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mercredi, 28 janvier 2015

2014 : pires chiffres du chômage de l’Histoire (6 211 700 chômeurs officiels en France)

Publié par Guy Jovelin 

 

Pendant que François Hollande larmoyait à Auschwitz, Pôle emploi dévoilait les chiffres du chômage pour 2014. Ils sont une nouvelle fois catastrophiques avec 8.100 chômeurs de plus en décembre (+0,2 %), une hausse de 5,7 % en un an.

Jamais le chômage n’a été aussi haut dans l’histoire de France, avec officiellement, pour la seule catégorie A, 3.496.400 chômeurs et pour l’ensemble des catégories 5.879.000 personnes privées d’un véritable travail en France métropolitaine. En comptant les DOM, le nombre de chômeurs désormais très largement les 6 millions avec 6.211.700.

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mardi, 27 janvier 2015

Grèce : premier round (par Patrick Parment)

 

Publié par Guy Jovelin

Il aura suffi d’une victoire quasi programmée d’une gauche hétéroclite en Grèce pour que les Mélenchon, Cécile Duflot et autre Laurent - du fantomatique parti communiste -, s’imaginent que cela pourrait se produire en France. J’entendais Mélenchon à la radio dire qu’il avait les capacités pour gouverner, lui et ses potes. Là, franchement, je suis parti d’un grand éclat de rire.

Les Grecs ont, en effet, massivement voté pour un parti, Syriza, qui leur a fait miroiter la Lune. Enfin, presque. Mettons-nous à la place des Grecs, ils en ont marre de l’austérité et ils vivent sur la corde raide depuis de nombreuses années. Les partis au pouvoir depuis des décennies, de droite comme de gauche, les ont menés à la faillite. Dès lors, pourquoi ne pas essayer autre chose, voir si une autre « volonté » politique, vierge dans le paysage politique, ne serait pas capable de desserrer l’étau.

Il ne faut cependant pas perdre de vue que la Grèce a aussi plongé en raison de ses carences étatiques et d’un système d’impôts totalement inégalitaire puisque ce sont les plus riches qui en payaient le moins. Les Niarkos et autre Onassis en savaient quelque chose d’autant que les leaders politiques, tous bords confondus, s’en mettaient aussi plein les poches. La première des réformes en Grèce consiste bien à remettre de l’ordre dans la machine étatique et d’éliminer les inégalités les plus criantes.

Ce qui ne risque pas d’arriver en France, camarade Mélenchon, car nous, Français, sommes perclus d’impôts et de taxes par des énarques fous qui ont transformés Bercy en asile d’aliénés.

Par ailleurs, il ne faut pas s’imaginer que le Système capitaliste européen,  gangrené par les tenants de la finance mondialisée carburant au dollar, va laisser la Grèce jouer peinarde dans son coin.

On aimerait, certes, voir la Grèce ébranler cette institution bruxelloise qui joue contre l’intérêt des peuples, mais la Grèce est un trop petit pays pour que cela émeuve les hiérarques de la haute finance. Qui a pris soin de placer, en partie, la dette grecque dans les banques européennes.

Pour casser le modèle économique européen, il faudrait qu’un des pays de l’ex-Europe des Six, sombre à son tour ou décide de sortir du Système. Chose qui ne saurait arriver avec les Hollande et autre pignouf à la Sarkozy. Cela serait également possible si les classes laborieuses, en ultime détresse, descendaient dans la rue. Or, nous n’en sommes pas encore là. Du moins tant qu’il y aura encore un poulet aux hormones dans nos frigos.

Pour toutes ces raisons et bien d’autres que j’ignore, Alexis Tsipras, le leader de Syriza, a de fortes chances d’aller à Canossa et tenter de négocier de quoi soulager les classes laborieuses qui pourraient être tentées par des aventures pus radicales avec Aube Dorée, par exemple.

Il ne faut pas non plus perdre de vue que le programme de ce Tsipras est d’un laxisme éhonté en matière d’immigration alors que la population grecque est de plus en plus exaspérée par ces hordes qui arrivent du Moyen Orient et d’Afrique du fait que la Grèce est, avec l’Italie,  l’une des portes d’entrée des immigrés en Europe. Et que Bruxelles s’en fout.

Alexis Tsipras est assis sur un baril de poudre. Attendons de voir la suite.

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Une jeune Allemande reniée et convertie à l’islam brûlée vive avec son bébé par ses « amis » turcs

 

 Publié par Guy Jovelin

Maria avait 19 ans. Par « amour », elle s’était convertie à l’islam malgré les avertissements de ses parents. Son corps a été retrouvé dans une forêt près de Berlin, lardé de coups de couteau et brûlé. Elle était enceinte de plusieurs mois, et ce serait parce qu’elle aurait refusé d’avorter que son ancien compagnon, un Turc comme l’Allemagne en abrite des millions, et l’un de ses congénères – qui a avoué – lui aurait porté plusieurs coups de couteau au ventre avant de la brûler alors qu’elle agonisait.

Il s’agissait au départ de l’un de ses beaux contes multiculturels comme le système aime les vendre aux enfants d’Europe pour leur faire accepter la disparition de leur propre race et de leur propre culture. Maria P. avait rencontré « l’amour de sa vie », un occupant turc musulman. Elle fréquentait alors avec plaisir le quartier envahi de Neukölln à Berlin, le mirage multiracial. Elle avait même décidé de se convertir à l’islam pour complaire à son « compagnon ».

Mais celui-ci n’avait absolument pas envie de se marier avec elle et ne voulait que profiter de l’une de ces Blanches détruites par le système. Et lorsqu’elle lui apprit qu’elle était enceinte, il avait voulu l’obliger à avorter. Malgré ses demandes répétées, elle a refusé de le faire. Quelques semaines avant l’accouchement, il est passé à l’action.

Jeudi, elle a été conduite dans la forêt de Köllnische Heide par ses deux tortionnaires. C’est là où ils lui ont porté deux coups de couteau au ventre. La jeune fille s’est débattue et pour se débarrasser d’elle, alors qu’elle était encore vivante – l’autopsie l’a confirmé – l’ont aspergée d’un liquide inflammable et ont incendié la jeune femme et son enfant à naître.

Ce cas est hélas loin d’être isolé dans l’Allemagne occupée de 2015. Il y a quelques mois, un Afghan à papiers allemand a assassiné sauvagement de plusieurs coups de couteau sa petite-amie blanche, qui était également enceinte. La justice lui a reconnu toutes les circonstances atténuantes possibles, osant déclarer qu’il était lui-même dans « une situation difficile à cause de son origine culturelle et religieuse ». Des psychologues sont déjà invités dans les médiats pour « expliquer » le crime, pour que chaque Allemand puisse comprendre que les meurtriers ne sont pas réellement coupables.

C’est la prime à l’invasion : si un Allemand commettait un crime de ce genre, tous les médiats d’Allemagne évoqueraient l’affaire, les occupants provoqueraient des émeutes – comme l’a prouvé le cas dernièrement de Dresde, où il s’est finalement avéré que l’assassin d’un jeune colon Érythréen était l’un de ses congénères –, et le coupable serait encore plus sévèrement puni. Si le coupable est étranger et la victime blanche, c’est le contraire.

« Qui peut faire une chose pareille ? » ose se demander un internaute, alors que le crime est signé.

Le maire de Berlin, un traître qui favorise chaque jour la haine de l’Allemagne et l’invasion, s’est ignoblement prétendu « choqué » de ce que lui et tous les républicains complices ont créé et organisé.

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« 70ème anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, entretenir la shoah ? Mais qu’en est-il des génocides liés au communisme ? »

Franck.jpegDepuis des années, les bien-pensants nous sensibilisent à la shoah de différentes manières, avec des méthodes récurrentes : Films, documentaires, témoignages de rescapés, tout est orchestré pour marquer les esprits de manière intempestive et pour tout dire intemporel.

Faut-il  rappeler à nos contemporains,  qu’au-delà  de ce matraquage médiatique, bien des crimes contre l’humanité ont perdurés et perdurent encore à travers le monde…

Dois-je rappeler à nos lecteurs que le communisme a tout  de même fait  100 millions  de morts  à travers le monde. Personne n’évoque aujourd’hui le génocide perpétué par les khmers rouges de Pol Pot, les répressions sanglantes sous Mao Tsé Toung, et de  Joseph Staline « le petit père des Peuples », etc.

Alors  certes, le National-socialisme a fait des victimes ciblées du fait de sa doctrine initiale, mais  l’URSS  de Staline a tuée beaucoup  plus de juifs, Les pogroms ayant toujours existés, la différence entre les deux idéologies, c’est que l’une s’affichait ouvertement antisémite et que l autre l’était tout autant sans en assumer l’appellation !!

Il  ne s’agit pas pour nous  de minimiser les victimes  de la seconde guerre mondiale, un mort est un mort, mais il n’y a pas de morts supérieurs à  d’autres ! Comme il n’y a pas de génocide plus terrible que d’autre !

Revenir sans cesse sur la shoah, impliquerait le fait qu’il s’agirait d’une vérité intangible et ceci au détriment d’autres génocides !

La guerre n’engendre que  désastre, meurtre, désolation ! Sous le troisième Reich, des camps existaient où les gens mourraient, sous l’URSS , les goulags étaient des camps de rééducation où l’on mourait également .

j’évoquerai également  le sinistre camp 113 où le traitre Boudarel, torturait les soldats français, puisqu’il était aux ordres du Viet Cong communiste , ce qui n’a pas empêché l’Education Nationale française, de lui offrir une chaire à l’université, bien des années après, histoire de « marxiser » les esprits !!

Alors dans 100 ans, 200 ans, les tenants de la pensée unique nous parleront encore et toujours de la shoah, a nous de perpétuer la mémoire d’autres génocides !

 

Franck Pech

Délégué Départemental Adjoint du Parti de la France31

lundi, 26 janvier 2015

SYRIZA REMPORTE LES ÉLECTIONS EN GRÈCE

Syriza remporte les élections en Grèce

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