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vendredi, 06 mai 2016

C’est reparti : la CGT s’en prend encore à la police !

Publié par Guy Jovelin le 6 mai 2016

Cette nouvelle attaque n’est pas anodine. Elle s’intègre dans une stratégie qui vise à affaiblir un État déjà fortement mis à mal.

Persiste et signe. La CGT, en publiant le soir du 1er Mai, sur son compte Facebook, une nouvelle affiche mettant en cause l’action des forces de l’ordre à l’occasion des manifestions Nuit debout, s’est clairement positionnée du côté des casseurs et des fauteurs de troubles qui sévissent place de la République depuis plusieurs semaines.

Cette attitude, que certains, même à gauche, qualifient de « gauchisation » de la centrale syndicale, n’a, en réalité, rien d’étonnant. En perte de vitesse chez les salariés et les travailleurs, à tel point qu’on la donne devancée par la CFDT lors des prochaines élections professionnelles. Malmenée par des affaires internes qui ont terni son image (cf. affaire Lepaon). Lourdement condamnée, il y a quelques mois, lors du procès du comité d’entreprise d’EDF. La CGT se voit contrainte par tous les moyens, y compris les plus vils, de tenter de redorer son blason en se posant comme le chevalier blanc de la réaction à la loi Travail défendue par le gouvernement actuel.

Il est vrai que de nombreux indicateurs lui permettent d’espérer un retour en grâce auprès des travailleurs.

Tout d’abord, une période électorale qui va lui permettre, par Mélenchon interposé, d’exister sur les terrains politique et revendicatif. Et peu importe que ce syndicat ait toujours soutenu, lors des élections, les partis de gauche, y compris celui qui ruine la France aujourd’hui ; il compte sans doute sur la mémoire courte de certains électeurs.

Ensuite, un État en déliquescence et un gouvernement au plus bas dans les sondages. On sait que l’extrême gauche, n’est jamais aussi active et déterminée que lorsque la société va mal et que les gouvernants sont dans l’incapacité de réagir. La CGT et ses affidés doivent déjà rêver de « la révolution culturelle » annoncée par le coprésident du Front de gauche. Enfin, la situation sociale, économique et financière du pays qui ouvre de larges brèches dans le tissu sociétal français, entretenant ainsi pour les extrémistes violents tous les espoirs d’un Grand Soir révolutionnaire.

Cette nouvelle attaque contre la police n’est donc pas anodine. Elle s’intègre dans une stratégie globale qui vise à affaiblir un peu plus encore un État déjà fortement mis à mal. Comptant sur les divisions qui touchent la majorité actuelle et la mollesse d’un président « peut-être-futur-candidat » qui ne sait pas, lui-même, comment remonter son déficit de popularité, la CGT espère bien se positionner en leader de la contestation en France.

Rarement notre pays aura été aussi fragilisé dans ses institutions, ses modes de fonctionnement et son unité citoyenne. Plus que jamais, la division menace et, avec elle, les risques d’une explosion sociale dont personne ne saurait dire où elle nous mènerait. La police, avec l’armée et la justice, doit rester ce socle solide sur lequel toute démocratie doit pouvoir s’ancrer en période de crise. Cela suppose qu’elle soit soutenue et défendue avec détermination.

 

Source : bvoltaire

Palmyre fête sa libération en musique avec l’orchestre symphonique de Saint-Petersbourg

Publié par Guy Jovelin le 6 mai 2016

Pamyre orchestre

L’orchestre de Saint-Petersbourg dirigé par le célèbre chef d’orchestre russe Valéri Guerguiev a donné un concert symphonique dans l’amphithéâtre de la ville antique de Palmyre, reprise en mars aux barbares islamistes par la coalition syro-russe. Le concert est accompagné de belles images de la ville aux vestiges vieux de plus de 2000 ans, ville classée comme patrimoine mondiale. La date du concert coïncide avec celle de la remise de la dépouille à la Russie de l’officier russe, Alexandre Prokhorenko, mort en héro à Palmyre.

Le concert est intitulé « Prière pour Palmyre: La musique redonne la vie aux anciens murs ». 400 spectateurs, dont de nombreux militaires, y ont assisté.

Vladimir Poutine a salué le concert comme un « extraordinaire acte d’humanité ». « Je le considère, a-t-il déclaré en outre, comme un signe de reconnaissance, d’hommage et d’espoir. La reconnaissance à tous ceux qui luttent contre le terrorisme sans ménager leur vie même, l’hommage à toutes les victimes du terrorisme et, bien sûr, l’espoir non seulement pour la renaissance de Palmyre, mais aussi pour la libération de la civilisation moderne de ce mal terrible, le terrorisme international », a notamment déclaré le président russe.
Ce concert intervient aussi, alors que l’armée russe a complètement terminé le déminage du site. Le président russe s’est engagé, par ailleurs, en coopération avec le pouvoir syrien, à restaurer les ruines antiques dans l’état où elles se trouvaient avant que l’Etat islamique en ait fait sauté une partie et vendu une autre partie.

Version courte du concert:

Version longue:

emiliedefresne@medias-presse.info

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 05 mai 2016

Antoine Griezmann, l’anti-Ribéry

Publié par Guy Jovelin le 5 mai 2016

Le contraste était saisissant, ce mardi, entre la classe d’Antoine et sa bonne éducation, et l’attitude d’un Ribéry, surexcité.

Ce mardi soir, sur le terrain du Bayern de Munich, se déroulait la première demi-finale de la Coupe d’Europe des clubs, que les « modernes » appellent la « Champions League ». Il y avait, au départ, un Français dans chaque équipe : Franck Ribéry pour les Allemands, et Antoine Griezmann pour les Espagnols de l’Atlético Madrid.
 
Tout le monde connaît le premier, et ses nombreux « exploits ». Un langage de racaille qui fait le bonheur des imitateurs, la grève en Afrique du Sud, en 2010, en solidarité avec son coreligionnaire Anelka, les prières musulmanes sur le terrain, l’affaire Zahia, un fils appelé « Glaive de l’islam », et même la construction d’une mosquée à l’intérieur du stade du Bayern… Bien évidemment, comme son complice Benzema, il n’a jamais daigné desserrer les dents au moment des hymnes nationaux. Il est aujourd’hui en fin de carrière, à 33 ans.
 
Peu de personnes connaissent Antoine Griezmann. Il a juste 25 ans, et c’est un rescapé du football français version multiculturelle. Il est blanc, plutôt frêle, beau, intelligent, bien élevé, et surtout talentueux. Pourquoi un rescapé ? Parce que, dans le football formaté qu’impose la direction technique nationale (DTN), il faut d’abord avoir un gabarit impressionnant pour intéresser les détecteurs de jeunes talents.
 
Rappelons la sordide polémique déclenchée par l’inévitable Plenel, relayée par « l’antiraciste » Thuram, en 2011. Le directeur technique national de l’époque, François Blaquart, s’était ému. À cause des problèmes de double nationalité, l’équipe de France formait de nombreux jeunes d’origine africaine qui, une fois la majorité atteinte, choisissaient leur pays d’origine pour devenir internationaux, au détriment des intérêts de notre équipe nationale.

D’autre part, le DTN s’était interrogé, à une époque où Barcelone dominait le football européen avec ses petits gabarits (Messi, Iniesta et Xavi), de l’importance donnée, dans les clubs de formation, aux joueurs d’origine africaine, sélectionnés essentiellement à cause de leurs qualités physiques. Le lynchage médiatique avait suivi ces déclarations pourtant empreintes de bon sens.
 
Antoine Griezmann est pourtant la preuve vivante de ce que disait Blaquart en 2011. Aucun club français n’a voulu le prendre, il y a 10 ans, dans son centre de formation, car il était jugé trop frêle. La mode, comme le disait Guy Roux, c’était « 80 % Africain, 10 % Maghrébin et 10 % Gaulois ». Pourtant, le Real Sociedad le repère, à 14 ans, et le fait venir en Espagne. Il devient à 20 ans la vedette du club et franchit un nouveau palier en signant au prestigieux Atlético de Madrid. En deux années, Antoine est devenu la vedette de l’équipe, l’homme qui respire le football qu’on aime. Il a une technique exceptionnelle, voit le jeu plus vite que les autres et a toujours le geste juste.
 
Le contraste était saisissant, ce mardi, entre la classe d’Antoine et sa bonne éducation, et l’attitude d’un Ribéry, surexcité, qui n’arrêtait pas d’engueuler ses partenaires, de protester auprès de l’arbitre, et d’être bien évidemment au centre de tous les points chauds du match.
 
Et que croyez-vous qu’il arriva ? Archi-dominé, l’Atlético de Madrid n’a eu qu’une seule occasion. Antoine Griezmann se retrouva seul devant Neuer, considéré comme le meilleur gardien au monde. La tête bien haute, sans trembler, il le fixa intelligemment et marqua le but, qualifiant son équipe.
 
Antoine était qualifié pour la finale, et Franck, malgré ses cinq prières par jour, était éliminé…

 

Source : bvoltaire

Bonne fête de l’Ascension

Publié par Guy Jovelin le 5 mai 2016

4 mai 2016 par admin4

Ce jeudi les chrétiens fêtent la montée aux Cieux du Christ, 40 jours après Pâques, devant ses disciples.

Introït de la messe du jour :
« Hommes de Galilée, pourquoi vous étonnez-vous en regardant le ciel ? Alléluia. De la même manière que vous l’avez vu monter au ciel, il reviendra, alléluia, alléluia, alléluia. »
On peut écouter l’introït et l’offertoire chantés, en fin de cet article.

Extrait d’un sermon du pape Saint Léon :

« Aujourd’hui, bien-aimés, s’achèvent les jours de la sainte quarantaine qui ont suivi la Bienheureuse et Glorieuse Résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ quand il releva le troisième jour par la puissance divine, le vrai temple de Dieu que l’impiété judaïque avait détruit.
Cette période, établie par une économie très sacrée, a servi utilement à notre instruction, car, en prolongeant durant tout ce temps sa présence corporelle, le Seigneur donnait ainsi les preuves nécessaires à la foi en Sa Résurrection.

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Un jeune Français, patriote, assassiné par la racaille

Publié par Guy Jovelin le 5 mai 2016

4 mai 2016 par admin4

Le jeune Gersois n'a pas survécu

Luigi Guardiera est décédé ce mercredi (source) : il avait été violemment agressé dimanche, sur le parking d’une boîte de nuit de Tarbes, par des racailles multirécidivistes. C’est le lot de nombreux Français victimes de la folle politique de ces dernières décennies, alors que le gouvernement ose encore dénoncer le prétendu racisme des Français.

Il était âgé de 23 ans.

C’était un patriote, qui avait été candidat FN aux élections départementales de 2015.

Il n’aura bien sûr pas le même traitement politico-médiatique que d’autres :