En effet, vous n’êtes pas sans savoir que tout ce que racontent les tueurs du FLN et les “porteurs de valises”, (physiques ou moraux) dont les prototypes les plus emblématiques sont M. Benjamin Stora et les communistes de la FNACA est faux, et que par votre présence, vous officialisez des mensonges d’Etat.
M. Chirac et M. Sarkozy, vos deux prédécesseurs, pourtant pas très courageux en l’occurrence, n’avaient pas osé aller jusque-là. Mais vous, vu votre “popularité”, vous n’avez plus rien à perdre !
Eux aussi, pourtant, ont été à plusieurs reprises pleurnicher à Alger… et se repentir… sans aucune honte sur le dos de la France…comme vous… pour des raisons exclusivement électoralistes, appel du pied… aux plusieurs centaines de milliers de binationaux qui vivent chez nous… après nous avoir chassés de “chez eux”. MM. Chirac et Sarkozy s’étaient gardés d’officialiser cette date, car ils savaient… comme vous-même… qu’elle marquait en fait le commencement… des tueries…enlèvements… séquestrations…. de milliers de civils européens, auxquels s’ajoutèrent des dizaines de milliers d’anciens soldats français d’origine musulmane qui, avant de se battre à nos côtés sur la terre algérienne, avaient été des nôtres dès 1870… puis en 1914-1918… en 1940-1945… et en Indochine.
Ils représentaient en nombre, et volontairement eux, juste avant ces accords odieux, cinq fois plus que les soldats FLN de la dite “Armée de Libération Nationale”… dans les maquis algériens… en Tunisie… et au Maroc.
Car face à tous ces mensonges, ces trucages, ces faux… que disaient réellement ces fameux et douteux accords… que le FLN n’a jamais respectés :
LES ACCORDS D’EVIAN
DE L’INDEPENDANCE DE L’ALGERIE (Extraits non tronqués)
(…) L’Etat algérien souscrira sans réserve à la Déclaration universelle des droits de l’homme, et fondera ses institutions sur les principes démocratiques et sur l’égalité des droits politiques entre tous les citoyens sans discrimination de race, d’origine ou de religion. Il appliquera notamment les garanties reconnues aux citoyens de statut civil français.
DES DROITS ET LIBERTES DES PERSONNES ET DE LEURS GARANTIES
Dispositions communes
Nul ne pourra faire l’objet de mesures de police ou de justice, de sanctions disciplinaires ou d’une discrimination quelconque en raison :
d’opinions émises à l’occasion des évènements survenus en Algérie avant le jour du scrutin d’autodétermination,
d’actes commis à l’occasion des mêmes évènements, avant le jour de la proclamation du cessez le feu.
Aucun Algérien ne pourra être contraint de quitter le territoire algérien, ni empêché d’en sortir.
Leurs droits de propriété seront respectés. Aucune mesure de dépossession ne sera prise à leur encontre sans l’octroi d’une indemnité équitable préalablement fixée.
DE LA COOPERATION ENTRE LA FRANCE ET L’ALGERIE (Extraits non tronqués)
suite sur la pièce jointe
LETTRE A M. LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE (1).docx (60.46 Ko)