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mercredi, 13 juin 2018

LES AFRICAINS RACISTES ANTI-BLANCS DE LA LDNA S'EN PRENNENT À LA STATUE DE JEANNE D'ARC

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Mardi 12 juin, les extrémistes africains anti-Blancs de la Ligue de Défense Noire Africaine (LDNA) ont profané la statue de la Sainte de la Patrie, place des Pyramides à Paris, pour protester contre l'esclavage en Libye. Leur grotesque leader analphabète aboyant des revendications sans queue ni tête comme à son habitude (voir la vidéo).


Les Africains racistes anti-Blancs de la LDNA s'en prennent à la statue de Jeanne d'Arc

 (voir la vidéo). 

Ces individus multiplient les provocations anti-françaises ces dernières semaines, sans que les autorités en place ne bougent un sourcil. À croire qu'il s'agit d'une opération visant à provoquer une légitime réaction musclée de la part de patriotes qui en ont assez de voir leurs symboles traînés dans la boue par des individus qui devraient être expulsés au Wakanda par le premier charter venu. 


source : Thomas Joly.fr 

La France doit résister au diktat américain !

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2018

POSTÉ LE 12 JUIN , 2018, 2:34

américain,diktat,francepays par crainte des sanctions américaines décidées par Donald Trump.

Après Total, c’est au tour de Peugeot dont les intérêts en Iran sont très importants.

C’est, au demeurant, la deuxième fois que Peugeot se retire d’Iran sous la pression américaine – la première fois, ce fut en 2012, lorsque General Motors entra dans son capital et exigea que la société française cesse ses activités dans ce pays.

Ces retraits interpellent.

Les prétentions américaines de menacer les sociétés françaises et européennes de sanctions par le biais de l’application extraterritoriale des lois américaines sont inacceptables au regard du droit international, sauf à admettre que le droit international se réduit au droit du plus fort.

La question des relations avec Donald Trump est bien d’abord une question de rapport de force. À ce titre, il est étonnant de constater combien la lâcheté semble la qualité la plus partagée en France et en Europe parmi les gouvernants, plus atlantistes les uns que les autres – mais aussi parmi nos concitoyens « quadras » œuvrant dans la finance qui, pour leurs choix de vie, n’ont d’yeux que pour l’Amérique.

Ils n’oublient qu’une chose : le rapport de force, ça se crée !

La France, tout comme les autres États européens, a les moyens de prendre des contre-mesures à l’égard des intérêts américains, mais il lui manque une chose : la volonté politique.

Tout est dit, en effet, dans l’appel téléphonique du 4 juin entre Donald Trump et Emmanuel Macron – tel qu’il a été rapporté par CNN et repris par les médias français. Le Président français, qui prétend avoir des relations spéciales avec le Président américain, se serait, en effet, fait vertement sermonner par Trump.

Il est évident que ce comportement est inacceptable, mais cela démontre aussi l’amateurisme d’Emmanuel Macron.

C’est d’abord une sérieuse erreur d’analyse sur le Président américain dont la brutalité est plus que légendaire. Ne pas en tenir compte est surprenant.

Mais c’est surtout une faute tactique impardonnable. Avant d’appeler Trump, ou mieux de reprendre son attache par des canaux diplomatiques pour bien marquer que l’on n’est pas entre copains mais dans des relations d’État à État, il eût été impératif de prendre au préalable des contre-mesures pour rappeler aux Américains que le monde n’est plus une pâle copie de leurs intérêts.

La réciprocité est le début de la sagesse, Donald Trump doit l’apprendre !

 

Source : les4verites

L’enfant et la justice

Publié par Guy Jovelin le 123 juin 2018

 

POSTÉ LE 12 JUIN , 2018, 2:07

enfant,justice,victimeBien que notre société soit réputée celle de l’enfant-roi, la justice considère souvent les enfants comme des êtres sans importance. Dans bien des procédures, ils sont considérés comme des objets, propriété de leurs parents qui se les arrachent dans un divorce ou les maltraitent impunément. Conçu mais non encore né (et bien que le droit précise que l’enfant conçu doit être considéré comme né chaque fois qu’il y va de son intérêt), la justice considère qu’il n’existe pas, qu’il n’est qu’un « tissu du corps d’une femme » qui en est l’entière propriétaire.

L’enfant-victime, lui non plus, n’existe pas pour la justice. Et c’est pourquoi, une fois de plus, un pédomane, libéré après une peine dérisoire, a récidivé et détruit l’innocence d’une petite fille. L’année 2018 n’en est pas à la moitié, et déjà une petite Angélique a été terrorisée et souillée, une petite Maëlys a été assassinée. Le violeur d’Angélique a bénéficié, de la part de la justice, de beaucoup plus d’attention que sa première victime. On a pris grand soin d’écarter de son dossier tout ce qui aurait dû le mener devant une cour d’assises. Que les chances de la petite victime de retrouver son innocence, son insouciance d’enfant sage, son sentiment de sécurité soient quasi nulles, n’a pas été pris en compte. Pour certains magistrats, la victime est toujours responsable de son malheur. C’est ainsi que par deux fois des tribunaux français ont jugé qu’une pénétration activement refusée par la jeune victime, âgée de 11 ans, ne pouvait être qualifiée de viol parce que l’enfant pouvait être présumée avoir été « consentante », voire avoir provoqué l’acte sexuel. Curieusement, l’opinion publique française semble indifférente à cette situation. Le fait que le violeur d’Angélique n’ait exécuté que la moitié de la peine prononcée pour son premier viol et soit sorti libre et sans aucun contrôle après moins de cinq ans d’incarcération, ne semble indigner personne. À moins que ceux qui tiennent à protéger l’innocence des enfants soient plus nombreux qu’on ne croit, mais n’aient guère accès aux médias.

 

Source : les4verites

Vers la légalisation de la drogue

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Auteur Rouxel Jean

drogue,esther benbassa,légalisationComme chacun sait, la situation de la France est tellement mirobolante que nous pouvons sans difficulté majeure l’aggraver encore un peu.

Eh bien, rassurez-vous, bonnes gens, nos excellents parlementaires y pensent pour nous !

Figurez-vous qu’une dénommée Esther Benbassa, sénatrice écologiste et d’ultra-gauche de son état, organisait lundi un colloque au sénat pour réclamer la dépénalisation du cannabis.

Le titre de ce colloque était faussement interrogatif : « Légalisation du cannabis : l’Europe est-elle condamnée à l’impasse ? » Comme si le sujet du cannabis avait quoi que ce soit à voir avec l’Europe. Comme si empêcher des jeunes de se détruire était une « impasse » !

Comme toujours avec le rouleau compresseur gauchiste, la revendication politique était appuyée par un sondage.

De façon tout à fait symptomatique, si vous alliez lundi sur le site d’Ipsos pour télécharger l’étude sur le cannabis, vous ne tombiez pas sur ce sondage, mais sur ce titre : « Les conducteurs européens conscients que l’inattention tue, mais incapables de renoncer aux distracteurs au volant. »

Le gouvernement va nous enquiquiner bientôt avec la limitation de la vitesse à 80 km/h, sans aucun profit pour la sécurité routière. Mais il pourrait légaliser le cannabis !

Cependant, l’étude elle-même vaut son pesant de cacahouètes. Alors que tous les médias ne bruissaient que de l’écrasante majorité des Français favorables à la légalisation du cannabis, le chiffre donné par Ipsos est de 50 % !

Mais le plus amusant, si j’ose dire, ce sont les motivations. Selon ce sondage (qui, d’ailleurs, mélangeait tout, en évoquant aussi le cannabis thérapeutique, déjà partiellement autorisé), 52 % des Français estiment que la vente de cannabis sous contrôle de l’État serait efficace pour lutter contre les trafics.

La meilleure preuve que cet argument ne tient pas la route est le cas des Pays-Bas, où les drogues prétendument douces sont tolérées (mais d’ailleurs non légalisées).

Eh bien, une bonne part de l’héroïne consommée en Europe est produite aux Pays-Bas. Tout simplement, parce que les drogues « douces » peuvent être un pas vers les « dures ».

Bien loin de l’image « récréative » du cannabis complaisamment colportée par les médias, Mme Benbassa se fait donc la complice des mafias. Elle se fait la complice des destructeurs de notre jeunesse. Elle se fait aussi la complice des nouvelles atteintes aux libertés publiques que la consommation du cannabis entraînera. Les libertaires sont décidément les pires ennemis des vraies libertés.

 

Source : les4verites

La Rupture ?

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 20189

 

On sait pas si le monde passe par une phase de turbulences très passagère ou s’il est en train de connaître une véritable rupture. On ne sait pas davantage où conduira cette seconde hypothèse, si elle se vérifie. Ce dont on est sûr c’est que l’endormissement de l’Occident dans le consensus mou de ses dirigeants, approuvés par la foule des commentateurs adeptes du politiquement correct, est en train de s’achever. Aux Etats-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question. L’isolationnisme volontiers provocateur de Donald Trump a brisé l’idée que l’option unique du mondialisme économique et climatique était incontournable. Macron et Trudeau, les représentants de cette désespérante politique de la passivité devant les risques les plus grands, ceux que court notre civilisation, bien plus en danger que la terre, seront sortis décrédibilisés du fiasco du G7 canadien. Le second n’a pas surpris tant le ridicule lui colle à la peau, surtout depuis son grotesque déplacement en Inde. Il personnifie « l’autrisme » béat. Le premier se trouve à la tête du pays le plus menacé d’Europe par le remplacement de population et aussi celui qui connait le déclin économique le plus manifeste. Les Français, de plus en plus nombreux à percevoir le danger ont cependant élu l’homme qui correspondait le moins au besoin du pays. Ces deux dirigeants sont de pâles copies d’Obama, le champion des médias occidentaux qui adulaient son style et son apparence sans mesurer les conséquences de son absence de politique forte et courageuse , notamment à l’égard du monde musulman. Dans l’ensemble, les européens suivaient et quelquefois précédaient une stratégie tournée contre la Russie et incapable de désigner l’ennemi islamiste par son nom. Leur mauvaise conscience leur interdisait de défendre leur identité, leur souveraineté, et à terme de préserver leur existence. C’est fini… L’Italie, après la Hongrie, la Pologne et l’Autriche ont allumé la flamme de la résistance.

Quels que soient les doutes sur la personnalité du Président américain, on doit le remercier de casser les codes de bonne conduite qui faisaient de la politique internationale un ballet de déplacements et de rencontres entre amis pétris de bons sentiments, mais dénués de volonté, et incapables de changer les choses. Lorsque le vilain petit canard est un mastodonte, on évite de lui faire la leçon… « Six contre un » avait dit Macron, toujours furieux que ses cajoleries n’aient eu aucun effet sur « le Donald ». En un tweet, ce dernier a anéanti l’objet même du G7. Non seulement, il maintient sa politique protectionniste de « l’Amérique d’abord », mais il a divisé les six notamment en proposant contre toute attente le retour de la Russie que souhaite le nouveau gouvernement italien. Le Japon est trop imbriqué dans la politique américaine en extrême-orient pour déplaire à Washington au moment où la situation en Corée peut changer considérablement. Quant à l’Allemagne, il est probable que son pragmatisme habituel la conduira à traiter directement avec les Etats-Unis. C’est en cela que le changement est le plus manifeste. Désormais, la politique internationale des « Occidentaux » n’est plus guidée par une unanimité creuse pour satisfaire les groupes de pressions en faveur des minorités dans un monde sans frontières. Lorsque Donald Trump agit, c’est toujours avec l’intention de répondre aux exigences de ceux qui l’ont élu. Et les autre dirigeants vont devoir l’imiter.

Il y a chez le Président américain un art consommé de surprendre, et de jouer finement, tout en se faisant passer pour un fou. Cela lui permet d’être imprévisible tout en manifestant dans le fond la plus grande cohérence. En rencontrant Kim-Jong-Un, qu’il avait insulté sans retenue, Donald Trump fait preuve de souplesse et de pragmatisme. Il n’y a plus l’axe du mal et ses Etats-voyous, il y a des Etats avec lesquels on peut toujours discuter sans perdre de vue l’essentiel rapport de forces. La Corée du Nord, qui a un besoin vital d’échapper aux sanctions accepte la dénucléarisation, mais sans la qualifier de vérifiable ni d’irréversible. Les USA acceptent d’offrir des garanties de sécurité à Pyong-Yang, mais sans lever les sanctions, ni retirer les troupes. C’est donc le commencement d’un processus dont l’homme de la Maison Blanche tire le plus grand profit dans l’immédiat, sans hypothéquer l’avenir.

Trump veut bâtir un mur pour bloquer l’immigration en provenance du sud. L’Italie vient d’interdire ses ports aux migrants du sud de la Méditerranée. C’est la volonté du nouveau gouvernement italien. Ce dernier fait face aux critiques de la gauche, désormais le parti de l’étranger plus que la voix des couches populaires. L’Espagne, à nouveau socialiste, pour son malheur, veut accueillir les migrants. Les « nationalistes » corses se proposent aussi. Il faut les remercier d’avouer ainsi quel est leur camp. Enfin, SOS Méditerranée qui affrète l’Aquarius avec ses 600 migrants illégaux proteste. Il faut féliciter le gouvernement italien qui souligne ainsi l’hypocrisie de la « vague migratoire » et met en lumière ses complices. Les « ONG » immigrationnistes veulent le remplacement des populations et l’effondrement de l’Europe. Ce sont des « sauveteurs » parfaitement intégrés dans une chaîne migratoire dont le « sauvetage » est un maillon normal, avec les passeurs et leurs bateaux pourris en amont.. Les demandeurs d’asile qui veulent avant tout du travail et des aides sociales dans nos pays de Cocagne ne fuient pas la persécution politique, mais la pauvreté ou les combats. Ils pourraient parfaitement tenter de réduire la première ou de mettre fin aux seconds, en restant chez eux. On peut accueillir un opposant politique menacé de mort, non une foule d’individus qui cherchent seulement à vivre mieux chez les autres sans faire le moindre effort pour que ce soit chez eux.

L’Europe se réveille enfin !

 

Source : ndf