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samedi, 24 janvier 2015

Délire féministe et ethnomasochiste : les Blancs et les hommes doivent parler les derniers !

 

 Publié par Guy Jovelin

C’est la dernière trouvaille d’une équipe d’activistes féministes de l’université Dalhousie de Halifax au Canada : pour en finir avec le racisme et la misogynie, il faut imposer de nouveaux rites dans l’enseignement. Les Blancs et les hommes doivent s’exprimer les derniers ! Dans les discussions en classe, en d’autres termes, les femmes et les Noirs doivent avoir la parole en premier.

Une « règle consciente » pour contraindre les hommes à parler les derniers !

Sans surprise, ce nouvel avatar du politiquement correct nous vient d’un programme d’études de genre. Il paraîtrait que les femmes et les filles sont éduquées – « socialisées » – dans notre monde pour ne pas parler les premières. « Fabriquer une règle consciente, délibérée, qui soit explicite, selon laquelle “non, les hommes n’ont pas le droit de s’exprimer les premiers”, est certainement une manière forte d’agir sur ce problème », assure Jacqueline Warwick, professeur de musicologie et ancienne coordinatrice du programme d’études de genre de Dalhousie.

Les hommes, grands perdants du genre

Et tant pis pour les réalités. Les hommes parlent certes moins au cours de la journée, mais se lancent plus facilement que les femmes, ils ont moins peur de se tromper. Dans le même temps on leur reproche de ne pas assez communiquer. Les femmes parlent davantage, nous disent encore les sociologues.

Vrai ou pas, ce qui se joue dans le cadre des études de genre est bien de l’ingénierie sociale : modifier ce qui existe pour obtenir un résultat différent, quitte à perdre l’identité (et même pour perdre l’identité). Les femmes n’ont-elles aucune envie de répondre les premières, préférant prendre la mesure de ce qui se dit ? Elles n’en auraient plus le droit.

Les hommes et les Blancs seraient-ils supérieurs ?

Le plus drôle, c’est que de tout temps, dans les assemblées de réflexion civilisées, c’est au plus jeunes, aux moins instruits, aux petits nouveaux qu’on donne la parole en premier, afin qu’ils ne soient pas intimidés ou influencés par les prises de positions de ceux qui ont plus de sagesse et d’expérience : question de sincérité et de réel intérêt pour ce que les plus inexpérimentés diront. En réclamant que les hommes parlent après les femmes, ces féministes canadiennes à la petite semaine affirment tacitement une préséance des hommes sur les femmes, des Blancs sur les Noirs.

Pour ce qui est de parler le premier ou le dernier, tous les couples savent l’avantage de celui – ou celle ! – qui a le dernier mot. On pourrait peut-être faire une loi ?

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Liberté d’expression : un rédacteur en chef de France 3 limogé pour ne pas avoir assez parlé de la tuerie islamiste à Charlie-hebdo

 

Publié par Guy Jovelin

Régis Poullain, jusqu’ici rédacteur en chef de l’édition nationale du 12/13 de France 3 a été débarqué par la chaîne gouvernementale et remplacé par un certain Philippe Paester. Ce sont les syndicats d’extrême gauche (CGT, SUD, etc.) qui ont eu sa tête, grâce à la complicité de la direction.

Le 7 janvier, Régis Poullain n’avait pas décidé de consacrer la totalité du journal à l’attaque contre Charlie hebdo, alors même qu’il disposait de peu d’informations à ce moment-là. Il avait osé parler d’autre chose et donner d’autres informations aux Français que ceux concernant les malheurs d’un groupe d’extrémistes provocateurs payant finalement le prix de leurs attaques contre les religions.

« Il y a eu une erreur d’évaluation de la part du rédacteur en chef Régis Poullain » a osé déclarer Pascal Golomer, directeur délégué à l’information en charge des rédactions de France 2 et France 3. C’est ce même commissaire politique qui avait lancé une procédure disciplinaire contre le journaliste de France Télévisions qui avait osé révéler au public l’existence du mur des cons réalisé par le Syndicat de la magistrature (SM). Plusieurs syndicats (tout autant d’extrême gauche et antifrançais que celui de la magistrature) de France Télévisions organisent une grève lundi pour obtenir les résultats d’une enquête sur le traitement insuffisamment apologétique du torchon antifrançais selon eux dans les différents journaux.

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vendredi, 23 janvier 2015

LE DESSIN DU JOUR !

LE DESSIN DU JOUR !

Ignace - Hollande et les valeurs républicaines

Dictature socialiste : Le préfet interdit la manifestation de Sauvons Calais prévue ce dimanche

 

 Publié par Guy Jovelin

L’arrêté interdit toute manifestation ou rassemblement ayant trait à la situation migratoire à Calais ce dimanche. Le préfet invoque six motifs pour justifier sa décision : le contexte particulier à Calais, avec ses 2.000 migrants ; la présence de militants extrémistes connus pour leur violence ; le risque de heurts violents entre manifestants ; le risque d’atteinte aux biens en centre-ville ; la constatation d’altercations ou de dégradations de véhicules lors des précédents rassemblements ; et enfin le fait qu’en raison des attentats de Charlie Hebdo, les forces de l’ordre sont mobilisées en priorité sur le plan Vigipirate « et ne pourront contenir les différents troubles à l’ordre public potentiel ».

« Pour moi, c’est une décision politique »

Kevin Reche, leader du collectif Sauvons Calais, voulait organiser ce rassemblement dimanche pour « protester contre l’immigration, contre le camp Jules-Ferry et pour l’expulsion des migrants de Calais ». Reçu ce jeudi matin par le sous-préfet de Calais, il a appris quelques heures plus tard la décision du préfet. « Pour moi c’est plus une décision politique, réagit-il. Ils m’ont dit que ce qui les gênait, c’est qu’on soit d’extrême droite et que des Belges se joignent à nous pour la manifestation. Les antifas n’allaient être qu’une soixantaine face à nous : les forces de l’ordre auraient été tout à fait capables de les repousser. D’autant que j’avais prévu moi-même un gros service d’ordre privé. » Le jeune Calaisien estime que cette interdiction est purement « de la censure » et prévient qu’il ne demandera pas à ses camarades de ne pas manifester.

Le préfet avait déjà interdit une manifestation de Sauvons Calais en avril 2014, en raison là aussi des risques graves de troubles à l’ordre public. Il avait en revanche autorisé un rassemblement devant l’hôtel de ville en septembre 2014. Plusieurs associations avaient, à la suite de ce rassemblement, déposé une plainte contre le collectif et son leader pour incitation à la haine raciale. L’enquête, ouverte par le parquet de Boulogne-sur-Mer, est toujours en cours.

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73 islamistes à papiers français éliminés en Syrie et en Irak… et un ramené en France

 

 Publié par Guy Jovelin

Selon les chiffres – dont les derniers événements ont montré qu’ils n’étaient que relativement fiables – du gouvernement, 73 islamistes à papiers français ont été éliminés en Syrie et en Irak depuis 2011. La France est le pays européen qui a fourni le plus grand nombre de terroristes, assez logiquement considérant sa position de pays particulièrement envahi. Malgré la dangerosité de ces tueurs, Bernard Cazeneuve a prétendu que les empêcher de partir était « efficace » et pourrait « éviter bien des risques [sic] », alors même que l’exemple des frères Kouachi et d’Amerdy Coulibaly montre le contraire.

L’Africain à papiers français Cheikhou Diakhaby, un proche de Chérif Kouachi qui avait été interpellé en Turquie a d’ailleurs été expulsé vers la France hier. Alors que son compagnon de voyage Fritz-Joly Joachin avait été arrêté en Turquie car visé par un mandat d’arrêt européen pour enlèvement d’enfant, il avait réussi à passer en Turquie, mais n’a pu rejoindre la Syrie, contrairement à la compagne d’Amedy Coulibaly qui s’y trouverait.

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