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jeudi, 17 mars 2016

Un conseiller départemental FN, opposant à Marine Le Pen, exclu du parti

Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2016

L'utilisation des "kits de campagne"  a valu à Marine Le Pen un placement sous le statut de témoin assisté et fait peser sur le FN la menace d'un renvoi en procès avant la présidentielle de 2017.
L'utilisation des "kits de campagne" a valu à Marine Le Pen un placement sous le statut de témoin assisté et fait peser sur le FN la menace d'un renvoi en procès avant la présidentielle de 2017. PHOTO/AFP Patrick Kovarik

Le Front national du Var a annoncé mercredi l'exclusion définitive du parti d'extrême droite de Damien Guttierez, un conseiller départemental qui avait critiqué Marine Le Pen et le système de kits de campagne payants fournis aux candidats aux élections locales.

Le parti lui demande "de se démettre des mandats qui lui avaient été (...) confiés par les électeurs de notre mouvement", a déclaré le secrétaire départemental Frédéric Boccaletti dans un communiqué. M. Guittierez est élu au conseil municipal de la Seyne-sur-Mer et au conseil départemental du Var.

Dénonçant des propos "aussi ridicules qu'outranciers à l'encontre du Front national" tenus par M. Guttierez dans la presse, le responsable frontiste souligne qu'après avoir été suspendu pour deux ans, il n'avait "pas hésité à réitérer ses allégations sous la pression d'un ego qu'il ne contrôle manifestement plus".

Interrogé par l'AFP, M. Guttierez a affirmé qu'il ne démissionnerait pas de ses mandats : "je ne suis pas un salarié du FN" mais un élu, a-t-il souligné.

Le conflit entre le FN et l'élu varois avait débuté en novembre, lorsque M. Guttierez avait évoqué notamment les "kits Jeanne", ces kits électoraux proposés aux candidats FN lors des dernières élections locales. M. Guttierez soutenait avoir été "obligé" d'acheter ces kits pour obtenir l'investiture du parti, soit un investissement selon lui de 15.000 euros aux municipales puis 8.000 euros aux départementales.

L'utilisation de ces kits de campagne par le Front national lors des législatives de 2012 est l'un des principaux éléments d'une enquête judiciaire sur le financement des campagnes électorales du parti. Close en janvier, elle a valu à Marine Le Pen un placement sous le statut de témoin assisté et fait peser sur le FN la menace d'un renvoi en procès avant la présidentielle de 2017. M. Guttierez avait également annoncé vouloir se présenter en 2017 à la présidence du Front national contre Marine Le Pen.

 

Source : http://www.lindependant.fr/

mercredi, 16 mars 2016

Syrie : Qué pasa, Vladimir ?

Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2016

Qué pasa, Vladimir ?

15 Mars 2016 , Rédigé par Observatus geopoliticus Chroniques du Grand Jeu

En annonçant le retrait d’une partie des forces russes de Syrie, Poutine vient encore de prendre tout le monde par surprise. Et déjà affleurent les commentaires étonnés, médusés ou cyniques.

Certains de se demander « pourquoi et pourquoi maintenant ? », alors que la Russie et ses alliés sont en plein momentum comme on dirait en rugby, en plein élan victorieux. Certes, l’intervention russe a considérablement changé la donne sur et autour du terrain, et rarement autant aura été achevé avec aussi peu (moins de 50 avions, une broutille). Mais tout de même, pourquoi s’arrêter en si bon chemin, pourquoi ne pas en remettre une petite couche supplémentaire ?

Il est vrai que l’explication officielle – « les objectifs ont été globalement remplis » et cela « stimulera le processus de paix » – ne convainc qu’à moitié.

Passons sur les « La Russie est ruinée » ou « Poutine abandonne Assad » qui prêtent à sourire. Plus intéressantes sont les tentatives d’explication faisant état d’un accord avec les Etats-Unis chargés, en contrepartie, de mettre leur véto à toute velléité d’intervention turque ou saoudienne. Voire un accord secret avec Riyad : J’arrête de bombarder tes rebelles, tu diminues ta production de pétrole pour faire remonter les prix. Mais là encore, le doute subsiste : les Saoudo-turcs ne pouvaient de toute façon pas intervenir sous peine d’une guerre ouverte avec la Russie qui aurait très mal tourné pour eux.

Au-delà de placer la Russie au centre des négociations de paix, il y a peut-être (mais allez savoir avec ce diable d’homme) une explication beaucoup plus simple à la décision de Poutine. Le choix des mots est à étudier ici avec soin : « le retrait de la majeure partie des forces russes de Syrie » + « les bases navales et aériennes russes près de Lattaquié et à Tartous continueront à opérer normalement ».

Numériquement, le gros des troupes est constitué du bataillon d’infanterie qui protège la base aérienne ainsi que des conseillers militaires et sans doute des forces spéciales russes présentes sur le terrain. Toutes tâches qui peuvent, maintenant que la situation militaire s’est retournée et que la province de Lattaquié a été sécurisée, être assurées par l’armée syrienne ou les milices alliées. Mais les avions, les navires et les systèmes de défense anti-aérienne resteront, ce qui est évidemment la seule chose qui compte sur le plan militaire. L’annonce du président russe serait donc un non-événement, destiné à l’opinion russe mais ne changeant rien à l’état des forces sur le terrain.

 

Leblogalupus

Il y a 1392 ans, l’islam commençait son expansion par la violence

Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2016

invasionde safouan

15/03/2016 – MONDE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

En effet, le 15 mars 624, l’islam, alors âgé de seulement deux ans remportait son premier succès militaire avec l’invasion victorieuse de Safouan.
Cette conquête personnelle de Mahomet marque le début des grandes conquêtes musulmanes, par lesquelles l’islam parviendra à asseoir sa domination en moins d’un siècle.
En 635, les guerriers d’Allah envahissent la Syrie.
En 639, ils prennent l’Arménie et l’Égypte.
En 651, c’est toute la Perse qui tombe aux mains des musulmans, suivie en 709 par l’Asie du Sud et l’Afrique du Nord et en 718 par la péninsule Ibérique.
La France échappe à l’invasion musulmane par la Grâce de Charles Martel, qui arrête les Arabes à Poitiers en 732.

 

Source : http://fr.novopress.info/

mardi, 15 mars 2016

Askolovitch se prend pour le pape et demande la démission de Barbarin

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2016

Un "éditorialiste" peut-il excommunier un chrétien ?

Pour ceux qui ne connaissent pas encore « Asko », rappelons son époustouflant parcours médiatique, tous médias confondus : Radio Shalom, Sciences et Vie, RFO, Le Matin de Paris, Le Sport, Europe 1, L’Evènement du jeudi, Marianne, Le Nouvel Observateur, Le Journal du Dimanche,Le Point, I-Télé, France 2, RTL, La Chaîne Parlementaire, Arte (28 Minutes), Bein Sports (Le Club). Il ne manque plus que les Chtis à Miami sur NRJ12 et Le Journal de la santé sur France 5, avec Michel Cymes et la fille Carrère d’Encausse. Il se peut même qu’un jour, vu la fuite des cerveaux qui touche actuellement TPMP (Touche pas à mon poste), Asko trouve un siège à la droite du Fils (Hanouna).

À chaque fois qu’on lit, regarde ou entend Asko, c’est le grand art du journaliste qui a son avis sur tout porté à son point le plus haut. Maître des contre-pieds à l’idéologie dominante qui retombe toujours sur ses pattes sionistes, ce fan de foot ne loupe pas une occasion de se frayer une place sous la lumière médiatique. Il peut parler de Benzema, des attentats, de DSK (un pote), de Nabilla ou d’Obama avec la faconde d’un pilier de bistrot qui vient de gagner à un jeu de grattage devant tous ses potes après une troisième tournée générale.

 

 

La complexité pour les nuls

En fait, vous l’aurez compris, le sujet il s’en fout, du moment qu’il peut tchatcher et vendre sa camelote – c’est-à-dire lui-même – en direct. Le produit, c’est « Asko », le reste n’est qu’un prétexte. Pour être précis, Asko vend de l’intelligence des choses, une vision du monde, mais ramenée au niveau des téléspectateurs compulsifs. Comprenons par là des gens qui s’emmerdent mais qui ne veulent pas s’emmerder avec de la complexité anxiogène.

Comparativement à Haziza, Asko est posé, intelligent, rationnel et honnête. En même temps, Haziza cumule tellement de défauts et de manquements professionnels qu’il est facile de glorifier Asko à côté. Cette semaine, Asko s’en prend à Mgr Barbarin, l’archevêque de Lyon, le primat des Gaules, et pilier de la France catholique. Il a notamment jumelé l’archidiocèse de Lyon avec le diocèse de Mossoul, pour montrer son attachement aux chrétiens persécutés en Orient. Malgré la stature morale de l’homme, Asko exécute Barbarin en trois coups de cuiller à pot, écoutez ça :

« C’est un intellectuel c’est un homme engagé, il s’engage pour toutes les thématiques de l’église, il s’était engagé il était au premier rang des manifestations contre le mariage pour tous par exemple, en 2013, il en disait même parfois des bêtises »

Le présentateur d’I-Télé en plateau surenchérit, et demande à Asko-qui-sait-tout :

« Et ça veut dire que l’église doit couper des têtes pour se sauver elle-même ? »

 

Étant farouchement attachés à la liberté d’expression, nous ne demanderons ni la tête (nous ne sommes pas des barbares) ni la démission d’Asko (nous ne sommes pas des inquisiteurs), seulement de s’occuper de ses affaires, par exemple du retour de Benzema dans l’équipe de France, à trois mois de l’Euro.
Un revirement louche qui sent encore une fois le désastre : vu le pedigree du maître-chanteur à la sex-tape, il ne nous étonnerait pas que les Bleus, sur une telle base morale, se fassent exploser en France. Attention, il ne s’agit pas d’explosion terroriste, malgré les risques, que nos dirigeants nous rappellent chaque jour entre deux décisions liberticides, uniquement d’explosion sportive. Le ménage reste à faire chez les dirigeants des Bleus, et accessoirement, chez les dirigeants des Français.

 

Source : http://www.egaliteetreconciliation.fr/

Le père du logiciel libre veut sauver la démocratie... en éradiquant Facebook

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2016

Richard Stallman estime que l'élimination de Facebook est une nécessité pour "protéger la vie privée".
Richard Stallman estime que l'élimination de Facebook est une nécessité pour "protéger la vie privée". ©
ARCHIVES LE LIEVRE NICOLAS

Richard Stallman assure que Facebook est "un espace de contraintes" qui entrave la liberté des individus

De passage au Québec, Richard Stallman n'y est pas allé avec le dos de la cuillère au moment d'évoquer le réseau social Facebook. Interrogé par le quotidien Le Devoir, le célèbre programmateur américain, créateur notamment du système d'exploitation GNU/Linux, a lancé : "Il faut éliminer Facebook pour protéger la vie privée".

Facebook, un "espace qui entrave la liberté"

L'homme estime que dans un mode ou l'informatique occupe une place de plus en plus prépondérante, la surveillance de la vie privée exercée à travers les réseaux sociaux est une entrave dangereuse à la liberté des individus : "Sans cette vie privée, sans la possibilité de communiquer et d'échanger sans être surveillé, la démocratie ne peut plus perdurer", affirme-t-il.


© PHOTO ARCHIVES COTTEREAU FABIEN

Concernant Facebook, Richard Stallman assure que le réseau social "utilise bien plus ses usagers que ses usagers ne l'utilisent. (...) C'est un service parfaitement calculé pour extraire et pour amasser beaucoup de données sur la vie des gens. C'est un espace de contraintes qui profile et fiche les individus, qui entrave leur liberté, qui induit forcément une perte de contrôle sur les aspects de la vie quotidienne que l'on exprime à cet endroit".

Selon l'informaticien militant, les conséquences sociales et politiques ne peuvent être que délétères à moyen ou long terme. "Les entreprises qui soumettent les gens avec ces produits gagnent beaucoup d'argent, argent qu'elles utilisent pour amplifier l'inertie sociale qui bloque toutes les portes de sortie", poursuit-il.

Un appel aux gouvernements

Autre source d'inquiétude, l'influence néfaste de ces réseaux sur les gouvernements : "Une informatique publique dans l'intérêt du peuple n'est pas une informatique dont le contrôle est dans les mains d'entreprises privées qui cultivent le secret sur leurs codes informatiques".

"Le logiciel privateur surveille ses utilisateurs, décide de ce qu'il est possible de faire avec ou pas, contient des portes dérobées universelles qui permettent des changements à distance par le propriétaire, impose de la censure. Lorsqu'on l'utilise, on se place forcément sous l'emprise de la compagnie qui le vend".

Pour éviter cette soumission, Richard Stallman appelle les gouvernements à réagir : "Les gouvernements ont un rôle important à jouer pour combattre ces injustices en s'échappant des cadres privateurs dans lesquels ils se sont placés", dit-il.

"Le système scolaire, aussi, doit apporter sa contribution en n'imposant plus la dépendance des élèves à des entités informatiques privées. Il ne devrait enseigner que le logiciel libre. C'est la seule façon de regagner collectivement la liberté perdue et de reprendre le contrôle sur des activités qui nous ont d'ores et déjà échappé".

 

Source : http://www.sudouest.fr/