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dimanche, 08 mai 2016

BFM TV se sépare de son consultant "djihadisme", un repenti fiché "S"

Publié par Guy Jovelin le 8 mai 2016

Le chercheur, converti à l'islam, fait l'objet d'une surveillance de l'antiterrorisme depuis plusieurs années, mais rien n'a été retenu contre lui.

Le spécialiste des réseaux djihadistes Romain Caillet.
Le spécialiste des réseaux djihadistes Romain Caillet. © Capture d'écran BFM TV

samedi, 07 mai 2016

Un politique, ça devrait fermer un peu sa gueule

 

L’Armée Française est aujourd’hui plus populaire que la plupart des hommes politiques.

 

« Un militaire c’est comme un ministre, ça ferme sa gueule ou ça démissionne ». Alain Juppé, favori de la primaire à droite, se voit déjà à la magistrature suprême. Sans attendre l’investiture, celui qui n’est qu’un candidat parmi d’autres entend mettre la grande muette au garde à vous. Sa biographie ne mentionne pas dans quelle unité il a accompli son service militaire il y a 35 ans, intermède entre Sciences Po et l’ENA. Aurait-il mal supporté les charmes de la vie militaire, sa simplicité, la rusticité et la promiscuité avec les Français, loin du quartier latin et de la vie bourgeoise ? L’ancien ministre a-t-il mal vécu le contact avec les chefs militaires lors de ses passages à l’hôtel de Brienne et au Quai d’Orsay ? Ni le ministre de la Défense, ni le ministre des Affaires étrangères ne sont dans la chaîne de commandement militaire. Les généraux ne se privent pas de le rappeler sous les lambris dorés. Des esprits mesquins pourraient en concevoir quelques sombres vexations. La route est encore longue pour le prochain chef des armées.

Il y a cinq ans tout juste, Alain Juppé, alors ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy, encourageait l’intervention désastreuse en Libye, contre l’avis des spécialistes. L’Armée a « fermé sa gueule » et obéi à son chef sans discuter : le régime libyen s’est effondré, son chef politique a été tué, son outil militaire brisé et les rebelles ont pris le pouvoir. Les grands sponsors politiques de cette belle affaire sont resté taiseux et les bras croisés depuis, après que l’Armée française a accompli sa tâche.

Un ministre est un politique. Un Officier est un militaire. Même réduite à sa plus simple expression par des dizaines d’années de disette budgétaire et de baisse d’effectif, l’Armée française n’est pas et ne sera jamais une milice politique au service d’un homme, d’un parti, d’une clique, d’un clan, d’un régime, d’une philosophie, d’un groupuscule, ou d’une chapelle. L’Armée française est au service de la France, qu’elle soit Royaume ou République, que son chef règne ou préside, qu’importe. Un officier d’active est « propriétaire de son grade » ; il ne peut lui être retiré. Des politiciens sans scrupules voudraient pouvoir s’appuyer sur des second couteaux intermittents, une main de basses œuvres corvéable et peu regardante. Monsieur Juppé languit-il la milice ou le SAC ? Ou bien, par cette phrase hasardeuse, Monsieur Juppé invite-t-il les militaires à renoncer à leur statut pour entrer en politique ? Certes, devant l’état calamiteux de la gestion du pays par des hommes comme Monsieur Juppé depuis 40 ans, nombreuses sont les préoccupations parmi les officiers.

Certains ministres et hommes politiques devraient bien fermer leur gueule avant de l’ouvrir, ou démissionner. L’Armée Française est aujourd’hui plus populaire que la plupart des hommes politiques.

 

Source : bvoltaire

Scandale pédophile dans une école juive de New York

 

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Un scandale d’attouchements sexuels sur enfants éclabousse la plus grande yeshiva du village hassidique de Satmar de Kiryas Joel, dans l’état de New-York.

Deux vidéos tournées en caméra cachée montrent le directeur principal de ce centre d’étude de la Torah et du Talmud caressant et embrassant des petits garçons. Les faits se déroulent dans le bureau directeur de cette école. 

La mise en ligne de la première vidéo avait entraîné l’ouverture d’une enquête de police. L’individu est le principal de l’Académie talmudique unie, une école d’éducation primaire et secondaire qui compte 6 000 élèves, dans le village de Satmar à Orange County, New York.

Il s’agit d’un rabbin bien connu et très respecté dans la communauté hassidique.

Les personnes qui ont diffusé ces vidéos ont déclaré que leur motivation est avant tout de protéger les enfants de la communauté contre les abus sexuels.

L’un d’eux, Boorey Deutsch, lui-même juif hassidique, a déclaré qu’il se déoule tant d’abus sexuels sur enfants dans cette communauté qu’il y a moyen d’écrire plusieurs livres sur le sujet.

 

Source : medias-presse.info



vendredi, 06 mai 2016

"Ça va se finir à coups de kalachnikov" : trois mois ferme pour avoir menacé des CRS

Publié par Guy Jovelin le 6 mai 2016

POLICE - Selon nos informations, un homme a été condamné à trois mois de prison ferme pour avoir menacé et insulté des CRS à l'atterrissage d'un avion. Les policiers ont découvert à son domicile plusieurs armes.

Un passager violent a été interpellé à l'aéroport de Lyon après avoir insulté et menacé les policiers.

Un passager violent a été interpellé à l'aéroport de Lyon après avoir insulté et menacé les policiers.

Photo: BORIS HORVAT / AFP

Un passager a été condamné à Lyon en comparution immédiate, mardi 3 mai, à trois mois de prison ferme pour outrage, rébellion et menaces à l'encontre de policiers, a appris metronews de sources policière et judiciaire. 

Clermont-Ferrand : « Touche pas ma pote »… et prends la porte !

Publié par Guy Jovelin le 6 mai 2016

Pages of book of Quran

À Clermont-Ferrand, un chauffeur de bus et de tramway refusait systématiquement de serrer la main des femmes.

 

Chaque jour, des gestes anodins issus de notre quotidien et transparents comme des habitudes subissent des violations, des agressions. Comme une lente remise en cause de nos règles de vie. Il y a quelques jours, à Gennevilliers, une jeune fille s’est fait tabasser pour une jupe trop courte, et à Clermont-Ferrand, un chauffeur de bus et de tramway refusait systématiquement de serrer la main des femmes. Ce chauffeur a été licencié par son employeur, la T2C, qui a estimé qu’en refusant de serrer la main de ses collègues féminines, il avait un comportement discriminant.

Mais lui avance une autre version : « Je suis très pudique, le contact physique avec les femmes me met mal à l’aise. C’est un blocage lié à ma culture, à mon éducation. Même ado, j’étais comme ça. Ça ne m’empêche pas de leur dire bonjour, de leur parler, d’être avenant. » Rien à voir avec la religion, donc ? Rangez vos Corans, vos amalgames et vos idées prémâchées : on vous a vus venir ! De la pudeur, uniquement, pour ce grand timide qui, dans un élan de générosité vis-à-vis de la gent féminine, avoue qu’il consent à leur adresser la parole. Quel bol ! Être avenant mais pas rentre-dedans, en somme.

Déjà épinglé pour « défaut de timidité » – comprenez : pour avoir refusé de saisir la main tendue d’une cadre de son entreprise l’été dernier -, le chauffeur avait écopé d’une sanction disciplinaire lourde : une mise à pied à défaut de serrer des mains. 15 jours. « Comme je le fais toujours, j’ai essayé de lui expliquer ma position, mais elle s’est sentie humiliée », déplore le désormais ex-conducteur de bus et de tram.

L’intéressé se dit de « confession musulmane » mais nie tout impact de ses convictions religieuses sur son peu d’enthousiasme à nouer un contact physique avec ses collègues femmes. En février dernier, pourtant, il se détourne à nouveau de deux de ses collègues venues le saluer dans son bus. Et la sanction tombe : les ressources humaines de son entreprise estiment que, dans une entreprise de service public, on doit se plier à certaines règles. Ignorer la main tendue du sexe opposé fait donc partie de ces règles.

Tant pis pour les timides, les pudeurs mal placées et les excuses improbables aussi insultantes pour notre intelligence qu’une main tendue délibérément ignorée.

L’islam radical s’infiltre dans le quotidien de nos entreprises. En témoigne Christophe Salmon, de la CFDT à la RATP : il se dit « inquiet d’une montée de la radicalisation religieuse à la régie où certains chauffeurs évitent de prendre les commandes d’un bus auparavant conduit par une femme ».

L’avocat de Brahim (le chauffeur licencié), lui, va contester le licenciement devant les prud’hommes. « La seule chose qui compte, c’est de se saluer et de se respecter », estime ce spécialiste du droit du travail. « Ça, mon client l’a toujours fait. Le reste relève du choix personnel. »

Personnel ? Le messager d’Allah a dit : « Que l’on enfonce une aiguille en fer dans la tête de l’un d’entre vous vaut mieux pour lui que de toucher une femme qui n’est pas la sienne… » La version (l’aversion ?) moderne du « Touche pas à MA pote », en quelque sorte…

 

Source : bvoltaire