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mercredi, 23 août 2017

« Tous ceux qui ont aimé l'immigration de masse vont pouvoir découvrir les joies de l'islamisme, de la charia, du djihad et du terrorisme »

23 Août 2017, 18:40pm

Publié par Thomas Joly

Carl Lang, Président du Parti de la France, a réagi sur Twitter au chaos ethnique et islamiste qui se répand en Europe occidentale

Carl LANG @carllang2022

Tous ceux qui ont aimé l'immigration de masse vont pouvoir découvrir les joies de l'islamisme, de la charia, du djihad et du terrorisme...

RENNES: LES INCENDIES DE VOITURES SE MULTIPLIENT DANS LE QUARTIER DU BLOSNE, LES HABITANTS ENTRE DÉSESPOIR ET COLÈRE

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2017

 
Les incendies de voiture se multiplient dans le quartier du Blosne de Rennes depuis début août. Les habitants n'en peuvent plus.
Des dizaines de voitures ont été dégradées depuis début août dans le quartier du Blosne à Rennes (illustration).
© Christophe DELATTRE / AFP/Archives

Auteur : La rédaction de FranceSoir.fr

Ils n'en peuvent plus. Les habitants du quartier tranquille du Blosne, à Rennes, vivent au rythme des incendies criminels de voiture, depuis le début du mois d'août. Une quinzaine de véhicules sont même partis en fumée pendant la seule nuit de vendredi 18 à samedi 19, rapporte France Bleu Armorique. 
 
A l'origine des faits, semble-t-il, la mort d'un jeune homme de 26 ans tué par des policierssur lesquels il avait foncé, fin juillet, toujours selon l'antenne locale de France Bleu. Un fait divers tragique qui avait entraîné une vague de violences dans ce quartier du sud de Rennes. Depuis, le soufflé n'est pas retombé.

Au grand dam des riverains. "J'ai très très mal réagi. C'est la voiture qui me permettait d'aller travailler. J'en ai voulu à la police, à la ville... C'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase", témoigne Julie dont le véhicule a été incendié. D'autant que le quartier est plutôt populaire. "J’ai besoin de ma voiture pour aller au travail à Cesson-Sévigné et pour la vie de famille. Elle datait de 2001 mais elle roulait, c’était l’essentiel. Maintenant, je serai peut-être dédommagée de l’Argus. C’est l’équivalent d’un salaire...", regrette Sandrine, elle aussi sinistrée, citée par Ouest-France.

Les autorités municipales avouent également leur impuissance et ont demandé -et obtenu- des renforts policiers. "Il faut qu'il y ait du bleu sur l'espace public, il faut que l'ordre républicain soit respecté", réclame ainsi l'adjoint au maire (PS) en charge de la sécurité Hubert Chardonnay.  

 

Auteur : La rédaction de FranceSoir.fr

Odieux traitement médiatique des attentats islamistes

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2017

POSTÉ LE 22 AOÛT , 2017

attentats islamistes,martyr,odieux traitement médiatiqueCombien faudra-t-il encore d’attentats pour que les médias prennent conscience que la façon dont ils les traitent, sous couvert de l’éternel prétexte d’informer le public (et surtout d’être les premiers à le faire), ne sert, en fait, qu’à être le support publicitaire gratuit des auteurs de ces actes odieux et inqualifiables.

C’est en boucle, sur certaines chaînes d’information, qu’on nous montre toujours les mêmes scènes de carnage, que l’on en détaille à loisir les circonstances, d’ailleurs bien souvent hypothétiques et fluctuantes, comme le sont également les bilans en termes de morts, de blessés et de leur état physique réel !

Le comble réside, cependant, dans la large diffusion des portraits de ces criminels, dont on nous présente les visages généralement souriants avant l’accomplissement de leurs forfaits.

Non content d’ailleurs de se satisfaire des acteurs en cause, on en profite pour nous resservir les portraits des frères Kouachi ou autres individus de cet acabit pour que nous ne les oubliions pas et ceci, sans aucun respect pour les familles de leurs victimes.

A-t-on besoin de ces rappels odieux ou veut-on simplement conforter chez leurs coreligionnaires, du même bord, le statut de « martyr » que leurs prêcheurs prosélytes leur ont promis ?

Ne peut-on pas se contenter de diffuser la photo de ceux ou celles qui sont recherchés ?

Ce serait là la seule façon de faire œuvre utile en donnant enfin une réelle information visant à les empêcher de nuire.

Il serait bon aussi de supprimer ces interviews ou débats inutiles de soi-disant spécialistes ou experts qui, hormis les gargarismes mille fois ressassés, sont bien incapables de présenter une quelconque action concrète pour tenter de mettre à l’abri de ces monstres leurs futures innocentes victimes.

Pour ces dernières, la seule défense est d’essayer de continuer à vivre normalement pour montrer qu’elles n’ont pas peur en restant courageuses et solidaires, avec pour seul réconfort la visite éphémère d’un ministre ou d’une personnalité venue compatir à leurs souffrances, avant de rejoindre leurs bureaux capitonnés et protégés.

 

Désolés, Saint-Père, nous ne sommes pas d'accord

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2017

  
 

Dans un message pour la journée mondiale du migrant et du réfugié, - que le Vatican a publié le 21 août, pour une célébration devant avoir lieu en janvier 2018 -  le pape François vient de déclarer que « la sécurité des migrants passe toujours avant celle des nations ». Parce que, dit-il, les personnes passent avant les communautés auxquelles elles appartiennent.

Désolés, Saint Père, nous n'adhérons pas à cet enseignement ; fussions-nous de fervents catholiques, nous n'y obéirons pas ; nous le contesterons dans son fond et dans ses effets que tout nous désigne comme détestables. 

Le « principe de la centralité de la personne humaine » qu’invoque le pape François s’applique justement comme condition de la réalisation du Bien Commun. Non comme prévalence ou opposition à ce dernier. Il n'existe pas, en effet, de personnes humaines sans appartenance à une communauté, notamment nationale, soit par simple naissance, ce qui est le cas très général, soit, dans des cas particuliers, par choix ultérieur d'une autre communauté que celle de naissance, mais de toute façon antérieure à cette dernière.

Les victimes du terrorisme, dont on a aujourd'hui la certitude qu'il est largement induit par les flux migratoires, sont aussi des personnes. Personnes appartenant à des nations, dont le pape voudrait que les dirigeants fassent passer leur sécurité après celle des migrants. Mais eux au moins savent appartenir à des communautés dépassant leur personne. L'Ouma, par exemple, pour les Musulmans.

L'affirmation du pape d'un droit des personnes migrantes supérieur à celui des nations qu'elles traversent ou qu’elles rejoignent, et de leurs ressortissants, nous paraît être de pure démagogie, fausse en son principe, pernicieuse en ses effets. En tout cas non opposable au Politique et à ses droits et devoirs.

Car la démagogie pontificale favorise, encourage et justifie la vague de migrants qui, aujourd'hui, submerge l'Europe. Et qui la frappe en de nombreuses personnes, victimes de la fureur.

Le Pontife Romain prêche ici contre sa paroisse. Il n'est pas sûr que lui-même ou l'un de ses successeurs ne doive pas un jour s'en repentir amèrement.

 

Source : lafautearousseau

Migrants: comment François mène son combat depuis le début de son pontificat

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2017

Par Elena Scappaticci Mis à jour 

 

Migrants: comment François mène son combat depuis le début de son pontificat

Alors que le souverain pontife rend public un ensemble de préconisations destinées à faciliter l'intégration des réfugiés dans les pays d'accueil, retour sur ses prises de position les plus fortes depuis 2013.

Le long texte publié par le Pape François le 21 août pour la journée mondiale du migrant et du réfugié tranche nettement avec l'appel à la «prudence» formulé en octobre dernier par le souverain pontife, mais confirme son engagement personnel fondamental sur le sujet. Le Pape y défend des propositions concrètes pour accélérer l'intégration des migrants dans les pays d'accueil (création de «visas temporaires spéciaux», regroupement familial, «parcours de régularisation extraordinaire») tout en conseillant l'abandon des «expulsions collectives et arbitraires» et des procédures de détention. Autant de suggestions audacieuses qui indiquent que le souverain pontife souhaite imprimer sa marque sur ce dossier et obtenir de la communauté internationale qu'elle parvienne à la ratification des accords globaux pour faciliter l'immigration, promis à l'ONU en septembre 2016. Du plaidoyer de Lampedusa en faveur d'une immigration sans-limite à l'appel à la «prudence» d'octobre dernier face au danger populiste, retour sur les étapes décisives du combat papal en faveur des migrants.

 Juillet 2013: Á Lampedusa, le nouveau pape dénonce la «mondialisation de l'indifférence»

Tout juste élu, le pape choisit un lieu lourd de symboles pour son premier voyage officiel: l'île de Lampedusa, où échouent chaque année des milliers de migrants tentant de traverser la Méditerranée. Il y prononce un discours en forme de plaidoyer pour l'accueil inconditionnel des réfugiés et des migrants, dans lequel il fustige l'incapacité des États européens à prendre en charge les migrants: «Nous avons perdu le sens de la responsabilité fraternelle», «la culture du bien-être nous rend insensibles aux cris d'autrui (...), et aboutit à une mondialisation de l'indifférence», dénonce-t-il.

● Novembre 2014: devant le Parlement européen, le Pape enjoint l'Europe à retrouver son «esprit humaniste»

«On ne peut pas tolérer que la Méditerranée devienne un grand cimetière!» lance le Pape aux députés européens venus l'écouter au Parlement de Strasbourg, le 25 novembre 2014. Dans ce discours, le souverain pontife exhorte l'Europe à retrouver ses «racines religieuses». «Une Europe qui n'a plus la capacité de s'ouvrir à la dimension transcendante de la vie est une Europe qui lentement risque de perdre son âme, ainsi que cet «esprit humaniste» qu'elle aime et défend cependant.». Son discours est salué par une standing ovation.

● Février 2016: à la frontière mexicaine, le Pape débute sa croisade «anti-mur»

En voyage à Cidudad Juarez, ville mexicaine frontalière avec les États-Unis, le Pape célèbre une messe géante pour promouvoir «les doits des migrants». Alors que la campagne présidentielle bat son plein aux États-Unis, son message d'ouverture apparaît comme un geste de défi adressé au candidat républicain Donald Trump, dont le programme préconise le renforcement de la frontière entre les deux États. Appelant à la «miséricorde», le souverain pontife associe dans un même geste la situation des immigrants mexicains à celle des réfugiés qui fuient les conflits au Moyen-orient: «Ici, à Juárez, comme dans d'autres régions frontalières, des milliers de migrants centraméricains se sont concentrés, sans oublier les nombreux Mexicains qui cherchent aussi à passer ‘‘de l'autre côté''.»

» Lire aussi: La messe surréaliste du pape François à la frontière entre le Mexique et les États-Unis

 

Source : lefigaro