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jeudi, 29 mai 2014

Pour le PS les actes pédocriminels et les viols ne méritent pas la prison

Publié par Guy Jovelin

 

Le député PS Dominique Raimbourg, rapporteur de la loi Taubira, a tenu des propos ignobles lundi lors d’une conférence de presse.

« Il y a des infractions sexuelles qui ne signalent pas un encrage dans une délinquance particulière [comme] un oncle qui, à la fin d’un repas de famille un peu alcoolisé, a un geste déplacé envers sa nièce » a-t-il affirmé, pour justifier, avec Christiane Taubira, la non-incarcération de tels individus. Il a osé ajouter : « des personnes qui agressent sexuellement des femmes la nuit, c’est grave et cela peut justifier l’incarcération » avec deux sous-entendus insupportables : le viol d’un enfant par son oncle serait moins grave que celui d’une femme la nuit, et le viol d’une femme ne justifiait pas nécessairement la prison.

Ces propos extrémistes interviennent alors que les élus de gauche tentaient de justifier l’un de leurs amendements pour permettre à tous les délinquants – y compris dans des affaires de drogues, de viols et, bien entendu de corruption – d’échapper à la prison. Tard hier soir, les députés ont validé l’élargissement du champ de la « contrainte pénale ».

Les délinquants biens vus des juges d’extrême gauche pourront échapper aux peines de prison et bénéficier de mesures laxistes. Plus que jamais, la loi de l’Africaine Taubira apparaît pour ce qu’elle est : un nouvel instrument de lutte contre les Français, les honnêtes gens, au profit des pires criminels et de la destruction de notre société.

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Jean Lassalle : “L’abstention, c’est l’acte ultime avant la rébellion”

Publié par Guy Jovelin

Jean Lassalle : “L’abstention, c’est l’acte ultime avant la rébellion”

Nous avons vécu une campagne ahurissante où tout le monde parle de tout, sauf de cette élection, qui se déroule dans une apparente indifférence. Lire la suite

mercredi, 28 mai 2014

« La prestation de Louis Aliot : Mots croisés du 19 mai 2014 »

Publié par Guy Jovelin

Franck.jpegLes interventions de M. Aliot dans l’émission « Mots croisés » ont eu le mérite d’éclairer le peuple français et les électeurs de la circonscription Sud-ouest sur le vrai visage de cette personnalité politique.

Certes il était seul face à une horde d’européistes, de gauchistes, ne lui laissant pas la parole.

En cela, bien que nous ne soyons pas « pro-Aliot » nous ne tirerons pas sur une ambulance !!

Nous critiquons M. Aliot du fait qu’il a trahit les fondamentaux du FN et s’est inscrit dans une logique de « dédiabolisation » mortifère pour tous les nationalistes !

Nous l’accusons à juste titre d’avoir épurer, vider toute la substance du Front National, ce qui fut sa spécificité originelle.

Lors de cette émission ses interventions furent certes combatives, mais les effets produits n’ont eu que l’effet d’un « pétard mouillé ».

Ce n’est pas en se montrant sûr de soi devant l’adversaire, que l’on triomphe ! Mais plutôt avec des arguments percutants et plausibles et les « armes » à la main !

Les participants de l’émission n’avaient aucune complaisance vis à vis du vice-président du FN.

Du débat, il ne ressortit qu’une cacophonie générale qui du reste, ne sert qu’a alimenter un  peu plus la désaffection des téléspectateurs pour la politique.

A quand une confrontation d’idées sereines, mais fermes, audibles, où  chaque téléspectateur pourra se faire une opinion précise des thèmes, idées, projets mis en avant ?

La politique a perdu ses lettres de noblesse ! Nous assistons à des jeux du cirque…

Rien d’étonnant à ce qu’une partie non négligeable du peuple préfère les séries de télé réalités.

Ces citoyens s’en trouvent « délestés » d’un point de vue intellectuel, leurs instincts sont « revigorés » virtuellement et ce pour le plus grand bonheur de ceux qui nous gouvernent !

Décidément la décadence française est en marche, à nous de réveiller promptement

notre peuple et de provoquer un électrochoc avant que ce processus ne soit irréversible.

Franck Pech responsable communication PdF 31

Laurent Joffrin de retour à Libération : vive la nécromancie ! (par Nicolas Gauthier)

Publié par Guy Jovelin

Les jours passent et se ressemblent ; en registre journalistique comme politique. L’UMP, c’est le PS ; et Le Monde, c’est Le Figaro. Ou l’inverse. Le bidule ne remonte pas à hier. François Mitterrand a bien démarré à l’Action française et Jacques Chirac à vendre L’Humanité sur le trottoir. Et du coup, tout le monde vote Front national.

Dans le genre flou, nous venons d’apprendre que Laurent Joffrin devrait bientôt revenir aux manettes de Libération. Comme un air de déjà-vu : il connaît les lieux, les ayant occupés plus d’une fois. Comme un air de trop vu, surtout. Franz-Olivier Giesbert, passé du Nouvel Observateur au Figaro pour ensuite rebondir au Point : faire le point sur le « Figarobs », en d’autre termes…

Bravo les gars : couillons interchangeables. Un jour à gauche, l’autre à droite, mais jamais en France. Plus grave : ce qui est l’évidence en journalisme devient aussi la triste réalité politique. Laurent Fabius parti au PS parce que les giscardiens ne pouvaient lui offrir une place éligible, etc.

Revenons-en à Joffrin, Mouchard de son vrai et si joli nom. Nom de son père, gestionnaire de la cagnotte du Front national. Joffrin qui, déjà tout petit, sautait sur les genoux du grand Jean-Marie. Remarquez, les histoires de famille, c’est comme la religion : on y croit dans le meilleur des cas ou, au pire, ça force le respect.

Pour le reste, personne ne semble comprendre que le monde qui nous entoure est un monde qui s’écroule. Où la presse écrite se meurt : qui lit encore Libération, si ce ne sont de petits profs à la retraite, coincés entre calvitie avancée et cancer de la prostate en progrès ?

Bref, des gens pas forcément indispensables ; qu’ils soient à la tête de journaux que personne ne lit plus ou de partis pour lesquels les Français votent de moins en moins. Libération, Joffrin ou pas, sera bientôt racheté par un fonds de pension oriental ou un de ces opérateurs téléphoniques dont les jours, eux aussi, peuvent être, à long terme, comptés.

Alors, bonne chance, petit Joffrin, pour ta énième nomination à la tête de Libération, charmant journal de petits vieux. Et à la prochaine ! À La Vie du rail ou Les Veillées des chaumières. En revanche, évite de pleurer sur le vote massif des Français pour le Front national. Tu sais, ces gens qui n’ont pas les moyens financiers d’être de gauche et qui, à leur manière, persistent à penser qu’en France, ils sont un peu chez eux. Et si Libération crève, ce sera toujours l’occasion de se réabonner à Spirou.

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Cannes, un palmarès dans la tradition : bons sentiments et auto-célébration

Publié par Guy Jovelin

La bulle cannoise a remis son palmarès 2014. Un événement, plutôt un non événement. Aussitôt célébrés, aussitôt oubliés, la plupart des films primés ne rencontrera pas le vrai public. Mais le festival s’en moque. Il a, pour le public, le même intérêt que les eurocrates européens pour les électeurs et le peuple. Cannes est une démonstration parfaite d’ailleurs de la vanité des fausses élites.

En fait, tout ce petit monde se prend, pendant quelques heures, pour le centre de la culture internationale et pour des maîtres à penser. Ils se connaissent tous, et seuls leurs amis, bien sûr, ont du talent. C’est presque toujours de la cooptation pour élargir un peu, mais pas trop, le cercle des « happy few ». Tout cela est rendu possible par une collaboration  médiatique qui fait de ce rassemblement une vitrine mondiale.

Cannes intéresse de moins en moins. Les audiences télés le prouvent, mais Cannes, c’est comme Libération… ce n’est pas fait pour les « gens », c’est fait pour des cercles d’influence. Cette année le festival a trouvé sa « bonne cause ». Une récompense partagée entre un jeune et un vieux, la lutte contre ceux qui n’aiment pas les jeunes ou se détournent des vieux, au nom du talent qui réfute toutes les exclusions et tous les racismes seraient-ils d’âge. Tout le monde savait donc depuis trois jours que ces deux là seraient récompensés, forcément récompensés, mais Brassens sur les conflits d’âge a depuis longtemps réglé les problèmes, « le temps ne fait rien à l’affaire quand on est con, on est con. »

Quant à la palme d’or, elle récompense un  film à vider les salles au bout de 20 minutes de projection. Pour avoir une récompense à Cannes, il faut, parfois, savoir être emmerdant et le faire passer pour de la philosophie cinématographique. Un  film « chiant » si l’on en croit les internautes qui sont allés le voir et qui ne sont pas restés jusqu’au bout.  Un hiver interminable de plus de 3 heures, bon courage.

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