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dimanche, 08 juillet 2018

Poitiers : l’imam révèle que la Grande mosquée porte le nom de la bataille de Poitiers, sur une chaîne qatarie

Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2018

Auteur : admin4
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Dans un reportage de la chaîne qatarie Al Rayyan, l’imam de la Grande mosquée de Poitiers, Boubaker El Hadhj Amor, révèle que sa mosquée porte le nom arabe de la Bataille de Poitiers (« le Pavé des martyrs ») en 732, ce qu’il n’avait jamais expliqué en français…

Son projet s’inscrit donc dans la poursuite du djihad que Charles Martel arrêta jadis…

Et dire qu’en 2012, lorsque des identitaires avaient occupé le toit du chantier de la mosquée de Poitiers, il les avait accusé de vivre « il y a 1300 ans », feignant l’incompréhension… le double discours est une spécialité des Frères musulmans de l’UOIF, auquel appartient l’imam.

Il affirme par ailleurs dans cet entretien que le maire de Poitiers l’a activement soutenu et encouragé, de même que le Ministre de l’Intérieur, le sinistre franc-maçon Cazeneuve, qui l’invitait à terminer les travaux rapidement, avant que les patriotes ne montrent leur opposition…

Si ce ne sont pas des traîtres…

PS : la grande mosquée de Poitiers se distingue par son minaret de 22 mètres de hauteur.

 

Source : fdesouche et democratieparticipative via contre-info

vendredi, 17 novembre 2017

Bordeaux : des jeunes catholiques chantent en boucle l’Ave Maria pour perturber une soirée de l’amitié islamo-chrétienne

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2017

 

Jeudi soir, plusieurs jeunes catholiques fondamentalistes ont chanté sans relâche l’ »Ave Maria » pour s’opposer à la présence d’un imam dans une église de Bordeaux.

250 personnes sont réunies à l’invitation du Service diocésain des relations avec les musulmans en Gironde (SDRM33), pour une conférence-débat sur l’altérité et la rencontre de l’autre. Une soirée organisée dans le cadre de la semaine nationale islamo-chrétienne et de la quinzaine de l’égalité (mairie de Bordeaux).

Mais la soirée ne se déroule pas exactement comme prévu. Des jeunes catholiques se sont installés sur les trois premiers rangs de l’église.
Dès le début, ils se mettent à genoux et chantent l’Ave maria. En boucle, pendant toute la durée de la conférence !

Pendant les semaines qui ont précédé cette soirée, les organisateurs ont reçu plusieurs mails les informant de cette manifestation des « ultra catholiques ». Le site d’ »extrême droite » Info-Bordeaux a par ailleurs relayé les messages opposés à la venue d’un imam dans une église.

Sud Ouest via fdesouche

mardi, 14 novembre 2017

Le prêche de l’imam Macron à Abou-Dhabi

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2017

L’avez-vous remarqué ? Lorsque notre bien trop jeune Président dont improvise son visage devient illuminé et sa parole, sinon mystique, un peu déjantée. Il me rappelle Albert Dupontel dans « Président » ou dans « Au revoir là-haut » jouant des personnages hallucinés ou hors-terre !

Hier, c’était dans une tranchée allemande, aux côtés du président Steinmeier où, sachant qu’il était filmé en direct, est parti dans une phraséologie politico-poétique pour expliquer les désastres de la guerre 14-18 et la formidable amitié franco-germanique. Avant-hier, à Abu-Dhabi, devant un parterre d’hommes vêtus de leur dishdash, il a emparé le glaive pour défendre l’islam.

Il inaugurait alors le Louvre des Émirats. Pas une mosquée. Pourquoi donc a-t-il achevé son beau discours intellectuel par cette envolée incompréhensible pour un président français censé défendre nos valeurs traditionnelles face aux valeurs arabo-musulmanes.

« Ce Louvre de la lumière et du désert, c’est ce message envoyé contre tous les obscurantismes, ce courage que vous avez voulu, celui de remettre votre religion dans ce qu’elle a toujours fait et que vous venez de rappeler…Ce message d’un syncrétisme profond, on ne peut pas aimer la religion qui est la vôtre si on ne se rappelle pas que dans cette région tous les grands monothéismes sont nés et que l’islam est né de ce palimpseste de cultures et de civilisations qui font que de manière indétricotable, irréductible, nos religions sont liées, nos civilisations sont liées. ET QUE CEUX QUI VEULENT FAIRE CROIRE, OÙ QUE CE SOIT DANS LE MONDE, QUE L’ISLAM SE CONSTRUIT EN DÉTRUISANT LES AUTRES MONOTHÉISMES SONT DES MENTEURS ET VOUS TRAHISSENT… »

 

Emmanuel Macron a voulu faire savant, selon son habitude, en appelant à la rescousse de son argument le terme de palimpseste. Mais peut-on lui rappeler que ce mot signifie exactement le contraire de ce qu’il souhaitait dire à cette assemblée de pieux hommes. Un palimpseste, selon le site des Études Littéraires est « un parchemin manuscrit dont on a effacé la première écriture afin d’écrire un nouveau texte ». Et c’est exactement ce que Mahomet a fait en rédigeant son Coran. Il a fait un copié-collé de la Torah et de la Bible pour en réécrire de nombreux passages et détruire ainsi les textes saints, originaux.

 

Alors qui ment effrontément, comme il en a l’habitude derrière un regard bleu regard tourné vers les cieux, le sourire figé ? Qui est celui qui nous trahit pour plaire à une assemblée prête à le suivre dans sa démonstration politico-religieuse ?

Comment Emmanuel Macron peut-il affirmer que l’islam n’a pas, historiquement, conquis une partie du monde au fil du sabre pour imposer sa version revue et corrigée de la Bible et de la Torah ?

Comment peut-il, enfin, faire une propagande éhontée de cette religion-code-de-vie, en reconnaissant que le Coran est la dernière révélation divine, annulant ainsi le passage du Christ sur terre au profit du dernier prophète Mahomet… Et puis dire que les trois religions monothéistes sont nées, ici, en Arabie, c ‘est une fois de plus, pour M. Macron, bien mal connaître la géographie !

Les imams et fidèles musulmans français doivent être fiers de leur Président… Pas nous !

Floris de Bonneville

 

Source : ndf

jeudi, 24 août 2017

Attentats en Espagne : la justice avait annulé l’expulsion de l’imam responsable de la cellule djihadiste

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

Un juge espagnol avait annulé en mars 2015 un arrêté d’expulsion contre Abdelbaki Es Satty, l’imam soupçonné d’avoir endoctriné les auteurs des attentats à Barcelone et Cambrils, considérant qu’il n’était pas dangereux, a annoncé mercredi la justice.

Un juge de Castellon, ville de l’est de l’Espagne où ce Marocain a purgé une peine de quatre ans de prison pour trafic de drogue, a estimé alors qu’il avait démontré ses « efforts d’intégration dans la société espagnole », précise la justice dans un communiqué, qui confirme une information du journal El Mundo.

Le juge relevait qu’il n’avait commis qu’un seul délit, travaillait et ne représentait à ses yeux pas une « menace réelle et suffisamment grave pour l’ordre public ».

Abdelbaki Es Satty, 44 ans à sa mort mercredi dernier, a vécu plusieurs années à Ripoll, petite ville au nord de la Catalogne dont sont originaires la plupart des membres de la cellule soupçonnée d’avoir préparé et commis les attentats.

 

Source : fdesouche via La Libre

jeudi, 21 avril 2016

Six mois de prison requis contre un imam

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2016

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Six mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve ont été requis mercredi contre l'imam Mohamed Khattabi qui comparaissait devant le tribunal correctionnel de Montpellier pour recel de fraudes aux allocations et "travail dissimulé".  Trois mois de prison avec sursis avec mise à l'épreuve ont été également requis contre Nadia Mallem, sa compagne et la mère de quatre de ses enfants, notamment pour avoir mis en avant auprès de la Caisse d'allocations familiales (Caf) une "fausse qualité de parent isolé". Le jugement a été mis en délibéré au 18 mai.

 Jacques-Philippe Redon pour le ministère public a estimé qu'il y avait "communauté de vie et d'intérêt financier" entre M. Khattabi et Mme Mallem et a parlé d'une "fraude volontaire", assurant que ce dossier et les condamnations qu'il réclamait étaient "tout à fait ordinaires". Me Florence Rosé, assurant la défense de Mme Mallem a contesté la communauté de vie et s'est dit "estomaquée par le nombre d'actes d'enquête au regard des faits reprochés". Elle a demandé la relaxe de sa cliente. "On a forcé un dossier en demandant à la CAF de rechercher une infraction", a renchéri Me Arié Alimi pour la défense de l'imam Khattabi. "Les services du parquet vous instrumentalisent pour des questions politiques", a-t-il lancé au président du tribunal Marcel Tastevin. Mme Mallem, âgée de 44 ans, est accusée d'avoir perçu indûment des allocations de parent isolé et des aides au logement. Il est reproché à Mohamed Khattabi, âgé de 54 ans, le "recel" de ces sommes, représentant un préjudice de quelque 20.000 euros pour la Caf de l'Hérault.

L'imam est également accusé de "travail dissimulé" et de "blanchiment", liés à des toilettes mortuaires. Venant témoigner calmement dans une djellaba blanche, appuyé sur une canne, l'imam Khattabi a contesté les accusations. Il a notamment expliqué qu'il ne vivait pas avec la mère de ses enfants à Saint-Georges d'Orques mais lui avait proposé de venir de temps à autre alors qu'elle réside dans un autre quartier. "Elle vient, elle s'installe, elle repart, c'est très irrégulier", a-t-il dit. Dans cette affaire, la garde à vue de l'imam de la mosquée Aïcha, située dans le sud de Montpellier et de sa compagne était intervenue moins d'une semaine après l'abrogation le 11 décembre 2015 par le ministère de l'Intérieur de l'assignation à résidence à laquelle le religieux était soumis dans le cadre de l'état d'urgence depuis le 22 novembre. Il avait contesté ces mesures en justice.