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mercredi, 18 mai 2016

Jusqu’où faudra-t-il descendre dans l’abjection ?

Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2016

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Dr Bernard Plouvier

Il y a quelques années, un premier ministre de la Ve République, le socialiste Lionel Jospin faisait l’apologie des mutins de 1917, sans trop réfléchir aux conséquences des actes de ces nobles consciences si le mouvement s’était généralisé, en un moment où l’armée allemande était encore puissante et fort motivée. On peut comprendre que la tradition pacifiste et antimilitariste des Jospin s’exprime de façon privée. Le faire publiquement, lorsqu’on est aux affaires demande à la fois plus de subtilité, davantage de connaissances historiques et sociologiques, en un mot : de réflexion.

On pouvait préférer un Mitterrand qui, en dépit de ses innombrables tares, refusait de souiller l’État dont il avait la charge en lui reconnaissant la moindre responsabilité dans la Shoah… il fallut attendre Chirac pour que l’on assiste à cette ignominieuse repentance.

L’ennui avec une descente aux enfers, c’est qu’elle induit une surenchère perpétuelle dans l’ignominie. En 2016, on imagine de faire venir à Verdun un rappeur musulman très engagé dans l’islam conquérant et la haine anti-Blancs, pour… au fait dans quel but ?

On comprend bien qu’à une année d’élections qui vont remettre en question l’attribution d’une grande partie des sinécures dorées de la Ripoublique, les socialistes au bilan catastrophique ratissent au plus large et ne veulent laisser passer aucune voix musulmane.

Un autre but, pour nos féaux de la globalo-mondialisation, serait de prôner plus que jamais le pacifisme & l’antimilitarisme, en ridiculisant les anciens combattants, de Verdun et d’ailleurs, de 14-18 et de toutes les guerres… et vas-y que je te désinforme un peu plus sur la Guerre d’Algérie et la repentance pour la colonisation. Il y a un public de gogos pour ces âneries qui, en dépit de leur fausseté historique, font toujours recette. Item, donc, des voix de bobos à engranger.

D’autant que Môaaa Président d’un État surendetté n’a rien trouvé de mieux que de donner son accord pour financer un Musée de l’esclavage… où l’on omettra probablement d’insister sur les fournisseurs, ces « rois nègres » qui vendaient des Noirs aux marchands d’esclaves musulmans et/ou juifs, qui les revendaient à des exportateurs juifs ou chrétiens (vers l’Ouest : la Traite transatlantique) ou des exportateurs juifs et surtout musulmans (pour la Traite vers l’Est : péninsules arabique et indienne, Moyen-Orient, Insulinde etc.). Item : les voix des DOM-TOM entrent en urnes.

De la même façon, nul ne réagit à l’organisation, au sein de la contestation potacho-estudiantine, de cellules racistes, c’est-à-dire strictement réservées aux extra-européens de souche. Cela se passe en France, l’An 2016, où divers clowns ministériels distribuent en permanence des leçons fort stéréotypées (et en un français parfois approximatif) sur la tolérance, le « vivre ensemble », l’intégration-assimilation et – suprême confiserie - : les sacro-saints Doits de l’homme… dont la déclaration fut rédigée, en 1776, par le richissime planteur virginien Thomas Jefferson, qui était un esclavagiste, qui jamais ne reconnut son bâtard mulâtre. L’étude historique est une perpétuelle source de petites joies. Ohé, les fêtards de gauche, c’est encore un grand anniversaire à mettre en scène : 240 années de désinformation !

Que les socialistes de salon, alliés aux écologistes bobos et aux dinosaures marxistes, fassent dans la pire démagogie, cela n’étonnera personne : ils jouent dans leur cour et restent fidèles à leur registre. N’en subissant eux-mêmes, ni par leurs proches, aucune conséquence directe, ils se moquent des incendies de voitures, du vandalisme des biens publics et privés, des vols, viols et assassinats perpétrés de façon pluri-hebdomadaire par des « jeunes », fruits pourris de cette immigration d’origine extra-européenne qu’ils favorisent ouvertement et dont ils assurent la promotion par la très antidémocratique « discrimination positive ».

En revanche, si la majorité de la Nation autochtone, c’est-à-dire de souche européenne, ne réagit pas très vigoureusement par une sanction d’élimination aux scrutins de 2017, la France passera, une fois de plus, à la traîne de la Grande-Bretagne, et nul ne pourra s’étonner si un musulman devient maire d’une grande ville. La veulerie se paie très cher.

Il est inutile d’hurler : « Au secours Jeanne ! ». Il suffit de se souvenir de notre plus grand fabuliste : « Aides-toi et le ciel t’aidera ».

 

Source : synthesenationale

Les policiers, ulcérés, manifestent dans toute la France

Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2016

Le 3 mai 2016 à Toulouse lors d'une manifestation contre la loi travail. 

VIDÉO - Cible des casseurs lors des manifestations contre la loi travail, les forces de l'ordre attendent des consignes claires. La grogne gagne dans le pays. Ce mercredi, de 12h à 14h, la profession s'apprête à battre le pavé.

Avis de tempête dans la police. Selon un dernier bilan, 343 policiers et gendarmes ont été blessés en deux mois et demi de débordements émaillés de slogans radicaux tels que «tout le monde déteste la police» ou encore «un policier, une balle». La coupe est pleine.

Ce mercredi 18 mai, de 12 à 14 heures, la profession s'apprête à battre le pavé à travers le pays pour exprimer son ras-le-bol. Ce mouvement de grogne, rarissime, devrait mobiliser dans une quarantaine de grandes villes des milliers de gardiens et de gradés ulcérés, mais aussi des bataillons d'officiers et des commissaires de police.

À Paris, le rassemblement est prévu sur la place de la République, précisément là où se réunit le mouvement Nuit debout depuis le 31 mars. Les gendarmes, sollicités pour assurer le maintien de l'ordre quand les policiers manifestent, ont prévu un «gros dispositif» pour éviter les incidents.

 

«Mettre un terme à une campagne de stigmatisation et de lynchage»

«La place appartient à tout le monde, et pas seulement à ceux qui ont choisi le totalitarisme de la rue, prévient d'emblée Patrice Ribeiro, patron de Synergie Officiers. Il est grand temps de dire stop à la haine anti-flic. Nous voulons mettre un terme à une campagne de stigmatisation et de lynchage qui était jusqu'alors l'apanage de l'extrême gauche et qui trouve désormais un écho jusqu'à la CGT et chez Mélenchon.» Ce responsable est sans détour: ses collègues envoyés en première ligne pour disperser les irréductibles sont aujourd'hui la cible de «casseurs professionnels et entraînés pour blesser, mutiler ou tuer».

Persuadé que l'«esprit Charlie» dont ont bénéficié les forces de l'ordre au lendemain des attentats de janvier 2015 ne peut être écorné par une «minorité agissante de voyous politisés», le syndicat Alliance a appelé tous les citoyens à rejoindre les rassemblements de mercredi et signer une pétition nationale de soutien. Tandis que des voix continuent à s'élever du tissu associatif pour dénoncer les «coups de tonfas» des unités mobiles, les CRS, quant à eux, devraient déposer symboliquement casques et boucliers. Comme pour conjurer une spirale de violence dont plus personne ne voit la fin.

 

Source : lefigaro

mardi, 17 mai 2016

SOS RACISME: TOUCHE PAS A MES AIDES! par Fabrice Durtal

Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2016  

Par Fabrice Durtal.

sos racisme credits sos racisme concert (licence creative commons)

Une bérézina : à peine une vingtaine de personnes s’étaient réunies, en novembre dernier, sur le campus de Poitiers pour assister à l’assemblée générale constitutive d’un comité local de SOS Racisme. Il est loin le temps où les « potes » défilaient par milliers dans les rues de Paris pour créer un «cordon sanitaire» autour du FN. Aujourd’hui, à Poitiers comme ailleurs, l’association ne fait plus recette.

SOS Racisme ne fait plus recette mais a besoin d’argent et même de beaucoup d’argent si on se réfère aux demandes de subventions que l’association a adressées il y a un an à l’ACSÉ (Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances, sur cette agence lire notre article « L’ACSÉ, un guichet à subventions »).

CC

Dans ce document, que Les Enquêtes du contribuable est parvenue à se procurer en exclusivité, l’association qui table sur un budget prévisionnel de près de 1,4 million d’euros en 2013, ouvre grande sa sébile. Après avoir encaissé 177 500 euros en 2011, puis 235 800 euros en 2012, elle réclame à nouveau, le 19 mars 2013, 160 000 euros au titre des aides qu’elle dispense aux victimes de racisme ou de discrimination ; 100 000 euros pour ses actions d’éducation populaire au nom du «vivre ensemble» et 75 000 euros pour une «mobilisation citoyenne par l’action militante».

sos racisme rené le honzec

Selon une note interne, il semble que Naïma Charaï, présidente de l’ACSÉ et conseillère régionale PS d’Aquitaine ait décidé de bien beurrer la tartine des potes en leur accordant immédiatement 150 000 euros d’aides. L’histoire ne dit pas si d’autres rallonges ont été accordées après le 19 mars 2013, l’association de Dominique Sopo quémandant aussi des subsides à travers un satellite comme la Fédération nationale des maisons des potes (FNDMP).

L’ACSÉ n’est pas la seule instance gratifiant cette association qui est progressivement passée de la défense des immigrés à la stigmatisation des autochtones. Si on se fie au budget prévisionnel que l’association a présenté à l’agence lors de sa demande de subventions, elle est aussi perfusée par le ministère de l’Éducation nationale, le ministère de la Jeunesse et des Sports, la Ville de Paris, le Conseil régional d’Ile-de-France, sans qu’il soit possible d’évaluer ce qu’elle perçoit aux échelons locaux puisque le total de ces aides n’est pas comptabilisé.

À côté de ces monceaux d’argent public, SOS Racisme a estimé que les cotisations, dons et legs représenteraient une somme nulle lors de l’élaboration du budget prévisionnel 2013, ce qui en dit long sur son assise populaire.

 

Source : http://www.temoignagefiscal.com/

Eurovision : grossière manipulation anti-Poutine

 

EurovisionJe n’ai jamais été fan de cette manifestation de la société du spectacle (mon dernier souvenir personnel remonte à 1977) et cela ne risque pas de changer car je constate amèrement (mais sans surprise) que ce concours est devenu aujourd’hui la tribune propagandiste d’une bien pensance suicidaire…

Il nous avait déjà sorti une femme à barbe, voilà qu’il nous impose cette année une incendiaire. ..

L’Ukraine vient donc de remporter cette édition avec une chanteuse tatare originaire de Crimée qui a interprété « 1944 », une chanson rappelant les déportations des tatars réalisées sous le régime de Staline….

Le thème choisi de cette chanson et son élection dans un contexte de crise ukrainienne, ne trompe personne…

C’est un message russophobe.

Pourtant le règlement de l’Eurovision interdit toute chanson à caractère politique. Mais pour imposer l’inacceptable, soit on prend les gens pour des cons, soit on joue au con comme les organisateurs du concours qui ont jugé que « la proposition ukrainienne ne contenait pas de message politique » !

Or cette chanson est bien une nouvelle provocation anti-russe et surtout un soutien provocateur au pouvoir de Kiev, celui qui nie la décision du peuple de Crimée de choisir son destin, mène une politique de répression vis à vis des russophones et bombarde la population du Donbass depuis 2 ans…

Réactiver ainsi les plaies du passé pour dénaturer celles du présent relève d’une grossière tentative de manipulation des consciences…

Cette chanson n’est ni plus ni moins que de l’huile jetée sur le feu….

Il est bien fini le temps où l’eurovision offrait aux peuples d’Europe les rêves de paix partagés entre « un enfant aux yeux de lumière et un oiseau bleu survolant la terre » (Marie Myriam 1977, l’enfant et l’oiseau)

Aujourd’hui l’Eurovision se fait l’apologie de l’obscénité ou de la haine et cherche à conditionner les mentalités pour un nouveau carnage européen.

Erwan Castel

 

Source : ripostelaique

Fric en Suisse et froc en berne : tout le monde savait !

Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2016

Rédigé par Louis Blase le 16 mai 2016

M. Denis BAUPIN Dans l'Hémicycle
Paris
Photo souvenir prise au début de la 14ème législature

M. Denis BAUPIN Dans l'Hémicycle Paris Photo souvenir prise au début de la 14ème législature

Strauss-Kahn, «tout le monde savait», Cahuzac, «tout le monde savait», Thévenou, «tout le monde savait», Baupin, «tout le monde savait», Sapin, «tout le monde savait». En France, une femme sur cinq est victime de harcèlement sexuel, notamment dans les couloirs libidineux de l’Assemblée Nationale. Cécile Duflot s’épanche et inaugure un nouvel idiotisme politique : «j’ai envie de te faire une baupin».

Pour lamentable que soit les voyoucraties de la gôche morale et de la droâte amorale réunies, pour des affaires d’argent planqué ou de mains libérées au mauvais endroit, les tribunaux médiatiques qui jugent avec autant de rapidité qu’ils condamnent le sont tout autant, lamentables ! Que voulez vous, la société française s’est américanisée, avec toutes les basses manœuvres visant à gagner les parts du marché électoral, et toutes les manipulations d’opinion visant à évacuer les compétiteurs. Pauvre France, aspirée dans les égouts de la politique la plus vile, qui fera la ménage ?

Où est l’intérêt pour la politique française d’assister à l’épanchement de la pin-up Emmanuelle Cosse, du vain Noël Mamère, de l’insignifiante Cécile Duflot, et j’en passe, sur le cas d’un Dom Juan de plus ? Assistons nous à un assassinat politique ? L’acharnement dérisoire d’EELV ressemble tout à fait à un règlement de compte. Quand bien même, où est la dignité de la classe politique pour s’émouvoir sur le cas d’un voyou (un de plus), quand il suffit de le désigner au juge dont le métier est précisément de juger, dans le respect de la présomption d’innocence ?

Les Français rejettent autant les mœurs dissolues d’une certaine classe politique, que la manière médiatique de traiter le mal, qui se révèle un mal encore plus grand.

 

Source : 24heuresactu