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mercredi, 10 août 2016

Suite attentat Saint-Etienne-du-Rouvray : un homme en garde à vue à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 10 août 2016

Un homme de 20 ans a été placé en garde à vue mardi à Toulouse dans le cadre de l'attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray après avoir été interpellé mardi à Pechbonnieu dans la Haute-Garonne.

  • Par Michel Pech
  • Publié le , mis à jour le
 
Hommage devant l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray © Maxppp

© Maxppp Hommage devant l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray

 
Yassine Sebaihia, l'individu interpellé, est interrogé actuellement par la sous-direction anti-terroriste à Toulouse.
Né le 17 août 1994, l'homme, interpellé à Pechbonnieu, dans la banlieue nord de Toulouse, était toujours en garde à vue mercredi, selon
des sources judiciaire et policière. Sa garde à vue peut durer quatre jours, comme le prévoit la loi dans les affaires de terrorisme.

Selon une source policière, le jeune homme a eu des contacts téléphoniques avec les deux assaillants. Les enquêteurs, pour qui il n'était pas présent sur place le jour de l'attaque, cherchent à savoir s'il s'est rendu à Saint-Etienne-du Rouvray dans les jours précédents.

Vidéo : le reportage de Stéphane Compan et Thierry Marchand
Un toulousain suspect de complicité  -  Compan / Marchand
 
Source : france3-regions

Polémique Jeux Olympiques : il faut dissoudre le Cran

Publié par Guy Jovelin le 10 août 2016

par

CranTinNous allons parler du Cran (Conseil représentatif des associations noires) – à noter qu’ils n’ont pas cru bon d’ajouter « de France », celle-ci ayant tellement peu d’importance à leurs yeux !

En 2014, cette association ayant saisi le CSA à la suite d’une chronique d’Eric Zemmour sur RTL, ce dernier avait ainsi répondu à la provocation : « Le Cran regroupe toutes ces associations qui vivent grassement des subventions publiques et que Manuel Valls, qui est à la recherche d’économies, ferait bien de supprimer. J’estime ça scandaleux qu’ils vivent avec nos impôts mais ça fait des décennies et ce ne sont pas les seuls. » On ne peut qu’acquiescer !

Eh bien le Cran vient d’en rajouter une louche ! Cette fois, c’est au tour des commentateurs français de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Rio de se retrouver dans le collimateur de ces redresseurs de tort. Car il semblerait que : « La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques a donné lieu à un véritable festival d’erreurs, d’inepties et de propos colonialistes qui ont été tenus par Daniel Bilalian [directeur des sports de France Télévisions] et Alexandre Boyon, [sur France 2, ndlr]. » (Libération).

Quelles sont-elles ces erreurs ? D’abord, Christophe Colomb n’aurait pas découvert l’Amérique en 1492. Là-dessus, on ne peut que leur donner raison. En effet, des recherches ont démontré que ce continent avait été visité quelques siècles auparavant, notamment par les Vikings. Mais ce n’est pas là que voulait en venir le Cran en déclarant que : « l’Amérique était déjà peuplée depuis des millénaires par quantité de peuples très nombreux. » Derrière cette remarque transparaît évidemment le refus de s’inscrire dans l’histoire d’un continent, celle de l’Europe blanche ! Saluons aussi le pléonasme « quantité de peuples très nombreux », qui montre la parfaite maîtrise de la langue française de ces individus !

Cependant, nous autres Européens savons quelle importance revêt cette date de 1492 – une date honnie par l’islam, au passage, puisqu’elle marque la fin de la Reconquista en Espagne ! En effet, à partir de cette « découverte », notre perception du monde se transforme considérablement. C’est une date clé de notre histoire, laquelle déplaît fortement à certains ennemis intérieurs qui voudraient la réécrire. Et pour aller jusqu’au bout de son idéologie antieuropéenne – voire anti-Blancs ! –, le Cran devrait cesser de parler d’Amérique, nom créé à partir de celui d’un navigateur florentin : Amerigo Vespucci.

Le Cran enchaîne sur une autre « erreur », à savoir que les commentateurs ont évoqué les Incas et que : « jusqu’à preuve du contraire […], les Incas n’ont jamais vécu au Brésil, mais plutôt dans la cordillère des Andes. » Pas tout à fait exact, chers pourfendeurs de Tintin au Congo et autre Banania ! Si leur empire s’étalait effectivement autour de la cordillère des Andes, ils ont fait des incursions sur le territoire de l’actuel Brésil : « à l’est, ses armées ont pénétré dans le Piémont amazonien jusqu’au territoire do Acre, situé aujourd’hui dans les confins du Brésil, bravant ainsi un habitat hostile pour des montagnards habitués aux grandes altitudes. » (http://www.scienceshumaines.com/les-incas-l-empire-des-qu...) On a même retrouvé des objets incas dans la partie atlantique du Brésil (Wikipedia).

Alors quand le Cran « demande aux présentateurs de France 2 de ne pas insulter les téléspectateurs en supposant a priori que ceux-ci seraient aussi ignares que ceux-là », je me marre gentiment et je serais curieux de savoir quel est leur degré de connaissance de l’histoire de France, par exemple, ce pays qui les gave de subventions et qu’ils sont si prompts à calomnier !

Venons-en au plat principal maintenant, qui occasionne le courroux de ces chevaliers noirs : « Le trafic d’esclaves [qui] a été nécessaire ici pour le développement industriel […] Un esclavage qui a duré jusqu’à la fin du XVIIIe siècle […] Le Brésil a utilisé les services de ces esclaves africains qui venaient de l’ensemble du continent africain. » A quoi le Cran a répondu : «Affirmer que le trafic a été « nécessaire », et qu’on utilisait « les services » des esclaves constitue une présentation maladroite, pour ne pas dire équivoque, qui tend à minimiser, voire à justifier l’esclavage, qui fut un crime contre l’humanité, rappelons-le. »

Voici la preuve par neuf de la malhonnêteté de telles associations ! Le présentateur, maladroit certes, ne justifie absolument pas l’esclavage. Le Petit Robert donne, entre autres, cette définition du mot « nécessaire » : « Dont l’existence, la présence est requise pour répondre au besoin (de quelqu’un), au fonctionnement (de quelque chose). » Oui, à l’époque, l’esclavage a servi des desseins économiques particuliers : il était donc nécessaire, ce qui ne veut pas dire qu’il était moral. De plus, il s’agissait d’un direct et l’on sait que, dans ces cas-là, les journalistes se sentent obligés de meubler avec des phrases creuses. Toutefois, il est plus commode d’accabler un journaliste français plutôt qu’un esclavagiste musulman du golfe Persique ! « Ne pas culpabiliser nos frères opprimés ! » se dit sûrement le Cran, auquel il manque un « o » pour être parfaitement raccord ! Christiane Taubira n’avait-elle pas jadis exprimé cette idée avec sa loi relative à la traite des Noirs, qui omettait le rôle prépondérant de l’islam dans ce commerce, et qui perdure dans certains pays musulmans ?

Quid des injures et agressions indiscutablement racistes de la part de Noirs à l’encontre des Blancs et Blanches de notre pays, ou de ces rappeurs noirs qui menacent et insultent la France ? Le Cran s’en moque ! Mais si nous sommes à ce point racistes, voire des esclavagistes nostalgiques, pourquoi demeurer plus longtemps sur notre sol ? Marre de cette repentance à sens unique, et je parle au nom de millions de Français ! Le Cran et toutes ces associations parasites qui mordent la main qui les nourrit n’ont pas vocation à exister sur le territoire national.

Il est temps de faire mentir cette maxime de Chamfort : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. »

Charles Demassieux

 

Source : ripostelaique

Notre pire ennemi est la soumission de notre peuple !

Publié par Guy Jovelin le 10 août 2016

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Source : synthesenationale

10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

Publié par Guy Jovelin le 10 août 2016

10 août 2016 par admin4

Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
La tension est vive et, excités par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté : « Vive la Nation ! ». Situation confuse.
Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
Apeurés, le roi, la reine et le dauphin traversent le jardin des Tuileries et vont chercher refuge au sein de l’Assemblée.
Devant le palais, l’émeute enfle. Une porte est malencontreusement ouverte. Un flot de sans-culottes s’y engouffre. Les gardes suisses ouvrent le feu et provoquent un reflux éperdu vers le Carrousel.
Les émeutiers évacuent la place. Ils semblent près d’abandonner la partie.

Mais vers dix heures, un groupe de volontaires marseillais parvient à s’introduire à l’intérieur des Tuileries. Le combat reprend de plus belle.
Le roi griffonne un billet ordonnant aux Suisses de déposer à l’instant les armes et de se retirer dans leurs casernes. Grave erreur du trop bon Louis XVI.
Obéissants, les gardes se replient vers la place Louis XV (l’actuelle place de la Concorde).

Mais ils sont bientôt encerclés, capturés, conduits à l’Hôtel de Ville puis massacrés. Mêlées à la foule, les poissardes des halles se livrent à de honteuses mutilations sur les cadavres.
Les émeutiers envahissent maintenant les Tuileries et lynchent pêle-mêle gardes, serviteurs et fidèles avant de piller le palais.
Six cents Suisses ainsi que deux cents aristocrates et gens de maison perdent la vie en ce jour du 10 août.

L’Assemblée législative, enhardie par le succès de l’émeute, prononce la « suspension » du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures « pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l’égalité », et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit de fortune, la famille royale est emmenée au donjon du Temple pour y être emprisonnée.
La période appelée « la Terreur » allait commencer.
Fin d’un régime millénaire qui avait construit la France mais était certes affaibli de l’intérieur.
Naissance de la République.