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mercredi, 04 mai 2016

Pourquoi il faut soutenir les forces de l’ordre face aux casseurs…

Publié par Guy Jovelin le 4 mai 2016

Sans police, bras armé de l’État, la société tomberait dans l’anarchie — probablement souhaitée par nombre de militants d’extrême gauche.

 

Les images font le tour du Web, à défaut d’indigner dans les rédactions : sur la Toile, de nombreux clichés dévoilent des policiers gisant sur le sol, après avoir été frappés par des « casseurs » — la nouvelle figure médiatique —, lynchés par des bandes de voyous, atteints par des projectiles lancés par les manifestants croyant pouvoir déliter en 2016 ce que leurs aînés avaient déjà défait en mai 68.

Dans la foulée de ces événements, le cinéaste italien Pier Paolo Pasolini, occupant pourtant une place de choix dans l’empyrée de la gauche moderne, déclarait avec succulence : « Entre un CRS et un étudiant, je choisis le policier, car lui est fils d’ouvrier. »

Les médias, en revanche, ont choisi le camp opposé et se plaisent à faire tourner en boucle les quelques cas de violences policières, certes regrettables, et qui doivent être condamnés pour maintenir l’intégrité de la profession, mais inévitables au vu de la dégradation de la situation et des moyens sans cesse plus violents utilisés par les sauvageons vaguement idéologisés et biberonnés à la haine de l’autorité.

Le syndicat Info’Com de la CGT a surenchéri en publiant une nouvelle affiche polémique sur laquelle le slogan « Loi travail, stop à la répression » renvoie aux traces de sang maculant un trottoir foulé par des bottillons policiers.

L’inénarrable et irrécupérable Daniel Cohn-Bendit, jamais avare d’un amalgame, a quant à lui déclaré : « Il y a des casseurs qui votent Front national au sein de la police. »

Heureusement, pour atténuer le propos, Renaud se targue désormais d’avoir embrassé un « flic » — notez l’utilisation d’un terme vulgaire et peu respectueux pour qualifier la profession — dans son dernier opus.

À cette aune, on ne sait si être policier, à une époque où l’autorité est déconsidérée et où le monopole de la violence légitime a changé de camp, relève du courage, du sens du devoir ou du… masochisme.

Chaque année, partout en Europe, de nombreux policiers mettent ainsi fin à leur jour. En 2015, 45 policiers et 25 gendarmes se sont suicidés en France, ce qui représente une surmortalité par rapport à la moyenne nationale. Les remerciements adressés aux familles par les autorités ne sauraient combler leur peine.

Autant que l’État, les forces de l’ordre défendent, au quotidien, le vivre ensemble avec beaucoup plus d’efficacité que les officines antiracistes, agissent au nom d’une certaine vision de la vie en commun et garantissent in fine l’ordre qui, pour reprendre le mot de Charles Péguy, est seul à pouvoir garantir la liberté.

Sans police, bras armé de l’État, la société tomberait dans l’anarchie — probablement souhaitée par nombre de militants d’extrême gauche —, la dictature de la délinquance — qui a déjà cours dans certains quartiers abandonnés — et la chienlit, avant de terminer dans la guerre civile. C’est pour éviter de sombrer dans de tels extrêmes qu’il importe de soutenir les forces de l’ordre face aux casseurs.

 

Source : bvoltaire

mardi, 03 mai 2016

En France, mieux vaut casser du flic que critiquer l’islam !

Publié par Guy Jovelin le 3 mai 2016

Depuis deux mois, qu’ai-je vu, dans la mouvance du combat contre l’islamisation de la France à laquelle j’appartiens ?

Dans un excellent article paru surBoulevard Voltaire, Floris de Bonneville imaginait le discours que tiendrait François Hollande s’il se comportait vraiment en président de la République, suite aux agressions graves des forces de l’ordre qui se déroulent en France depuis plusieurs semaines.

Récemment, après la publication d’une affiche anti-flics de la CGT, le ministre de l’Intérieur s’était senti obligé de défendre ses hommes en rappelant qu’en 2015, 18.000 policiers et gendarmes avaient été blessés en service. Cela représente tout de même 50 membres des forces de l’ordre mis hors de combat chaque jour.

Sans doute par pudeur, Cazeneuve n’a pas ajouté que les seules forces organisées qui attaquaient la police étaient les racailles islamisées et les milices gauchistes.

On pourrait attendre, quand 150 des nôtres ont été exécutés par des soldats d’Allah en 2015, que l’appareil d’État, sa police, sa justice, son armée mettent toutes leurs forces pour éradiquer la menace islamiste. Pour cela, le gouvernement devrait permettre aux forces de l’ordre de protéger efficacement les Français, en arrêtant d’avoir 50 blessés tous les jours. Il devrait, d’autre part, donner des consignes à la justice pour qu’elle cesse de persécuter ceux qui, en expliquant ce qu’est réellement l’islam, permettent aux Français de comprendre pourquoi, depuis le 11 septembre 2001, 29.000 attentats mortels ont été commis au nom de ce dogme.

Mon expérience m’amène à constater qu’on est loin de ces priorités, dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve. Depuis deux mois, qu’ai-je vu, dans la mouvance du combat contre l’islamisation de la France à laquelle j’appartiens ?

Caroline Alamachère, rédactrice d’un site de réinformation, a été condamnée, le 10 mars dernier, par la 17e chambre, à 8.000 euros de dommages et intérêts à verser à une directrice d’école catholique, et à une amende de 1.500 euros. Son crime : avoir protesté contre le fait que, dans cette école, les élèves avaient dû apprendre par cœur une sourate du Coran.

Alain Jean-Mairet, président (suisse) d’un site répondant du droit helvétique, a été condamné par la même instance à 5.000 euros d’amende et à payer 3.000 euros à la LICRA. Son crime : avoir, sur ce site, autorisé un apostat de l’islam, tunisien, à publier un texte très critique sur les dérives sexuelles qu’autorisent les textes sacrés de l’islam. L’argument avancé : à cause d’Internet, l’article était disponible en France ! Notre pays s’est donc autoproclamé police mondiale contre l’islamophobie.

Le 14 avril dernier, j’ai été victime d’une perquisition en mon domicile. Sur commission rogatoire d’un juge parisien, les policiers m’ont « confisqué » mon téléphone portable et mon ordinateur. Mon crime ? Je suis suspecté (sans le début de la moindre preuve) d’être le misérable qui aurait envoyé un tweet représentant Anne Hidalgo, à genoux, en train de lécher une babouche musulmane, le jour où elle commémorait le ramadan, dans sa mairie. J’ai donc dû puiser dans mes économies pour me rééquiper au plus vite.

Quelques jours après, la dessinatrice Ri7 était convoquée par la même juge, et se voyait mise trois fois en examen ! Son crime : avoir été l’auteur du dessin incriminé, et qu’il ait été repris dans trois articles sur Riposte laïque !

Je conclus donc de tout cela que, dans la France socialiste, c’est bien d’être Nuit debout ou antifa. On peut casser du flic, on peut manifester, même pendant l’état d’urgence, on peut occuper la place de la République trois semaines durant en toute impunité, la transformer en dépotoir et en urinoir géant, vandaliser les boutiques, symboles du capitalisme et de l’exploitation, et aller se coucher tranquillement, à l’aube, sans être inquiété, en retrouvant son ordinateur à la maison.

Et en plus on est bichonné par les médias et invité sur les plateaux de télévision.

Je crois bien que je vais redevenir gauchiste : c’est nettement moins dangereux que de lutter contre l’islam !

Source : bvoltaire.fr

Sun Cops, la nouvelle association de policiers musulmans

Publié par Guy Jovelin le 3 mai 2016

belgique-police

Belgique – Des policiers d’origine allochtone ont décidé de créer une association nationale appelée Sun Cops Belgium. L’association sera présentée à la commissaire générale Catherine De Bolle avec pour objectif  « de promouvoir dans le corps de police et le public, une politique de diversité encore plus importante puisque chargée d’assurer une visibilité, une reconnaissance et une défense des employés d’origine allochtone de la police belge« .

En réalité, Sun Cops est une initiative de policiers musulmans et sent bon le communautarisme. L’un de ses fondateurs précise d’ailleurs à la presse : « Les policiers allochtones sont en guerre contre Daech. Ce n’est pas apparu que pour Daech, nous sommes des traîtres et des apostats. » Cette allusion à l’apostasie montre bien que, dans l’esprit de Sun Cops, l’expression « policiers allochtones » est un cache-sexe pour parler de policiers musulmans. 

Et l’un des fondateurs de Sun Cops d’ajouter : « Nos sommes une minorité mais quand même des centaines. Vous avez des policiers allochtones comme inspecteurs de quartier comme vous en avez jusque dans les Unités spéciales. Et il y a un effet boule de neige. Nous sommes nombreux à avoir convaincu des jeunes de quartier à entrer dans la police, y compris des jeunes filles, et ils deviennent des policiers exemplaires« .

Après l’association des policiers homosexuels (Rainbow Cops Belgium), voici l’association des policiers de confession musulmane. De quoi augmenter la méfiance des citoyens à l’égard de la police et faire douter de l’impartialité de policiers à la démarche communautariste.

 

Source : medias-presse.info

lundi, 02 mai 2016

Bordeaux : Un commerçant musulman condamné pour discrimination

Publié par Guy Jovelin le 2 mai 2016

Bordeaux : Un commerçant musulman condamné pour discrimination

 

Jean-Baptiste Michalon (Yahaya de son nouveau prénom), commerçant à Bordeaux, avait en 2015 établi des jours d’ouverture différents pour les hommes et pour les femmes (voir notre article du 23 juin 2015).

Situé dans un quartier à forte proportion immigrée (Saint-Michel), le commerce avait créé la controverse après avoir apposé sur la vitrine une affichette indiquant des jours d’ouverture distincts pour « les frères » et « les sœurs ». Les femmes étaient ainsi invitées à se rendre dans le magasin uniquement les samedis et dimanche.

jean-baptiste-michalonLes propriétaires du commerce, un jeune couple converti à l’islam, s’étaient défendus en invoquant un motif religieux. « Je ne savais pas que j’étais hors-la-loi. C’est pour les gens qui sont très croyants et leur faciliter la pratique de la religion », expliquait Yahya Michalon (photo) à France 3 Aquitaine. « Cela s’adressait à un public averti, qui sait que notre pratique de la religion n’autorise pas la mixité. Ce n’est pas une obligation, chacun fait ce qu’il veut ».

Cet épicier-libraire musulman a été condamné lundi par le tribunal correctionnel de Bordeaux à deux mois de prison avec sursis et une amende de 500 euros pour discrimination dans son commerce, a indiqué mardi Me Tristram Héliot, son avocat, confirmant une information du journal Sud-Ouest.

Aujourd’hui, le commerçant, quitté par sa femme, est au RSA. « Il a tout perdu et on a un peu le sentiment d’une double peine« , estime son conseil.

 

Source : infos-bordeaux

Carl Lang a-t-il de l'avenir dans le "camp national" ?

Publié par Guy Jovelin le 2 mai 2016

Bruno Larebière est interrogé sur Atlantico. Extrait :


carl lang,camp national"Jean-Marie Le Pen n'est pas éternel. Sa fille étant spirituellement déshéritée, quels seront les héritiers de la ligne politique originelle du FN ? Marion Maréchal-Le Pen, qui tente de maintenir les liens entre les deux bords ? L'un des membres de sa garde rapprochée (Bruno Gollnisch, Carl Lang) ? Une nouvelle figure comme le très polémique Henry de Lesquen ?

[...] Si l’on prend votre question comme celle de la possibilité que l’extrême droite soit fédérée sur le plan électoral, c’est Carl Lang, ancien secrétaire général du FN qui a fondé le Parti de la France (PDF), qui me semble le mieux placé pour réussir cette synthèse. On aura une première occasion de la mesurer avec les élections législatives de 2017, où il est probable qu’il présentera un nombre de candidats suffisant pour partir en quête du financement public et lancer véritablement son parti.

Si on ne peut pas exclure des candidatures dissidentes de ces dissidents du Front national, Carl Lang est le seul à avoir une personnalité reconnue, en raison de son absolue fidélité militante, et à tenir un discours qui fait consensus dans le "camp national", en plus de disposer de la structure qui lui permettra de partir au combat électoral. [...]"

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige