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vendredi, 15 décembre 2017

Cours d'arabe à Nuits-Saint-Georges : la polémique ne désenfle pas

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2017

La direction académique de Côte-d’Or cherche une solution pour que les écoliers qui le souhaitent puissent suivre des cours d’arabe Elco à Nuits-Saint-Georges. Pour le moment, Alain Cartron, maire, refuse de mettre une salle municipale à disposition. Photo LBP
 La direction académique de Côte-d’Or cherche une solution pour que les écoliers qui le souhaitent puissent suivre des cours d’arabe Elco à Nuits-Saint-Georges. Pour le moment, Alain Cartron, maire, refuse de mettre une salle municipale à disposition. Photo LBP

Dans nos éditions de samedi dernier, nous relations le refus du maire de Nuits-Saint-Georges, Alain Cartron, de mettre à disposition une salle municipale pour le cours Elco (enseignement de langue et de culture d’origine) de langue arabe offert aux écoliers des écoles élémentaires publiques Henri-Challand et Marie-Maignot.

Aujourd'hui, dans un communiqué de presse commun, la FCPE de Côte-d'Or, la Ligue des Droits de l'Homme et la Ligue de l'enseignement se disent "choqués et indignés par la décision" de l'édile. "Il s'agit d'un droit pour les enfants et, parce qu'il s'inscrit dans le cadre de l'Education nationale, il n'a pas à dépendre du bon vouloir de chaque maire. Il n'appartient donc pas au maire de prendre position sur le bienfondé de ces cours." expriment encore les trois organismes.

Le communiqué complet :

" Nous sommes choqués et indignés par la décision du maire de Nuits-Saint-Georges de refuser de mettre une salle à disposition de l'Éducation nationale pour des cours d'arabe ELCO (Enseignement dans la Langue et Culture d'Origine) destinés aux enfants dont les familles le souhaitent.

Il s'agit d'un droit pour les enfants et, parce qu'il s'inscrit dans le cadre de l'Education nationale, il n'a pas à dépendre du bon vouloir de chaque maire.

Il n'appartient donc pas au maire de prendre position sur le bienfondé de ces cours.

En tant qu’activités d’enseignement, ils sont soumis aux principes fondamentaux du service public de l’éducation: laïcité, gratuité et neutralité comme l'ont d'ailleurs rappelé les services académiques.

Nous pensons que, pour se construire et bien grandir, il est essentiel pour nos enfants de connaître leur origine. Avoir l'opportunité de pratiquer une autre langue que le français dans sa famille comme à l'école est une chance.

L'étayer par un apprentissage académique est une sécurité, la sécurité de construire convenablement son apprentissage pour l'utiliser au mieux professionnellement comme personnellement, la sécurité d'apprendre loin des risques de dérives et/ou de discours prosélytes.

Par-delà les prétextes mis en avant, nous nous inquiétons du sentiment de discrimination que peuvent ressentir les familles concernées, surtout lorsque l'on sait que d'autres langues, comme l'anglais sont enseignées sans contestation.

Attachés au refus de toute forme de rejet de l'autre et de xénophobie, nous ne saurions admettre qu'une langue, une culture quelle qu'elle soit, puisse être a priori considérée comme suspecte.

Ce n’est pas ainsi que nous concevons l’éducation de nos enfants aux valeurs de la République, d’égalité et de fraternité."

 

Source : bienpublic

Migrants : le nombre de mineurs étrangers isolés a été multiplié par 10

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2017

Image d'illustration. Photo © PHILIPPE HUGUEN / AFP

Immigration. Leur nombre est passé de 2 500 en 2005 à 25 000 en 2017. Le coût de leur hébergement doublera et approchera les deux milliards d'euros cette année.

Le nombre des mineurs étrangers isolés a été multiplié par dix depuis 2005 : 2 500 mineurs isolés étaient accueillis cette année-là et en juin 2017, ils étaient déjà 18 000. « Le nombre de 25 000 mineurs non accompagnés accueillis par les services de l’aide sociale à l’enfance sera dépassé d’ici la fin de l’année », précise Europe 1.

 

« Les départements n’y arrivent plus, car c’est à eux qu’incombe la mise à l’abri de ce public, le fait d’être mineur leur ouvre les mêmes droits qu’un enfant en danger et les départements leur doivent assistance », ajoute la radio.

 

Les places étant limitées, ces mineurs (à 95% des garçons) sont donc souvent hébergés à l’hôtel pour un coût astronomique : un milliard d’euros en 2016. « Ce coût va logiquement doubler et approcher les deux milliards, en 2017 », indique encore Europe 1.

 

Source : valeursactuelles

Coup de gueule contre les donneurs de leçons de gauche Omar Sy, Jamel Debbouze, Black M

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2017

schtroumpf-donneur-de-lecons

 
 

Par « La Gauche M’a Tuer ».

 

Source : lesobservateurs

Olivier Giroud, victime de racisme ?

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2017

 

La libération de la parole continue sur le racisme qui ronge l’Equipe de France. Après les aveux du milieu offensif mauricien et international français Vikash Dhorasoo sur le racisme au sein des équipes de jeunes dans les banlieues faits le 8 novembre 2008 sur France 2 (« Le petit Blanc qui arrive, il se retrouve dans des histoires de clans, de gangs, et à un moment donné il arrête de jouer au foot parce qu’il voit qu’il n’a pas sa place là, qu’il ne va pas être protégé s’il y a un problème »), après les révélations du consultant Pierre Ménès sur les brimades racistes commises lors de la Coupe du Monde 2010 à l’encontre du milieu offensif Yoann Gourcuff, après les fausses nouvellesrépandues par le  milieu offensif algérien et international français Samir Nasri, nouvelle polémique avec l’avant-centre international Olivier Giroud.

C’est un documentaire de l’Equipe Enquête intitulé « Olivier Giroud, le mal-aimé » qui soulève un lièvre. La présentation faite le 11 décembre de ce reportage est sans ambiguïté :

« L’Equipe Enquête a retracé le parcours atypique d’Olivier Giroud, l’attaquant controversé de l’équipe de France. Dans ce documentaire, les journalistes de la chaîne L’Equipe ont cherché à comprendre pourquoi le joueur des Gunners suscite autant de critiques et comment celui-ci parvient à mener sa carrière dans l’adversité ».

L’entraîneur adjoint de l’équipe de France, Guy Stéphan, tient alors ces propos, brut de décoiffage :

« Une partie du public se braque contre Olivier Giroud. Vu que la question du racisme a été posée très artificiellement, mais a quand même été posée, eh bien assez naturellement et dans beaucoup d’esprits, Benzema représente « la communauté », la communauté issue de l’immigration maghrébine, il représente les banlieues, il représente ceux qui s’identifient à ces milieux-là, même si c’est effectivement complètement artificiel, et du coup, indirectement, Olivier Giroud représente l’autre camp, il représente finalement le blanc, le céfran, celui qui a effectivement, peut-être, des avantages que d’autres n’ont pas, qui a un nom bien français, qui a une attitude bien française, qui a un physique avantageux, tous ces éléments-là font qu’il apparaît un peu comme la victime idéale. »

Les commentaires sur le site internet de l’Equipe sont également édifiants :

« On l’a déjà dit : avec de telles stats s’il s’était appelé Moussa ou Tarek il serait adulé…mais il est beau gosse, catholique et Blanc et ça en France ça dérange… » (message de Greg, 11/12/17) ; « C’est fou dans ce reportage de voir l’arrogance et la bêtise de Karim Benzema. En huitième de finale de coupe du monde, il pense à une seule chose : faire foirer Giroud. Et l’enjeu sportif, puisque c’est censé être pour cela qu’il a choisi la France ? Il n’a pas choisi la France pour le sportif, mais pour lui-même, égoïstement, incapable de se remettre en question et de faire preuve de pragmatisme ou d’intelligence. » (message de El Tino, 12/12/17).

Notons que le 7 juin 2016, Olivier Giroud avait pris sur Europe 1 la défense du sélectionneur Didier Deschamps suite à des accusations calomnieuses de racisme :

« Je n’ai pas besoin de m’exprimer par rapport à ça. J’ai mon idée sur la question, mais je la garde pour moi. En tout cas, ils ne peuvent pas nous traiter, et le coach le premier, de racistes. Je ne peux pas l’accepter ! ».

 Né à Chambéry, Olivier Giroud a évolué en Ligue 2 au Grenoble Foot 38 (27 matchs, 2 buts de 2005 à 2007), en National (3e division) au FC Istres (34 matchs et 14 buts lors de la saison 2007-2008), en Ligue 2 avec le FC Tours (69 matchs et 36 buts de 2008 à 2010), en Ligue 1 avec le HSC Montpellier(85 matchs et 39 buts de 2010 à 2012) et enfin en Premier League anglaise avec Arsenal (249 matchs et 105 buts depuis 2012). Il compte 69 sélections en équipe de France et 29 buts marqués, avec une première sélection le 11 novembre 2011 en amical contre les Etats-Unis et la dernière le 10 novembre 2017 contre le Pays-de-Galles en amical. Son premier but en bleu fut inscrit lors de sa 3e sélection, le 29 février 2012, lors d’un match amical contre l’Allemagne. Il fut l’auteur d’un triplé contre le Paraguay en match amical le 2 juin 2017 et de six doublés contre l’Australie (11 octobre 2013), la Norvège (27 mai 2014), le Danemark (11 octobre 2015), l’Ecosse (4 juin 2016), l’Islande (quarts de finale de l’Euro, 3 juillet 2016) et le Luxembourg (éliminatoires de la Coupe du Monde, 25 mars 2017). A titre personnel, il est Champion de France 2012 (Montpellier), triple vainqueur de la Coupe d’Angleterre 2014, 2015, 2017 et triple vainqueur du Community Shield les mêmes années, vice-champion d’Angleterre 2016, vice-champion d’Europe avec la France en 2016 et finaliste de la Coupe de la Ligue avec Montpellier en 2011.

A titre personnel, il n’a jamais caché sa foi catholique. Pratiquant, il s’est fait tatouer sur le bras droit le premier verset du Psaume 23, « Dominus Regit Me Et Nihil Mihi Deerit » (« Le Seigneur est mon berger, Rien ne saurait me manquer » et sur le bras gauche la croix du Christ.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Un ancien cadre de Facebook défend à ses enfants de toucher à « cette m… «

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2017

Publié le 14 décembre 2017 Auteur par admin4

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Cet ancien vice-président s’interroge désormais sur les conséquences sociales et psychologiques du réseau social.

« « Vous ne le réalisez peut-être pas, mais vous êtes programmés. » Longtemps, Chamath Palihapitiya a travaillé comme vice-président en charge de la croissance de l’audience de Facebook. Aujourd’hui, il a tiré un trait sur le réseau social, au point d’interdire à ses enfants de l’utiliser. Il utilise au minimum « cette merde », a-t-il expliqué lors d’un débat organisé en novembre à la Stanford Graduate School of Business, signale the Verge (en anglais). L’ancien cadre a rejoint le groupe Facebook en 2007, avant de claquer la porte. Aujourd’hui, il critique, entre autres, les conséquences négatives de l’utilisation du bouton « J’aime » et recommande à tous de prendre « une vraie pause » avec les réseaux sociaux.

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