Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 23 janvier 2019

Un enfant par jour change de sexe au Royaume-Uni

Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2019

Epidémie de transgenres au Royaume-Uni : un enfant par jour change de sexe – mais ce n’est pas un problème et c’est normal pour Theresa May.

Au Royaume-Uni, un nombre record d’enfants de moins de 16 ans s’identifient comme transgenres, avec au moins un enfant qui change de sexe tous les jours.

Louise Bowers, officière d’état civil, l’a dit au Sun : « Avant, nous en publiions environ un par mois, mais maintenant c’est sept à dix par semaine. »

Selon elle, la plupart des enfants ont 14 ou 15 ans, mais certains n’ont que 10 ans.

Le nombre d’enfants âgés de 3 à 18 ans orientés vers les cliniques d’identité sexuelle est passé de 314 en 2011 à 2016 en 2016.

L’année dernière, la ministre britannique de l’Egalité, Penny Mordaunt, a ordonné une enquête urgente après la révélation d’une augmentation de 4415 pour cent du nombre de filles orientées vers un traitement de « transition ».

Cependant, cette augmentation anormale de la confusion entre les sexes chez les jeunes enfants n’est pas un problème selon la Première ministre britannique Theresa May, qui s’est déclarée «déterminée à éradiquer l’intimidation homophobe et transphobe ».

« Nous avons élaboré des plans pour réformer la loi sur la reconnaissance du genre et pour simplifier et démédicaliser le processus de changement de genre, car être trans n’est pas une maladie et ne doit pas être traité comme tel », a-t-elle ajouté.

Chris McGovern, ancien conseiller du ministère de l’Education, a déclaré au Telegraph que c’est devenu une industrie : « Des gens font carrière en encourageant les enfants à remettre leur genre en question à un âge où on devrait surtout les laisser être des enfants. Quand les enseignants soulèvent ces questions, les enfants risquent d’être désorientés ou malheureux et traumatisés. »

Source : Voice of Europe

Traduction Cenator pour LesObservateurs.ch, 23.01 2019

lundi, 14 janvier 2019

Les GAFA détiennent 70000 données sur votre enfant

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2019

Par  le 13/01/2019

 

À l’âge de 13 ans, les parents auront posté en moyenne 1 300 photos et vidéos de leur enfant sur les médias sociaux. Et d’ici ses 18 ans, il y aura, sur la toile, 70 000 publications le concernant, estime un rapport de la commission britannique de protection de l’enfance. Des données personnelles qui sont trop peu protégées et qui pourraient lui nuire.

[…]

Selon un rapport de la Commission britannique à l’enfance, en moyenne, à l’âge de 13 ans, les parents ont posté 1 300 photos et vidéos de leur enfant sur les différents médias sociaux. Cela commence même avant sa naissance avec des photos d’échographie, l’annonce de la grossesse, etc.

« Les enfants publient 26 fois par jour sur les réseaux sociaux »

« La quantité d’informations explose lorsque les enfants eux-mêmes commencent à utiliser ces plateformes. En moyenne, les enfants publient 26 fois par jour sur les réseaux sociaux », écrivent les auteurs du rapport. D’ici ses 18 ans, il y aura 70 000 données à son sujet sur Internet, indiquent-ils.

[…]

Des risques pour l’enfant et son avenir

« Nous devons nous arrêter et réfléchir à ce que cela signifie pour la vie de nos enfants maintenant et à l’impact que cela pourrait avoir sur leur vie future en tant qu’adultes », prévient Anne Longfield, commissaire britannique à l’enfance. « Nous ne savons tout simplement pas quelles sont les conséquences de tout ce flot de données. À la lumière de cette incertitude, devrions-nous être heureux de continuer collecter et partager celles de nos enfants ? Je ne pense pas ».

[…]

Novethic via fdesouche

dimanche, 28 octobre 2018

Allemagne : Un migrant a tenté de tuer un enfant en le jetant sous un train. Depuis, le garçon traumatisé « crie » lorsqu’il aperçoit « des gens de couleur ».

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 20185

Par  le 27/10/2018 
 

Allemagne – Il a attrapé un enfant qu’il ne connaissant pas et qu’il a brusquement arraché à sa mère, puis s’est jeté avec lui sous un train qui arrivait en gare.

Depuis mardi, l’homme, un migrant indien qui vivait à Gelsenkirchen, est jugé pour tentative de meurtre et blessures corporelles dangereuses.

L’assaillant a sauté devant un train en marche avec un enfant dans les bras. Devant les yeux de la famille de la petite victime. L’homme s’est couché sur les rails, en tenant l’enfant.

Selon le ministère public, ce n’est que grâce à une coïncidence heureuse et à la rapidité d’action du conducteur que le garçon n’a subi que des blessures mineures à la tête. Si le train était allé un peu plus loin, le choc aurait été fatal.

L’Indien de 23 ans a tenté « insidieusement de tuer un être humain », déclare le bureau du procureur de la République.

Le père Christian V. (34 ans) a déclaré au tribunal : « Mon fils m’a confié plus tard que l’agresseur lui avait dit qu’il voulait l’emmener à la mort ». Après l’arrêt du train, le père a sauté sur les rails et a récupéré son fils.

Le tribunal de district examine le placement permanent de l’accusé, Jagdeep S., dans un service psychiatrique fermé.

Sandro, la victime âgée de 5 ans, souffre encore aujourd’hui de l’agression qu’il a subie. Son père déclaré : « Quand des gens s’approchent rapidement de lui ou ont la peau foncée, il crie, s’accroche à nous. On ne peut plus prendre le train. Il en a peur. »

Sa mère Daniela V. (24 ans) est toujours très choquée. En larmes, elle a dû interrompre son témoignage devant le tribunal et s’est évanouie dans le hall.

 

BILD via fdesouche

vendredi, 26 octobre 2018

Chronique des cinglés

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2018

 le

Chronique des cinglés

La cour d’appel de Montpellier devait rendre mercredi 24 octobre un arrêt sur un cas bien particulier. Mais elle a reporté sa décision au 14 novembre.

Premier délire, en 2011 : Bernard, époux de Marie et père de ses deux enfants, décide de devenir une femme, sans subir d’opération chirurgicale. Une transition acceptée aussi bien sur le plan familial que juridique. Le tribunal de Montpellier reconnaît « de façon irréversible son appartenance au sexe féminin, sans qu’aucune opération de réassignation sexuelle n’ait été ni exigée ni pratiquée. ».

Mais le délire se poursuit en 2014 : Marie donne naissance à leur troisième enfant, conçu avec Bernard devenu donc entre-temps Claire. Les deux parents veulent alors être reconnus comme mères de l’enfant. Et oui, refusant d’adopter son propre enfant, et ne pouvant pas être qualifié de père puisque le tribunal l’avait reconnu comme femme, Bernard-Claire décide de saisir le tribunal de grande instance de Montpellier. Le 22 juillet 2016, celui-ci refuse cette solution jugeant que « par l’acte de procréation masculine qu’elle revendique », Claire « a fait le choix de revenir de façon unilatérale sur le fait qu’elle est désormais reconnue comme une personne de sexe féminin, et doit en assumer les conséquences ». Les parents ont donc fait appel.

En droit, la filiation paternelle et maternelle ne s’établit pas de la même manière. La maternité est établie biologiquement : la mère est la femme qui porte l’enfant et qui le met au monde. La maternité se prouve donc “par la gestation et par l’accouchement”. Quant à la paternité, le mari de la mère qui accouche est présumé être le père de l’enfant. En cas d’union libre ou de Pacs, le lien paternel est établi par la reconnaissance de paternité, une démarche effectuée par le père, avant ou après la naissance.

Pierre Paliès, l’avocat de l’enfant (!), saisi par l’Union Départementale des Associations Familiales, estime que Bernard-Claire doit être reconnu comme le père de l’enfant.

«Nous sommes face à ceux femmes qui demandent à être les mères biologiques de cet enfant. Il est incontestable que ce couple est composé de deux femmes, et il n’est pas question de revenir là-dessus. Mais nous avons un deuxième constat : cet enfant est né des ovocytes de l’un des parents, et des spermatozoïdes de l’autre. Nous disons donc que Claire est le père de l’enfant. ça peut paraître choquant, mais c’est la seule position logique juridiquement. Cette paternité n’est pas contestable biologiquement. Ce qui est original, c’est que ce soit juridiquement une femme qui soit l’origine masculine de l’enfant.»

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 13 juin 2018

L’enfant et la justice

Publié par Guy Jovelin le 123 juin 2018

 

POSTÉ LE 12 JUIN , 2018, 2:07

enfant,justice,victimeBien que notre société soit réputée celle de l’enfant-roi, la justice considère souvent les enfants comme des êtres sans importance. Dans bien des procédures, ils sont considérés comme des objets, propriété de leurs parents qui se les arrachent dans un divorce ou les maltraitent impunément. Conçu mais non encore né (et bien que le droit précise que l’enfant conçu doit être considéré comme né chaque fois qu’il y va de son intérêt), la justice considère qu’il n’existe pas, qu’il n’est qu’un « tissu du corps d’une femme » qui en est l’entière propriétaire.

L’enfant-victime, lui non plus, n’existe pas pour la justice. Et c’est pourquoi, une fois de plus, un pédomane, libéré après une peine dérisoire, a récidivé et détruit l’innocence d’une petite fille. L’année 2018 n’en est pas à la moitié, et déjà une petite Angélique a été terrorisée et souillée, une petite Maëlys a été assassinée. Le violeur d’Angélique a bénéficié, de la part de la justice, de beaucoup plus d’attention que sa première victime. On a pris grand soin d’écarter de son dossier tout ce qui aurait dû le mener devant une cour d’assises. Que les chances de la petite victime de retrouver son innocence, son insouciance d’enfant sage, son sentiment de sécurité soient quasi nulles, n’a pas été pris en compte. Pour certains magistrats, la victime est toujours responsable de son malheur. C’est ainsi que par deux fois des tribunaux français ont jugé qu’une pénétration activement refusée par la jeune victime, âgée de 11 ans, ne pouvait être qualifiée de viol parce que l’enfant pouvait être présumée avoir été « consentante », voire avoir provoqué l’acte sexuel. Curieusement, l’opinion publique française semble indifférente à cette situation. Le fait que le violeur d’Angélique n’ait exécuté que la moitié de la peine prononcée pour son premier viol et soit sorti libre et sans aucun contrôle après moins de cinq ans d’incarcération, ne semble indigner personne. À moins que ceux qui tiennent à protéger l’innocence des enfants soient plus nombreux qu’on ne croit, mais n’aient guère accès aux médias.

 

Source : les4verites