 ans, élève de CM1, a été convoqué avec ses parents à la gendarmerie pour y être entendu sur des faits gravissimes. Éconduit par son amoureuse du même âge qui lui avouait l’avoir délaissé pour un autre (de CM2, peut-être ?), Jordan a vu rouge : il lui a collé deux claques et tiré les nattes. Ses père et mère ont été informés par la direction de l’école et le gamin, d’habitude fort sage et bon élève, a eu la réprimande qu’il méritait.

Tout aurait donc dû s’arrêter là. Mais la dulcinée a certainement pour mère une chipie, une virago peut-être. Une procédurière, en tout cas, puisqu’elle est allée déposer plainte auprès de la gendarmerie. La Dépêche ne nous dit pas si c’est pour atteinte à l’intégrité physique ou pour coups et blessures. À moins que ce ne soit pour harcèlement sexiste. À ce degré de bêtise, tout est possible…

Mais le plus extraordinaire est que la plainte a été reçue, enregistrée, instruite. Les parents et le petit Jordan ont donc été convoqués et entendus dans le cadre de cette dangereuse affaire criminelle. « On a vu que le gendarme qui l’interrogeait était très mal à l’aise, mais il ne faisait que son boulot. Il nous a dit qu’un article de loi était sorti et que la gendarmerie était tenue de prendre toutes les plaintes qui lui étaient soumises. Au final, on a perdu deux heures pour régler une histoire de tirage de cheveux, c’est aberrant », rapporte la mère du petit Jordan Moreau.

Et là, voyez-vous, si je n’avais les mains sur le clavier de mon ordinateur, les bras m’en tomberaient. Depuis quand, cet article de loi ? Depuis quand la police enregistre-t-elle « toutes les plaintes qui lui sont soumises » ? À moins qu’il ne s’agisse « que » des plaintes pour tirage de cheveux ou histoires de corne-à-cul, car pour le reste – je parle d’effractions dans les caves de l’immeuble, cambriolages, intrusions répétées d’un individu dans les parties communes, j’en passe et de plus farceuses –, pas moyen d’obtenir autre chose qu’un dépôt de main courante. Ou alors il faut viser au-dessus et s’adresser directement au procureur, qui fera redescendre quand il aura le temps. Dans six mois ou un an.

Il paraît que la police est sur les dents depuis le 11 janvier dernier, mobilisée comme les militaires en Vigipirate renforcé. Occupée à traquer les terroristes réels ou supposés. Bientôt attelée à surveiller les faits et surtout les pensées déviantes du citoyen de base. Incapable, tant elle est débordée, de contrôler et empêcher de nuire les violeurs assassins de petites filles.

Alors, je pose la question à Bernard Cazeneuve, notre monsieur-je-me-mêle-de-tout : n’a-t-elle pas autre chose à faire, votre police, que d’enregistrer la plainte d’une mère hystérique et de terroriser un gamin de 9 ans au point de le dégoûter durablement de l’école ?

Source

jeudi, 06 novembre 2014

Communiqué de presse de Carl Lang, Président du Parti de la France

Publié par Guy Jovelin

Carl LANG tient à faire savoir que, mis en cause par des imputations malveillantes et mensongères par M. Jean-Baptiste MALET, auteur d’un livre publié par les éditions GOLIAS, s’intitulant « Derrière les lignes du Front » sous-titré « immersions et reportage en terre d’extrême droite » à la suite d’une enquête menée par celui-ci auprès du groupe d’élus du Front National au Conseil Régional de la Région Nord/Pas de Calais, il avait déposé une plainte, par son avocat Me Yves de COATGOUREDEN, pour diffamation publique à l’encontre de l’auteur de ce livre et du Directeur des Ed. GOLIAS.
Qu’un jugement rendu le 10 octobre 2014 par la 17ème Chambre Correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris :
a déclaré M. Luc TERRAS, ès qualités de directeur des Ed. GOLIAS, ainsi que M. Jean-Baptiste MALET coupables à son égard des faits qui leur étaient reprochés de, respectivement, diffamation publique et complicité de diffamation publique.
Et les a condamnés chacun à une peine d’amende et solidairement au paiement de la somme de 1.500 €uros, à titre de dommages et intérêts et de 1.500 €uros également, à titre d’indemnité en application de l’article 475-1 du Code de Procédure Pénale.
Et, ayant pris date du retrait de l’ouvrage incriminé de la ventea ordonné la suppression des propos jugés diffamatoires dans toute nouvelle édition de l’ouvrage.

lundi, 10 mars 2014

Quand Marine Le Pen offre une tribune à Jean-Luc Mélenchon et fuit la confrontation

Publié par Guy Jovelin

Le clown stalinien Jean-Luc Mélenchon a longuement attaqué le Front national lors de sa comparution le 6 mars à Paris devant la XVIIe chambre correctionnelle. Accusé d’avoir injurié Marine Le Pen en la traitant de « fasciste » (sic), il a plus que persisté à l’audience.

« Tout ça est une guignolisation de la vie politique. Pourquoi voudriez-vous que le peuple français soit le seul peuple qui ait envie d’avoir un fasciste à sa tête ? [...] Nous sommes en train d’en parler alors que c’est aussi stupide que si le père Noël était en tête. » avait-il déclaré en 2011.

En opposition totale avec les pratiques du parti jusque-là, Marine Le Pen avait porté plainte, comme elle devait le faire en de très nombreuses autres occasions après son accession à la tête du FN cette année-là et depuis. Un comportement étrange, tant il était certain que la grande majorité de ces procès se termineraient au détriment du parti d’extrême-droite. Mais une aubaine pour son avocat et proche, Me Wallerand de Saint-Just, bénéficiant ainsi de juteuses et nombreuses affaires.

Si Marine Le Pen a porté plainte et déclenché par sa seule volonté cette affaire, elle a finalement fui la confrontation. En refusant de venir à l’audience, elle a offert à Jean-Luc Mélenchon une formidable tribune politique. Le propagateur de l’idéologie la plus criminelle que la terre ait porté s’était fait accompagner par des militants, des journalistes – qu’il a pris soin de remercier -, et des « universitaires » marxistes pour défendre sa cause. Le Front national n’était représenté que par le fallot Wallerand de Saint-Just, sur lequel les journalistes ont ironisé, lui qui « attendait tout seul dans un coin [tripotant] un mouchoir en papier »…
L’avocat de la famille Le Pen a profité de cette occasion pour annoncer que finalement, contrairement à ce que Marine Le Pen avait prétendu, le FN ne porterait pas systématiquement plainte contre ceux qui qualifient le parti « d’extrême-droite ». « Cela ferait trop de boulot, je fais des droits de réponse » a-t-il lâché. Est-ce ce manque flagrant de volonté au travail qui fait qu’il pouvait déclarer il y a peu : « Je peux gagner en net 100.000 € par an. Je n’ai jamais bien gagné ma vie. » (sic). Lire la suite