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jeudi, 24 août 2017

Signalé comme sans-papier à Toulouse en 2009, il commet un attentat à Levallois-Perret

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

   

Le suspect de l’attaque à la voiture bélier, blessant six militaires à Levallois-Perret, le 9 août dernier avait été signalé à Toulouse en 2009. Il était alors impliqué dans la vente de cigarettes de contrefaçon, il séjournait aussi illégalement sur le territoire Français.

A défaut d’être expulsé, Hamou B., un algérien de 36 ans, a obtenu un titre de séjour en mars dernier. En guise de reconnaissance, le néo-français a tenté d’assassiner une patrouille de militaires, le 9 août à Levallois-Perret. Blessant six soldats à l’aide de sa voiture, cet acte aurait pu être évité… huit ans auparavant.

En effet, contrôlé en 2009 à Toulouse, Hamou B. revendait des cigarettes de contrefaçon dans les artères de la ville rose, alors qu’il séjournait illégalement sur le territoire français. C’est ce qu’a indiqué François Molins, procureur de la République de Paris, en charge des dossiers de terrorisme, lors d’une conférence de presse tenue mercredi. Bien qu’étant donc impliqué dans deux affaires délictuelles, le suspect du dernier attentat sur le sol français « n’a jamais été condamné » et encore moins expulsé, indique François Molins.

De Toulouse à Levallois-Perret

Signalé également plus tard, à Sartrouville comme clandestin, l’Algérien a réussi à se maintenir sur le territoire français pendant près d’une décennie avant d’être régularisé le 6 mars dernier. Le 9 août, il a été blessé par balle par des policiers, qui tentaient de l’interpeller alors qu’il se dirigeait vers Calais, après l’attaque à la voiture bélier, au petit matin, blessant six militaires, dont trois grièvement, place de Verdun à Levallois-Perret.

Chauffeur de VTC et manutentionnaire, il n’était pas connu des services de renseignement et bénéficiait d’un casier judiciaire vierge. Proche du mouvement Tabligh (« Association pour la prédication, mouvement qui prône une vision ultra-rigoriste, littérale de l’islam »), son téléphone saisi à son domicile comporte par ailleurs « une douzaine d’images relatives à l’État islamique ou avec des objets tels que drapeaux, images de dirigeants ou d’idéologues ».

Le procureur de la République a précisé que Hamou B. avait « un intérêt récent mais certain » pour l’Etat Islamique et s’était renseigné pour rejoindre Daech en Syrie. L’individu n’a pas encore pu être interrogé par les enquêteurs, à cause de son état de santé.

 

Source : infos-toulouse

Des CRS de Toulouse se font porter pâle pour refuser une mission à Paris

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

Par Guillaume Descours

Mis à jour 

 

Les CRS sont souvent régulièrement envoyés en mission loin de leur famille et de plus en plus depuis les attentats de 2015. 

Les policiers contestent leurs conditions de travail et la volonté du gouvernement de fiscaliser les indemnités qui leur sont versées à l'occasion de déplacements.

Plus de 70 CRS de la région de Toulouse devaient partir en mission à Paris pour une durée de trois semaines, lundi. Seulement 27 ont pris le départ, les autres ont présenté un certificat médical pour être dispensé. Cette action permet aux CRS d'alerter sur leur condition de travail qui se dégrade au fil des mois.

«Il existe un ras-le-bol dû au suremploi», déclare Dominique Le pape, chargé de mission nationale du syndicat Alliance, interrogé par Le Figaro. Cette mission était «un renfort en zone de défense. La plupart des missions sont aujourd'hui sur Paris et Calais, où la situation recommence à se tendre depuis quelques semaines», explique-t-il.

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Au centre du problème, les indemnités d'absence temporaire. Fixées à 39 euros par jour, depuis le 1er janvier 2017, elles sont une contrepartie à leur absence du domicile familial. «En général, en un coup de téléphone ils doivent partir en laissant femme et enfant», reprend le syndicaliste. Si jusqu'à présent ces indemnités étaient versées à la fin de la mission et n'étaient pas imposables, cela pourrait changer dans les mois à venir. En effet, le ministère de l'intérieur voudrait pouvoir les rendre imposables et ne les verser que tous les trois mois.

Un procédé récurrent

Selon Olivier Candille, représentant régional du syndicat Alliance CRS, interrogé par France 3, les CRS ont vu, depuis trois ans, leurs nombres de jours de missions à l'extérieur passer «de 180 à 240 jours». Une multiplication qui s'est fait ressentir depuis les attentats de janvier 2015 à Paris. Outre la surcharge de travail, les CRS protestent aussi contre leurs conditions de travail sur le plan technique. «Aujourd'hui la flotte de véhicule est dans un état déplorable alors que nous avons de plus en plus de missions», précise Dominique Le Pape.

» Lire aussi - Mal employés, les policiers et gendarmes mobiles au bord de la saturation

Alors qu'ils ne possèdent pas le droit de grève, c'est la nouvelle manière de manifester qu'ont choisi les CRS. Le 12 août, un groupement de CRS de la Loire, qui devait partir en mission à Orly, s'est rendu dans les services d'urgences et a obtenu des arrêts de travail allant d'un à plusieurs jours. Plus tôt en août, le Pogrès racontait qu'un CRS de la Loire, basé à Mably, avait utilisé le même procédé.

Selon Dominique Le Pape, les syndicats ont fait une demande pour rencontrer le directeur général de la Police nationale afin de «trouver des solutions».

 

Source : lefigaro

Islamisme, quand les contribuables entretiennent leur bourreau

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

Céline Amaudruz

Conseillère nationale UDC
ImamAuxfrs600.000
 

Islamisme, quand les contribuables entretiennent leur bourreau

Pour peu qu'on veuille bien s'y intéresser, la vie intérieure des mosquées établies dans notre pays ne déçoit jamais. On a ainsi entendu parler de celle de Winterthur, régulièrement citée lorsqu'il est question de jihadisme. Quelques figures emblématiques feraient l'objet d'enquêtes de la part du Ministère public, instance aussi discrète que son tableau de chasse. A cette heure, An Nur semble susciter un intérêt soutenu de la part des enquêteurs espagnols travaillant sur les attentats de Barcelone. A Bâle, à la mosquée du roi Faysal, il fut question de fatwa légitimant les crimes de quelque nature qu'ils soient contre les ressortissants d'un état infidèle ou de poignée de mains refusée à une enseignante sous prétexte qu'elle est une femme. Il y a aussi eu Genève avec le Petit-Saconnex, ses imams fichés S, tout comme le responsable de la sécurité, son financement pour le moins opaque et ses voyageurs partis faire le jihad sous les couleurs de l'Etat Islamique. Rien de bien exceptionnel me direz-vous, ces éléments inquiétants n'ayant guère suscité de réactions de la part des mondes politique ou judiciaire, trop heureux ne pas avoir à se frotter à ces prosélytes chicaniers et malcommodes. 

Aujourd'hui, c'est le Bund qui attire notre attention sur une autre curiosité proposée par les enrichisseurs culturels, à savoir la mosquée de Bienne et son bien sympathique imam Abu Ramadan, homme de paix et d'amour qui propose à ses ouailles des prêches appelant Allah à détruire les ennemis de l'islam, les Juifs, les Chrétiens, les Hindous, les Russes et les Chiites, ceci en vue de redonner à sa croyance sa gloire antique.

Le parcours de cet homme appelant à la destruction de ceux que l'accueillent et l'entretiennent vaut son pesant de cacahouètes. Prétendument persécuté par le régime du colonel Khadafi, le personnage arrive de Libye à fin 1998 pour demander l'asile qu'il ne tarde pas à obtenir bien évidemment. Il se dit agronome mais le doute subsiste, Abu Ramadan étant brouillé avec le travail. Sa fainéantise n'a bien sûr aucune incidence sur son parcours en Suisse puisqu'il est aujourd'hui titulaire du permis C, touchant ainsi CHF 600'000.— d'aide sociale entre 2004 et 2017. Dans la mesure où l'intéressé ne maitrise ni le français ni l'allemand après tant d'années, on ne peut que constater qu'il n'a pas profité de son temps libre pour travailler à son intégration.

Il est vrai qu'Abu Ramadan est un homme occupé. Il officie en effet à titre gracieux à la Mosquée de Bienne lors de la prière du vendredi, occasion en or pour distiller sa haine aux fidèles qui semblent s'accommoder du discours. Doté d'un sens de l'humour pour le moins étonnant chez pareil personnage, l'imam précise que l'amour, la tolérance et la générosité sont ses lignes directrices dans ses relations avec les musulmans et les non-musulmans, d'où on déduit que la destruction qu'il nous souhaite participe de sa vision de l'amour, de la tolérance et de la générosité. Ce dernier terme évoque sans doute celle du citoyen contribuable appelé à sponsoriser le personnage et ses appels à la destruction. Pour compléter le tout, fort de son sentiment d'avoir la nationalité suisse, l'imam retourne volontiers dans son pays d'origine pour réclamer à la télévision l'instauration d'un califat islamique.

Ce nouveau cas démontre une fois de plus à quel point nous sommes naïfs face à la haine que ces islamistes éprouvent pour nous. Interprétant à juste titre notre tolérance comme de la faiblesse, ils profitent de la liberté que nous leur octroyons pour appeler à notre destruction, ceci en profitant des largesses publiques. Il est vrai que jusqu'ici, les mosquées qui se sont signalées par leur radicalisme sont toutes situées dans des villes de gauche. Ceci explique cela.

 

Source : lesobservateurs

Attentats en Espagne : la justice avait annulé l’expulsion de l’imam responsable de la cellule djihadiste

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

Un juge espagnol avait annulé en mars 2015 un arrêté d’expulsion contre Abdelbaki Es Satty, l’imam soupçonné d’avoir endoctriné les auteurs des attentats à Barcelone et Cambrils, considérant qu’il n’était pas dangereux, a annoncé mercredi la justice.

Un juge de Castellon, ville de l’est de l’Espagne où ce Marocain a purgé une peine de quatre ans de prison pour trafic de drogue, a estimé alors qu’il avait démontré ses « efforts d’intégration dans la société espagnole », précise la justice dans un communiqué, qui confirme une information du journal El Mundo.

Le juge relevait qu’il n’avait commis qu’un seul délit, travaillait et ne représentait à ses yeux pas une « menace réelle et suffisamment grave pour l’ordre public ».

Abdelbaki Es Satty, 44 ans à sa mort mercredi dernier, a vécu plusieurs années à Ripoll, petite ville au nord de la Catalogne dont sont originaires la plupart des membres de la cellule soupçonnée d’avoir préparé et commis les attentats.

 

Source : fdesouche via La Libre