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dimanche, 27 mars 2016

Caillassage de commissariats à Paris : le gouvernement est-il encore crédible ?

Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2016

Le Général Piquemal aurait du choisir de manifester contre la Loi Travail, il n’aurait pas été placé en garde à vue.

Commettre des violences urbaines est moins risqué que de s’exprimer publiquement. C’est en tout cas le sinistre constat que l’on peut faire en comparant deux situations : celle du général Christian Piquemal, interpellé le 6 mars 2016 en marge d’une manifestation pacifique organisée à Calais en protestation à la politique migratoire de nos dirigeants, et celle des lycéens (ou présentés comme tels) ayant saccagé une supérette et jeté des projectiles sur deux commissariats parisiens le 25 mars 2016.

En effet, dans ce dernier cas, il n’y a eu ni interpellation, ni ordre de dispersion. Les vidéos qui circulent sur Internet sont pourtant éloquentes : on y voit des dizaines d’individus surexcités lancer des projectiles sur les façades des commissariats des Xe et XIXearrondissements, le slogan « Mort aux flics » ayant été par ailleurs inscrit sur l’une des devantures.

Bien entendu, les médias traditionnels insistent sur la légitimité de tels actes, ceux-ci étant présentés comme faisant suite à l’interpellation musclée d’un lycéen qui avait jeté, la veille, un projectile au visage d’un policier.

Rappelons que ces lycéens, par définition mineurs et non actifs, bloquent des établissements scolaires et manifestent publiquement contre la loi Travail, dite loi « El Khomri », ce qui amène à s’interroger quant à la légitimité de leur mouvement, dont la dimension politique s’inscrit dans un contexte de scission de la gauche, dont une partie a tout intérêt à se faire entendre. Inciter des adolescents à déserter les cours pour faire pression sur le législateur n’est, hélas, pas une première dans notre pays.

Il convient, toutefois, de souligner la complaisance de certains journalistes, qui vont jusqu’à affirmer que la supérette qui a été pillée par les « manifestants » l’a été pour des raisons « humanitaires », la nourriture qui a été volée ayant été distribuée à des sans-abri… Applaudissons ces Robin des bois du XXIe siècle, et ayons une pensée pour le gérant dudit commerce dont la caisse enregistreuse a été également dérobée : sans doute un nouvel acte charitable à l’égard des plus démunis…

Intéressons-nous, enfin, aux paroles du ministre de l’Intérieur qui a publiquement « condamné » ces actes tout en omettant de s’expliquer sur l’absence d’interpellation ou de réaction des forces de l’ordre, qui auraient rapidement pu éviter ces exactions pour peu qu’elles n’en aient pas reçu pour instructions de ne pas le faire…

Le général Piquemal aurait dû choisir de manifester contre la loi Travail : il n’aurait pas été placé en garde à vue, n’aurait pas été renvoyé devant le tribunal correctionnel, aurait pu se défouler contre les dépositaires de la force publique et distribuer de la nourriture aux « pauvres »…

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

Béziers : le ministère réagit à la radicalisation des détenus

Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2016

Ce vendredi, un syndicat pénitentiaire avait alerté sur la radicalisation d'une vingtaine de détenus, inquiet de la possible "contagion" au sein de la prison.

SOURCE AFP
Une vingtaine de détenus seraient radicalisés. 
Une vingtaine de détenus seraient radicalisés.  © PASCAL GUYOT
La vingtaine de détenus de la prison de Béziers ne fait pas l'objet d'une fiche S mais « d'un suivi attentif », a indiqué ce samedi le ministère de la Justice après les déclarations d'un syndicat pénitentiaire. « Un certain nombre de détenus font l'objet d'un suivi attentif pour les risques qu'ils présentent en termes de prosélytisme, mais surtout parce qu'ils pourraient entrer dans un processus de radicalisation », a expliqué le ministère de la Justice, qui réfute la catégorisation de fiche S. Un représentant du bureau local du syndicat Ufap-Unsa du centre pénitentiaire de Béziers s'était inquiété vendredi de la présence d'une vingtaine de détenus considérés comme radicalisés.

Les 56 élèves-commissaires et auditeurs de la 67ème promotion « Liberté » priés d’écouter religieusement le président de la LICRA

Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2016

L’imbrication de certains organismes tels que le CRIF ou la LICRA au sein du Pouvoir n’est plus à démontrer. Une nouvelle preuve vient d’en être donnée avec l’intervention d’Alain Jakubowicz, président de la LICRA, à l’Ecole Nationale Supérieure de la Police (ENSP) , devant les 56 élèves-commissaires et auditeurs de la 67ème promotion « Liberté ». 

image: http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2016/03/ensp-300x79.jpg

ensp

Le communiqué de la LICRA est à ce point éloquent qu’il n’y a pas lieu de le commenter :

Dans le cadre de la semaine d’éducation à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, Alain Jakubowicz s’est rendu lundi 21 mars à l’Ecole Nationale Supérieure de la Police de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or afin de rencontrer les 56 élèves-commissaires et auditeurs de la 67ème promotion baptisée « Liberté ».

La LICRA dispose d’un partenariat étroit avec les forces de l’ordre. La convention-cadre signée le 1er décembre 2010 et renouvelée par Bernard Cazeneuve, Ministre de l’Intérieur, le 29 juillet 2014 repose sur 4 axes d’intervention et de partenariat :

L’accueil des victimes, grâce à la diffusion de dépliants élaborés par la Licra dans les points d’accès au droit, les commissariats et les gendarmeries (dépliant avec tableau récapitulatif des infractions, informations sur la façon de rédiger une plainte, etc. et avec le numéro de la plateforme d’assistance juridique de la Licra). En 2015, 350 000 dépliants ont été distribués sur l’ensemble du territoire.

La formation : la Licra participe à des actions de sensibilisation des personnels des forces de police et de gendarmerie : la Licra intervient en effet dans le cadre des formations initiales et continues dans les écoles de police et de gendarmerie. En 2015, la Licra a participé à une vingtaine d’interventions touchant plus 2 500 policiers ou gendarmes. Ce chiffre sera au moins doublé en 2016. La section LICRA de Nîmes, qui fête ses 10 ans cette semaine, s’est particulièrement montrée exemplaire dans la mise en place de ces actions de formation auprès des gendarmes notamment.

La lutte contre la haine sur Internet. Le ministère de l’intérieur participe activement à la lutte contre toutes les formes de racisme s’exprimant sur internet et les réseaux sociaux, par l’intermédiaire de la Plateforme d’Harmonisation, d’Analyse, de Recoupement et d’Orientation des Signalements (PHAROS) mise à la disposition du public. La Licra bénéficie d’un accès privilégié à cette plateforme, en vue de signaler les contenus illicites relevés sur ces médias. Le ministère de l’intérieur s’emploie, dans la mesure du possible, à informer la Licra des suites données à ses signalements. En 2015, la Licra a instruit et déposé plus d’une centaine de signalements vérifiés et argumentés auprès de la plateforme PHAROS.

La lutte contre le racisme dans les stades : Si nécessaire et à la demande des services de la préfecture, des réunions de travail spécifiques pourront être organisées avec la LICRA pour anticiper les difficultés associées à des « rencontres sportives à risques ». De même, comme par le passé, des échanges permettront d’anticiper les difficultés à caractère racial dans et hors les stades.

Au-delà de ce partenariat, Alain Jakubowicz a également évoqué des sujets propres à l’activité quotidiennes des forces de l’ordre et pour lesquelles les élèves-commissaires auront demain à apporter des réponses concrètes en tant que personnels d’encadrement. La question des contrôles d’identité, et de la problématique du contrôle au faciès, est aujourd’hui devenue un sujet réclamant une vigilance étroite des forces de l’ordre.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

BONNES, SAINTES ET JOYEUSES FÊTES DE PÂQUES

La plus importante fête chrétienne de l’année commémore la résurrection du Christ et l’instauration d’une nouvelle ère de rédemption pour l’humanité.

 
 
 

 

 

samedi, 26 mars 2016

Tremblez, islamistes : Bisounoursator va frapper !

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2016

Ah, ces terroristes, ils vont bientôt comprendre qu’avec nous, ça ne rigole pas !

On entend des pessimistes, âmes tourmentées, se désoler de ce que l’Occident semble si démuni face au terrorisme islamique qui nous frappe dorénavant régulièrement. Nous serions trop peu combatifs, trop peu armés.

Il n’en est rien. L’Occident Bisounours ne manque pas d’armes, et il est prêt à s’en servir.

En voici une liste non exhaustive.

La marche blanche : arme essentiellement psychologique, destinée à faire honte à l’ennemi. Son efficacité n’est plus à démontrer : il paraît que certains membres de Daech reculent d’effroi en voyant les images de ces silencieux défilés, tels des vampires menacés par l’ail.

Les petits nounours : utilisant le même principe que la marche blanche, le petit nounours, ou plutôt l’accumulation de tas de petits nounours sur les lieux où des infidèles ont été démembrés, conduit les terroristes à mesurer brutalement l’étendue de leur méchanceté ! Bien fait, nous aussi, nous pouvons faire mal !

Le hashtag « Je suis… », dont on complète la formule en fonction du dernier lieu d’explosion meurtrière, conduit les terroristes à mesurer à quel point nous sommes nombreux, ce qui leur fait certainement un petit peu peur.

La réouverture des restaurants attaqués, la reprogrammation des concerts interrompus par des kalach’, tout reportage prouvant que « la vie continue », montrent à nos ennemis que rien ne peut nous abattre (hum) : les spectateurs d’un concert ou les consommateurs de pizza en terrasse qui sont tués sont aussitôt remplacés, tels des soldats tombant au front dont, inlassablement, d’autres soldats prennent la relève. « Ils sont vraiment invincibles ! » se disent les commanditaires de Daech.

Dans un style assez proche, les reportages « même pas peur », consistant à interviewer des gens qui expliquent qu’ils n’ont – donc – même pas peur, font – justement – peur aux terroristes : ils nous prennent vraiment pour des Terminator.

Enfin, et surtout, l’islamophilie est l’arme la plus efficace dont dispose le Bisounours contre la barbarie islamique : la tolérance totale envers l’islam est une arme redoutable, la pire vacherie que l’on puisse faire à ces gens-là, car rien ne saurait peiner davantage un coranophile fanatisé que de voir les territoires de son ennemi héréditaire se couvrir de mosquées, de restos halal, de ghettos salafistes ! 

Sans compter que lorsque les membres de Daech nous voient sympathiser avec des fondamentalistes, ils sont jaloux… et la jalousie est une arme redoutable.

Ah, ces terroristes, ils vont bientôt comprendre qu’avec nous, ça ne rigole pas !

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/