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Alors que tous les médias nous bassinaient avec « Black M », que les politiciens de gauche (Taubira, Cambadélis, Lang…) et le pseudo-philosophe mais vrai cosmopolite Bernard-Henri-Lévy pleurnichaient sur l’annulation du concert prévu à Verdun dans le cadre des commémorations du centenaire de la guerre de 14-18 et criaient au retour d’un « fascisme » fantasmé, un rappeur se faisant appeler « Goldofaf » (mélange de Goldorak et de faf) a été brutalement agressé le 13 mai au soir à la terrasse d’un café du XVème arrondissement de Paris par des individus armés de marteaux et de matraques qui l’ont abandonné couvert de sang.
Quelle différence y a –t- il entre « Black M » et « Goldofaf » ?
Il existe une opposition fondamentale entre ces deux individus, l’un crache sur la France et les « kouffars », a été adoubé et largement promu par le système médiatique. Moins populaire, le second se pose en défenseur inconditionnel de la France et de la tradition catholique. Tandis que « Black M » est accueilli à bras ouverts partout et peut donner des concerts où il le souhaite (après l’épisode de Verdun, peut-être que les choses vont légèrement changer mais j’en doute), les rappeurs patriotes tels « Goldofaf » ou « Kroc Blanc » ne peuvent pas se produire sur scène, excepté dans des événements privés dont l’adresse sera bien entendu divulguée au dernier moment afin d’éviter que des nervis d’ultra-gauche viennent jouer les trouble-fêtes aux cris de « No pàsaran », « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».
On a parfaitement le droit de ne pas aimer du tout le rap, de ne pas être de foi catholique et contre-révolutionnaire comme « Goldofaf ». Cependant ce rappeur, et il en va de même pour les autres chanteurs de la mouvance, dérange l’oligarchie. L’agression dont il a été la cible est inacceptable (si « Black M » avait été passé à tabac, j’aurais également condamné l’acte mais toutes les chaînes de télévision en auraient parlé accusant certainement au passage l’intolérance des « fachos ». Là, c’est le silence médiatique. Et comme dit le dicton, qui ne dit mot consent.) C’en est assez de l’impunité de l’ultra-gauche, de ces groupuscules sectaires qui se comportent en véritables milices et manipulent des jeunes désœuvrés qu’ils poussent ensuite à lutter contre une menace imaginaire. Un embrigadement qui se fait en ce moment, y compris dans les lycées, sur fond de lutte contre la loi El Khomri. Bien que je ne me fasse guère d’illusions, je prie les autorités de réagir pour retrouver les responsables au plus vite et souhaite bon rétablissement à cet artiste engagé à contre-courant de l’idéologie dominante.
Voici la reprise devenue célèbre de « Gravé dans la roche » du groupe anti-français Sniper, que Goldofaf avait réalisée il y a quelques années et qui lui a permis de gagner en notoriété.
La Pentecôte est l’une des plus grandes fêtes chrétiennes.
Elle commémore le don (promis par le Christ avant Son Ascension) de l’Esprit Saint aux apôtres. En grec, pentêkostê signifie « cinquantième », car l’événement est survenu cinquante jours après Pâques.
En France, avant la Révolution, la semaine qui suivait la Pentecôte était fériée. Les autorités républicaines ont maintenant depuis des années en ligne de mire le lundi de Pentecôte, traditionnellement férié. Chrétien ou simplement Français non renié, il faut s’efforcer, autant que possible, de ne pas travailler ce lundi, ni d’acheter dans les grandes surfaces (comme les dimanches et autres jours fériés).
L’hymne de circonstance est bien sûr le Veni Creator :
Le 14 mai à 16h59 par Afp | Mis à jour il y a 16 heures
Au moins trois personnes ont été tuées et 26 blessées samedi dans une énorme rixe impliquant plusieurs centaines de personnes dans un cimetière du sud-ouest de Moscou, ont annoncé les autorités russes.
"A l'heure actuelle, nous avons 26 blessés et trois morts", a déclaré à l'agence Interfax un porte-parole des services de santé de la ville de Moscou, précisant que 23 personnes avaient été hospitalisés parmi lesquelles quatre se trouvaient dans un état grave. Un précédent bilan faisait état de deux morts et dix blessés, ainsi que de 50 arrestations.
Selon les médias russes, les affrontements à l'intérieur du cimetière de Khovanskoye, dans la banlieue sud-ouest de Moscou, ont impliqué au moins 200 immigrés d'anciennes républiques soviétiques d'Asie centrale et des habitants du Caucase russe. Des images diffusées par la chaîne de télévision russe LifeNews montrent des dizaines d'hommes, beaucoup armés de batons ou de barres de fer, se pourchassant à l'entrée et à l'intérieur du cimetière de Khovanskoye, le plus grand d'Europe avec une superficie de près de 200 hectares, tandis que des coups de feu pouvaient être entendus.
Le ministère russe de l'Intérieur a confirmé que des armes a feu avaient été utilisées au cours des affrontements, qui ont selon lui éclaté en raison d'un différend sur le droit de travailler sur le territoire du cimetière.
Est-ce bien le fait d’une ministre d’opposer deux citoyens français l’un contre l’autre, le curé et l’instituteur ?
C’est là la marque d’une violence inquiétante, d’un orgueil mortifère et d’une tyrannie déclarée. Voici ce que madame Najat Vallaud-Belkacem a déclaré à l’assemblée ce mercredi 11 mai 2016 : « Je retiens [de votre intervention. NDLA : elle répondait à la question de monsieur Alain Suguenot] que dans un fâcheux trouble amnésique vous oubliez que c’est […] d’avoir préféré le curé à l’instituteur pour transmettre les valeurs aux élèves qui a dévalorisé [l’école]. »
Je ne savais pas que j’étais considéré, par la ministre dont le rectorat me paie, comme un curé et non un enseignant d’une part, ni que d’autre part ma religion (qui ne constitue pas l’objet de la discipline que j’enseigne ni les programmes officiels, sauf a priori lorsqu’il s’agit d’aborder la question des relations interculturelles dans l’Antiquité notamment sous Auguste et Néron) dévalorisait l’école, une école dont le concept aujourd’hui exploité par l’enseignement public (jusque dans sa gratuité !) a pourtant été élaboré par les curés décriés (Saint Jean Baptiste de Lasalle au XVIIe siècle) et alors que ce sont ces mêmes prêtres qui ont inventé les ESPE (formation des enseignants).
Cette opposition rétrograde, puisqu’elle ranime les querelles entre les instituteurs et les curés du début du XXe siècle dans des stéréotypes d’un genre par ailleurs tout à fait discutable, ne constitue donc qu’une agression abusive et arbitraire, non une réponse professionnelle à une angoisse légitime.
On serait en droit d’attendre d’un ministre de l’Éducation nationale de sexe féminin ouverture d’esprit, créativité, écoute et apaisement, mais nous n’obtenons qu’idéologie, esprit réactionnaire, mépris et violence : il est au moins certain, madame Vallaud-Belkacem, que vous avez su combattre votre propre déterminisme…