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mercredi, 19 décembre 2018

La fermeté envers l’immigration plébiscitée en France comme en Occitanie

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2018

Un sondage BVA pour la presse régionale porte à 67% de Français mécontent de la politique migratoire menée par la France et l’Union européenne. En Occitanie, 53% des sondés demandent plus de fermeté. 

La politique migratoire ne satisfait plus les Français. Selon un sondage BVA pour la presse régionale, réalisé entre 26 novembre et le 6 décembre 2018, sept français sur dix jugent négative l’action menée par la France ou l’Union européenne en matière d’immigration. Ils sont 67% à avoir une opinion négative, 21% positive contre 12% ne souhaitant pas se prononcer.

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Parmi les insatisfaits, 6 français sur 10 (59%) demandent plus de fermeté concernant l’accueil des migrants de la part de l’Union européenne. Seulement 21% demandent plus « d’humanisme ». 63% des Français interrogés pensent d’ailleurs que la France accueille trop de migrants. Ce sentiment est même plus diffus encore chez les employés et ouvriers (69%), les membres des classes populaires (68%) et les habitants de villes périurbaines (67%)

En Occitanie, 53% de la population demandent plus de fermeté

Dans le détail des régions, les régions du Grand-Est (66%) et des Hauts-de-France (65%) sont parmi celles qui demandent le plus de fermeté dans la politique migratoire menée par la France. Le podium est complété par la Normandie (63%), suivie des Pays de la Loire, la Bourgogne-Franche-Comté (61%), la Provence-Alpes-Côte d’Azur et le Centre (60%). La Bretagne et Rhône-Alpes-Auvergne s’approchent de la barre des 6 français sur 10 avec 58%, l’Aquitaine (56%), l’Île de France (55%) sont en queue de peloton.

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L’Occitanie quant à elle se place en dernière position, même si une majorité d’habitants (53%) aimeraient voir une politique migratoire moins accueillante. Ils sont d’ailleurs 58% dans la région à penser que la France accueille trop de migrants, contre 63% sur le plan national.

Signe d’une évolution des opinions sur la question, seuls 52 % des Français répondent que la France doit accueillir les réfugiés qui lui demandent l’asile parce qu’ils sont persécutés dans leur pays, soit treize points de moins qu’en janvier 2018. Sur cet indicateur, les opinions sont notamment au plus bas auprès des habitants de communes rurales (48%) ou périurbaines (47%).

Ce sondage intervient dans une période de crispation autour de ce sujet. Si le Gouvernement a refusé d’intégrer le thème de l’immigration dans le grand débat nationaldéclenché par les Gilets jaunes, il est surtout allé à l’encontre de l’opinion publique en signant le Pacte de Marrakech, le 10 décembre dernier et plus discrètement le pacte mondial des Nations unis sur les réfugiés, le 17 décembre. Une énième illustration du décalage entre les hautes sphères dirigeantes et son peuple.

Étienne Lafage.

 

Source : infos-toulouse

Les sites de rencontres sont-ils propices au « racisme » ?

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2018 

Par  le 19/12/2018

 

De plus en plus de voix s’élèvent contre des commentaires ou des critères racistes sur les applications de rencontres en ligne. Sans que les choses n’avancent beaucoup ….

« Je ne veux pas d’une Asiatique, désolé », répond-on souvent à Lucie, jeune femme d’origine vietnamienne, sur Tinder. Une attitude qu’on pourrait aisément qualifier de raciste dans la vraie vie, mais qui semble passer tout naturellement sur les applications de rencontres. D’après une étude de l’Ifop publiée ce mardi, les Parisiennes expriment leur refus de s’unir avec des hommes originaires d’Afrique sub-saharienne (62 %) ou du Maghreb/Moyen-Orient (57%).

Ce phénomène n’est pas nouveau et a déjà été mis en lumière par The Independent dans une longue enquête sur le sujet, recensant le racisme banalisé sur ces applications. Le compte Twitter Grindr Racism, aujourd’hui inactif, a également pendant longtemps relayé les propos racistes sur cette application de rencontres LGBT. En voici quelques-unes pour se faire une idée :

Grindr Racism@GrindrRacism
This profile needs to be removed for racism @Tinder @TindrProbs
 

Mais comment expliquer une telle impunité concernant des propos discriminants ? Fred Pailler, sociologue travaillant sur les usages sexuels d’Internet et des technologies numériques, explique l’excuse avancée par de nombreux utilisateurs : « Ils se défendent en invoquant leur goût sexuel et des préférences. Ils s’appuient sur une limite complexe et floue de ce que seraient le désir sexuel et la séduction. » Des justifications qui ne parviennent pas à convaincre Lucie : « On pourra me dire ce qu’on veut, exclure une catégorie de personne en raison de sa couleur, c’est du racisme. »

Et son cas est loin d’être isolé. En 2011, une étude australienne montrait que 64 % des hommes blancs gays et bisexuels interrogés considéraient qu’il est acceptable d’indiquer des préférences raciales sur des sites de rencontres. Ce que beaucoup de plateformes ne se privent pas d’autoriser.

Trois ans plus tard, Christian Rudder, cofondateur l’un des plus gros sites de rencontres au monde, OkCupid, publie un essai Dataclysm : Who We Are, regroupant comme son nom l’indique les données datas de ce site. Sur son application, les hommes peuvent noter leurs matchs potentiels entre une et cinq étoiles. Et les chiffres ne mentent pas : les femmes noires sont jugées 19 % moins attirantes que la moyenne, tandis que les femmes blanches sont jugées 7,5 % plus attirantes.

On vous voit venir avec les « c’est normal, chaque groupe ethnique privilégie son propre groupe, halala ces bobos de journalistes je vous jure ». Sauf que non : les hommes noirs jugent ainsi sur OkCupid les femmes noires moins attirantes que la moyenne des femmes. Une notation qui se retrouve assez peu dans les faits, comme l’expliquait Christian Rudder : « Au Royaume-Uni, les personnes noires qui utilisent OkCupid ont un taux de réponse d’à peine 1,1 % plus faible que celui des utilisateurs blancs. » Donc finalement un jugement discriminant qui ne se répertorie pas forcément en dehors de l’application. D’ailleurs 84 % des utilisateurs de celle-ci indiquent qu’ils ne pourraient pas sortir avec une personne ayant tenu des propos xénophobes. […]

Les plateformes essaient timidement de s’améliorer. Grindr notamment propose depuis quelques mois un programme KINDR censé éduquer ses usagers aux questions de discrimination raciale. Des utilisateurs de toute plateforme demandent aux autres de ne pas afficher clairement leur préférence ethnique sur leur profil et leur propos, et de laisser l’outil de sélection s’en charger, histoire de ne pas le subir. […]

20minutes via fdesouche

Après le Pacte Mondial sur les migrations, voici le Pacte Mondial sur les réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2018 

Son adoption à l’ONU le 17 décembre dernier est quasiment passé inaperçue. Pourtant le Pacte Mondial sur les réfugiés est un autre cheval de Troie de la mondialisation : parmi les mesures édictées, il prévoit en effet le transfert des réfugiés en des pays pauvres vers les pays plus riches, c’est-à-dire l’Europe et les États-Unis.

L’Assemblée générale de l’ONU a donc adopté lundi à une très grande majorité, mais sans les États-Unis et la Hongrie, ce Pacte mondial sur les réfugiés visant à améliorer leur gestion internationale et à permettre “de renforcer l’assistance et la protection des 25 millions de réfugiés recensés dans le monde”.

Ce texte a quatre objectifs principaux : alléger les pressions exercées sur les pays d’accueil, accroître l’autonomie des réfugiés, élargir l’accès à des solutions faisant appel à des pays tiers et aider à créer dans les pays d’origine les conditions nécessaires au retour des réfugiés dans la sécurité et la dignité. Contrairement au document sur les migrants, les États-Unis ont participé aux négociations sur celui sur les réfugiés qui ont duré dix-huit mois.

Comme pour le Pacte Mondial sur les migrations, celui sur les réfugiés découle d’une Déclaration de New York, fortement voulue par le président des États-Unis de l’époque, Barack Obama. Votée le 19 septembre 2016 par les 193 membres de l’ONU, cette déclaration visait à améliorer leur aptitude à « avoir une attitude plus humaine et coordonnée envers les réfugiés et les migrants » dans le but de « sauver des vies, protéger des droits et partager la responsabilité au niveau mondial ». Depuis lors, les pays représentés à l’ONU se sont engagés à créer « une structure mondiale pour que l’émigration, comme les autre phénomènes internationaux, soit guidée par un système commun de principes et d’approches », l’aboutissement de ces réflexions étant donc le Pacte Mondial sur les migrations ; et à formuler un Pacte mondial sur les réfugiés pour consentir à arriver à « une répartition plus équitable du fardeau et de la responsabilité d’accueillir et de soutenir les réfugiés », 85 % de ces réfugiés vivant dans des pays pauvres. Pourtant depuis 1951 le statut et les droits des réfugiés sont bien réglés par la Convention internationale de Genève. Le but de la manœuvre paraît bien être la répartition des réfugiés dans les pays occidentaux.

Car ce que l’ONU et l’Unhcr (le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés), les artisans de ce nouveau pacte, semblent ignorer, peut-être occultent savamment, c’est la provenance des fonds grâce auxquels il est possible d’aider ces 20 millions de réfugiéseffectivement concentrés en des pays pauvres non parce que ces derniers sont plus généreux et charitables mais parce qu’ils sont frontaliers des États en crise. 86% des fonds dont disposent l’Unhcr, la majorité des agences onusiennes et de tant d’Ong, proviennent des États-Unis, de l’Union Européenne et d’États européens.

Ainsi ce Pacte Mondial sur les réfugiés entend alléger la pression sur les pays hôtes en augmentant les contributions financières qui leur sont allouées mais aussi et surtout en promouvant le transfert des réfugiés vers d’autres États sur laquelle la pression est mineure, entendons par là ceux européens et du nord de l’Amérique.

Tandis que le Pacte Mondial sur les Migrations affirme le droit absolu à émigrer, le Pacte Mondial sur les réfugiés, en falsifiant les faits, essaye de faire peser sur l’Occident la charge physique des réfugiés. Ces deux pactes sont les deux pinces de la tenaille du mondialisme qui s’efforce de pulvériser les nations, d’anéantir les identités et de détruire ce qui reste de la grande civilisation millénaire chrétienne et européenne.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Gilets jaunes : les policiers rejoignent la grogne

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2018

Rédigé par notre équipe le 18 décembre 2018

Les gilets jaunes sont du passé. Le Gouvernement a géré d’une main de maître « la peste brune » et la paix sociale est revenue. Depuis trois jours, la Macronie s’envoie des fleurs et les Français sont invités à ranger le mouvement des gilets jaunes dans le musée des bizarreries. Fin de la partie, Macron peut souffler et… ah mais non, l’autosatisfaction devra encore attendre un peu, car ce sont les policiers qui font désormais part de leur colère. Servir de sac de frappe aux casseurs et de cibles aux délinquants et terroristes n’est pas leur vocation surtout quand ils ne sont pas payés comme il se doit…

Si Emmanuel Macron se pavane encore au Palais de l’Elysée, c’est parce que les forces de l’ordre ont empêché la foule d’aller « le chercher ». Macron joue à celui qui n’a peur de rien ni de personne devant les députés de son parti, mais c’est uniquement car il se sait protégé par la police. Mais la police n’est pas contente et le fait désormais savoir haut et fort. Après le troisième samedi de mobilisation des gilets jaunes où les policiers n’avaient pas pu protéger grand-chose à part l’Elysée à cause du brillant ministre Castaner, la grogne a commencé à se faire entendre dans les rangs…

Bientôt plus de policiers pour garder la Macronie ?

La grogne s’exprime aujourd’hui directement maintenant que le plus fort de la vague semble être passée selon les prévisions pas souvent justes de l’exécutif. Les fonctionnaires de police et de gendarmerie en ont assez d’être utilisés comme de vulgaires pions dans l’impossibilité de voir leur famille pour sauver une Macronie aux abois. En plus de risquer leur vie pour des gens qui les méprisent, ils ne sont pas nourris, équipés et même payés ! Les témoignages abondent désormais de CRS et autres gardiens de la paix obligés de se payer une partie de leur équipement avec leurs deniers personnels. Cela ressemble étrangement à ce qui reste de l’armée française où certains soldats se payent des chaussures et un gilet par balle dignes de ce nom.

La situation a de quoi faire monter la colère d’autant plus que les heures supplémentaires ne sont pas payées. L’Etat doit la bagatelle de 27 millions d’heures supplémentaires. Le scandale est immense, mais vu que c’est l’Etat qui est coupable, le Gouvernement ne monte pas au créneau… Pas un mot de Marlène Schiappa, la grande défenseuse des droits et de tout ce qui ne la regarde pas ! Esseulés, les policiers ont lancé plusieurs mouvements de protestation à l’image d’une journée noire prévue ce mercredi où bien des commissariats risquent de fermer. Une journée tranquille pour tous les délinquants ? Rassurez-vous, c’est toujours sans pression pour eux avec une justice française abonnée au laxisme le plus virulent.

Le Gouvernement a compris plus rapidement le danger d’un lâchage logique des forces de l’ordre et commence sa danse du ventre en proposant 300 euros de prime aux fonctionnaires impliqués dans le maintien de l’ordre face aux gilets jaunes. 300 euros par journée de mobilisation ou pour un mois à complet ? La réponse ne fait aucun doute. Les syndicats des forces de l’ordre sont actuellement en grande discussion avec leur pseudo ministre. S’ils ne sont pas trop crevés par des horaires démentiels, ils auront compris qu’ils sont en situation de force et que les miettes de prime ne sont pas assez pour les ramener sagement à la caserne avant la prochaine grande mobilisation. Ils auront aussi compris que les promesses du Gouvernement n’engagent que ceux qui les reçoivent…

La police pourrait changer l’équation et faire disparaître l’illusionniste en chef de manière plus rapide encore. Pour cela il suffit de laisser les Français venir le chercher. Une option qui fait trembler (à juste titre) celui qui n’a plus Benalla pour le protéger.

 

Source : 24heuresactu

Maroc : 2 touristes décapitées

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

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Maren Ueland & Louisa Vesterager Jespersen

Horreur dans la région de Marrakech. Les corps de deux touristes scandinaves ont été retrouvés décapités le 17 décembre à l’intérieur d’une tente de camping entre Imlil et Chamharouch, à un peu plus d’une soixantaine de kilomètres de Marrakech.

Ces deux touristes, de nationalité norvégienne et danoise, étaient en visite dans la région après avoir séjourné, la veille, dans un hôtel de la ville ocre. Selon une source policière contactée par TelQuel Arabi, les premiers éléments de l’enquête ont révélé que ces deux touristes ont été attaquées au niveau du cou avec des armes blanches. Une information confirmée par la mère de la victime danoise dans une interview accordé au quotidien danois BT. Selon sa mère, Louisa Vesterager Jespersen, 24 ans, « s’est fait trancher la gorge ».

Dans un communiqué diffusé dans la matinée du 18 décembre, le Bureau central d’investigation judiciaire (BCIJ) a annoncé l’arrestation d’un suspect dans la ville de Marrakech. La même source précise que l’enquête se poursuivra pour arrêter d’autres suspects déjà identifiés.

Source : Telquel.ma