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vendredi, 30 mars 2018

AUJOURD’HUI, VENDREDI SAINT

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

Il n’est pas inutile de rappeler que le Vendredi Saint est la commémoration religieuse célébrée par les chrétiens le vendredi précédant le dimanche de Pâques. Il marque le jour de la crucifixion et de la mort de Jésus-Christ.


Aujourd’hui, Vendredi Saint
 Aujourd’hui l’Eglise catholique latine et les Églises catholiques orientales qui suivent le calendrier grégorien commémorent la Passion du Christ.  

2000 ans plus tôt, le Christ est condamné à la Crucifixion sous Ponce Pilate.  

Humilié et épuisé par sa croix, Jésus entame son chemin de croix. Lourde, écrasante, la croix pèse sur tout son corps. Il ne cesse à aucun instant de croire en son Père « Je ne suis pas seul, puisque le Père est toujours avec moi » (Jean 16, 32).  

Malgré la pire des souffrances humaines, il reste fidèle à son Père. Chacun de nous est appelé à accueillir et à vivre des épreuves et des deuils. Mais nous ne sommes pas seuls à les porter. Jésus est avec nous.  

Jésus tombe plusieurs fois sous le poids du bois de la croix. Nous comprenons que Jésus prend sur lui nos fautes et nos péchés. Après avoir été dépouillé de ses vêtements, Jésus est cloué sur la croix.  

Vers la sixième heure (environ midi)¸le ciel s'assombrit et demeura obscur jusqu'à la neuvième heure (trois heures de l'après-midi). Jésus meurt sur la croix. 

Son corps est remis à Sa Mère, la Vierge Marie, et mis au tombeau. L’Eglise entre dans le grand silence du Samedi Saint.
 

France 2 dévoile un club de sport proche de salafistes à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

 
   
France 2 salle de sport lutte

Capture d'écran : L'œil du 20h

Une enquête de l’Œil du 20h, sur France 2, a révélé l’existence à Toulouse d’un club de lutte amateur, dont l’un des membres serait proche des milieux salafistes, et où s’effectueraient des recrutements djihadistes. Un courrier a été envoyé au Préfet de la Haute-Garonne par le maire de Toulouse.

Les services de l’État ont analysé le fait que les salafistes « ont stratégiquement ciblé les salles de sport pour leurs recrutements », après « le prosélytisme sur internet et au sein des associations culturelles ». Un fait devant lequel vient d’être confronté la Mairie de Toulouse après les révélations d’une enquête diffusée sur France 2.

C’est un reportage diffusé le mardi 27 Mars, dans le magazine d’enquête « L’Œil du 20h » qui a mis le feu aux poudres. Dans ce reportage, dont beaucoup d’images ont été tournées en caméra caché, on y découvre un club de lutte en plein cœur de la ville rose, touché par « l’intégrisme religieux ».

Un « intégrisme salafiste » qui s’exprime notamment avec le rapport aux femmes du club, leur fréquentation ayant chuté de 90 % entre 2014 et aujourd’hui. Les témoignages indiquent pour elles des obligations vestimentaires, comme le port de manches longues et de jogging, mais également l’interdiction de s’entraîner avec les hommes, comme l’atteste cet échange pris en caméra caché :

« – C’est la seule femme ici ?
– Oui. C’est la seule fille.
– Qui combat avec la fille pour qu’elle progresse ?
– Les petits, ceux pour qui ça ne pose pas de problème par rapport à la religion, parce qu’ils sont petits. Et après, ceux qui ne sont pas musulmans.
– Toi tu luttes avec elle ?
– Non. »

Lire aussi : Mendel : « Trèbes c’est l’échec de la loi antiterroriste »

Selon ActuToulouse, la mairie de Toulouse n’était pas au courant de la possible radicalisation d’un des membres de ce club de lutte. Pourtant, ce club était sous surveillance des services de renseignement. 

La réaction du Maire

Le lendemain de la diffusion de ce reportage, Jean-Luc Moudenc a envoyé un courrier au Préfet de la Haute-Garonne et de l’Occitanie, dans lequel il demande explicitement de fournir « toutes les informations sur ce club de lutte » ainsi que « la liste de toutes les associations sportives qui seraient sous la surveillance de l’État ». La Mairie de Toulouse a mis jusqu’à présent une salle à disposition de ce club au complexe sportif Léo Lagrange.

 

Source : infos-toulouse

Selon que vous serez islamiste ou chrétien, les jugements d’Europe vous rendront blanc ou noir

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018 

 
Kurz_Poutine
 
 

Selon que vous serez islamiste ou chrétien, les jugements d'Europe vous rendront blanc ou noir

Je reconnais que cette laborieuse paraphrase du grand Lafontaine n'est pas des plus heureuses mais la perspicacité du poète me semble assez adaptée à ce que nous vivons actuellement entre MM. Erdogan et Poutine.

Le premier est en pleine dérive dictatoriale, ayant embastillé le moindre soupçon d'ébauche de pensée hétérodoxe par suite d'un fort bienvenu coup d'Etat. Cet événement lui a permis de faire taire ses adversaires parmi lesquels nombre de journalistes et d'universitaires ont tout bonnement disparu au fond d'un cul-de-basse fosse dont ils ne sortiront peut-être pas vivants. Le sultan a aussi un peu envahi une partie du territoire syrien, là où prospérait une ébauche d'état kurde afin d'éviter que sa propre minorité ne nourrisse quelque velléité séparatiste. On se souvient que les victimes de l'agression turque étaient il y a encore quelques semaines les alliés des Occidentaux dans leur lutte contre Bachar el-Assad. Pourtant, aucune protestation contre le triste Erdogan, l'Europe baisse la tête. Plus fort encore, alors que le principal journal aux ordres du pouvoir turc caricature Angela Merkel en Hitler, l'Union européenne reçoit l'allumé du Bosphore pour débattre de la future adhésion de son pays. L'homme ne saurait admettre la moindre critique et veut être admis de suite et sans réserve. Il est vrai que Sultan Mourad contrôle plusieurs millions de migrants potentiels avec lesquels il menace d'envahir l'Europe en ouvrant les vannes. Cela fait réfléchir. De plus, il incarne un islam revendicateur et conquérant, il ne faudrait surtout pas voir dans une éventuelle réserve face au dictateur un soupçon d'islamophobie. Fort heureusement, il y a encore un pays qui voit jour et ose le faire savoir, l'Autriche. Tout comme le 12 septembre 1683, Vienne se défend contre la Sublime Porte, refusant toute négociation avec celui qui organise à l'occasion de foireux enlèvements d'opposants sur notre territoire. Respect à Sébastian Kurz.

Pour Vladimir Poutine, c'est tout différent. Il suffit qu'un agent double, en clair un traitre, soit empoisonné par un agent neurotoxique pour que presque toute l'Europe renvoie des diplomates russes à l'initiative d'une Grande-Bretagne généreuse en soupçons mais bien avare de preuves. L'argument principal tient dans le fait que l'Ours maitrise la technologie liée à ce genre de poison. Si d'aventure la démonstration devait tenir la route, il faudrait admettre que les autres puissances n'y connaissent rien dans le domaine des substances mortifères, chose difficile à croire. On lui reproche aussi son rôle en Crimée face à l'Ukraine. Il n'y avait pourtant pas besoin d'être grand clerc pour comprendre que la Russie ne se laisserait jamais déposséder de Sébastopol, port historique de la flotte russe de la Mer Noire, donnant sur la Méditerrané. Cette préoccupation stratégique explique également pourquoi Vladimir Poutine soutient Bachar el-Assad qui lui met à disposition son seul port disponible en Méditerranée. Vladimir protège donc Bachar, celui que l'Europe veut chasser du pouvoir. C'est mal. On lui impose des sanctions, on les durcit encore et encore, et encore plus avec l'affaire Skripal, du nom de l'espion empoisonné. Il est vrai que la Russie fait de son mieux pour irriter l'Union européenne, se posant en bastion chrétien face à l'islamisme triomphant. Depuis que la Fille ainée de l'Eglise est devenue la putain de l'islam, on ne trouve plus guère de pays d'importance sur notre continent prêts à défendre nos valeurs. Fort heureusement, il y a encore un pays qui voit jour et ose le faire savoir, l'Autriche. Son Chancelier a refusé d'expulser des diplomates russes malgré les pressions londoniennes.

Respect à Sebastian Kurz.

Yvan Perrin, 29.3.2018

 

Source : lesobservateurs

Les Algériens ayant commis des crimes en France ou dans d’autres pays étrangers ne seront pas extradés

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

Par  le 29/03/2018

 

Le ministre de la Justice et garde des Sceaux, Tayeb Louh, annonce la préparation d’une convention concernant l’extradition des criminels et une autre relative aux domaines civil et commercial.

L’Algérie n’extrade pas les nationaux.» Ce rappel est du ministre de la Justice et garde des Sceaux, Tayeb Louh. Hier, lors d’une conférence de presse animée à l’issue de l’adoption des deux projets de loi portant code de procédure pénale et traitement des données personnelles à l’Assemblée, le ministre a qualifié d’«excellente» la coopération judiciaire entre l’Algérie et la France, soulignant que les magistrats français répondent positivement aux requêtes de la justice algérienne. «Idem pour l’Algérie», affirme-t-il, précisant que «les échanges d’informations se font dans le cadre du respect de la Constitution et des lois algériennes et internationales».

A la faveur de ces principes, la loi algérienne, rappelle le ministre, interdit catégoriquement l’extradition de tout Algérien ayant commis, ou étant poursuivi pour un crime à l’étranger.
Il annonce, dans ce sens, la préparation d’une convention concernant l’extradition des criminels et une autre relative aux domaines civil et commercial.

«Trois conventions sont actuellement en étude avec de nombreux Etats, dont la France. Elles concernent les domaines pénal, commercial et civil, ainsi qu’une autre relative à l’extradition. L’Algérie a conclu un accord judiciaire dans le domaine pénal avec la France depuis 1963», note le ministre.

Pour M. Louh, ces deux projets de loi s’inscrivent dans la continuité de la coopération judiciaire bilatérale, ayant abouti à la signature, il y a quelques mois, d’une convention dans le domaine pénal, adoptée récemment par les deux parties, suivant leurs propres procédures.

Parmi les clauses contenues dans cette convention il y a, cite le ministre, l’échange de données entre les autorités judiciaires lorsqu’une affaire est suivie localement par la justice algérienne ou par la justice française, et en cas d’appels judiciaires émanant de la justice algérienne devant être exécutés en France.

Il a, toutefois, précisé que ce ne sont pas toutes les données qui peuvent être transmises dans le cadre de la coopération judiciaire. «Quand un Algérien est poursuivi dans une affaire criminelle dangereuse, telle que le terrorisme, et qu’il est réclamé par une justice étrangère, la loi algérienne est très claire sur ce sujet. Elle ne permet pas l’extradition d’une personne détenant la nationalité algérienne.

Qu’une affaire soit ouverte à son sujet ou non. Son dossier doit être transféré pour le juger conformément à la réglementation algérienne», a détaillé M. Louh. Le ministre reste convaincu que le terrorisme et le crime organisé doivent être combattus dans le cadre de la coopération et des échanges d’informations tant au niveau régional qu’international. Toujours dans le domaine du terrorisme, le ministre indique que son département prépare un projet de loi relatif à la lutte contre «le crime électronique ou la cybercriminalité».  (..)

 

Et si on repensait au bagne de Guyane ?

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

bagne de guyane,fichés s,radicalisésLa tuerie de Trèbes, survenant après de multiples attentats islamistes, n’est que la suite logique dû au laxisme entretenu par tous les gouvernements depuis Giscard d’Estaing. L’islamisme a tué, l’islamisme tue, l’islamisme tuera. Et lorsque l’on se rappelle les terribles paroles de Fehrat Mehenni, président du Gouvernement Kabyle en exil, on peut se demander combien de fois nos présidents s’inclineront sur les cercueils de nos martyrs. « L’islamisme, c’est l’islam en mouvement. L’islam, c’est l’islamisme au repos ! ».

Le beau et émouvant discours d’Emmanuel Macron dans la cour des Invalides, devant le cercueil de cet héroïque colonel de la gendarmerie n’est, pour l’instant qu’un discours. Même si les éditorialistes de Bvoltaire l’ont applaudi ce ne sont que de belles paroles. Avec un oubli majeur, cependant : celui d’avoir évité de parler de sa Foi en Jésus-Christ, sans doute l’une des raisons de son sacrifice si l’on en croit son épouse.

Que dire aussi de ce ministre de l’Éducation Nationale encensé dans ces colonnes à de multiples reprises et qui n’aura pas eu le courage d’exiger, lors de cet hommage national, une minute de silence de la part de ses élèves. M. Blanquer aurait-il eu peur de déclencher dans certaines classes des appels au djihad comme le rappelait ici même Christine Célérié ?

Alors, nous devons poser la question à M. Macron. Que compte-il faire des quelque 20 000 radicalisés qui vivent sur notre territoire parmi lesquels, on compterait 4 000 fichés S dont il sait qu’ils peuvent intervenir, voiture, couteau, ou arme à feu à la main, à tout instant pour assassiner du fransaoui mécréant !

Dans La Dépêche du Midi, Frédéric Abela n’hésite pas à faire un dramatique calcul : « Sachant qu’il faudrait 20 fonctionnaires pour surveiller 24h/24 un fiché S jugé dangereux, l’équation vire au casse-tête infernal à l’échelle de l’Hexagone. Le nom de ces individus alimente le fameux fichier de signalement pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Cet outil créé en 2015 sert de baromètre. 20 000 radicalisés en France sont inscrits sur ce fichier dont 4 000 considérés comme étant sur le haut du spectre ».

Il est évident que si l’état de droit interdit de prendre les mesures nécessaires, nous sommes perdus.

Et puis ce chiffre de 20 000 fichés S n’inclut pas tous ceux qui considèrent la charia comme devant être au dessus de nos lois. Un sondage datant de 2016 nous lance un cri d’alarme : 29% des musulmans de France pensent que la charia doit régler la vie de la République Française ! Sans être islamophobe, mais simplement réaliste, on peut et on doit se demander combien de jeunes, parmi ces 29%, sont prêts à passer à l’acte, sans avoir été au préalable fichés S.

Alors, plutôt que de construire 1 500 places de prison destinés aux prisonniers les plus radicalisés qui, eux, tant qu’ils sont derrière des barreaux, ne risquent pas de nous terroriser, construisons un camp derrière des barbelés au cœur de la forêt guyanaise, pour y enfermer ceux que la police a identifié comme potentiellement dangereux. A titre de précaution. Comme l’ont fait les Américains avec les Japonais vivant aux États-Unis au moment où le Japon est entré en guerre. Il y aura, bien sûr, des innocents, mais au moins, aurons-nous limité le risque d’attentats à répétition. Et dans un tout premier temps, ne laissons surtout pas entrer ceux qui ont choisi de combattre aux côtes des barbares de Daech comme l’a suggéré bêtement, et criminellement, le pauvre Castaner.

 

Nous sommes en guerre, et les dommages collatéraux font partie d’un état de guerre.

Floris de Bonneville

 

Source : ndf