Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 08 septembre 2016

C’était un 8 septembre… 1944

Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2016

8 septembre 2016 par admin4

Arrestation de Charles Maurras.

Ce chef et penseur nationaliste et royaliste, âgé de 76 ans, est arrêté pour « faits de collaboration » et sera condamné à la prison à perpétuité pour « intelligence avec l’ennemi », bien qu’il fut sa vie durant d’une grande hostilité à l’Allemagne.

L’arrestation est faite sur ordre d’Yves Farge, nommé par De Gaulle « Commissaire de la République » pour la région rhodanienne. Farge était un dirigeant communiste, engagé dans la « Résistance » (après la rupture du pacte germano-soviétique), qui reçut le « prix Staline pour la paix » (sic).

 

Source : contre-info

mercredi, 07 septembre 2016

Habillées en short, leurs maris et amis se font passer à tabac

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2016

police garde à vueHabillées en short, leurs maris et amis se font passer à tabac


TOULON FAITS-DIVERS

C’est un déferlement de violence qui a eu lieu dimanche dernier, en début d’après-midi à Toulon.
La sortie familiale à vélo et à rollers a tourné court après un passage à proximité de la cité des Œillets, dans les quartiers Est de Toulon.

Deux couples, un ami et trois enfants sont sur la piste cyclable, quand ils sont pris à partie par un groupe d’une dizaine de personnes.

Ce qui ne va pas? Ce sont les shorts que portent les deux femmes.

Elles sont insultées très vulgairement et on leur lance peu ou prou de se mettre carrément nue.Les trois hommes du groupe réagissent. Ils demandent qu’on les respecte. Le groupe venu de la cité va fondre sur eux et les passer à tabac.

Le plus grièvement blessé s’est vu prescrire 30 jours d’ITT. Deux hommes ont été déférés ce mardi après-midi devant le parquet de Toulon.

Une autre affaire avait éclaté en juin. Maude Vallet, une toulonnaise de 18 ans, avait été prise à partie par une bande de filles qui jugeaient sa tenue - un short - inappropriée.

 

Source : varmatin

Paris: deux personnes en garde à vue après la découverte de bonbonnes de gaz AFP

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2016

AFP
Modifié le - Publié le | AFP

A quand le jugement des juges ?

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2016

Salle de l'Assemblée générale du Conseil d'État 

Une très grande majorité des gens ignorent qui sont Thierry Tuot, Bernard Stirn, Jacques-Henri Stahl. Il s'agit des trois Conseillers d'Etat qui ont rendu l'ordonnance du 26 août dernier, annulant l'arrêté pris par le maire de Villeneuve-Loubet pour interdire le port du Burkini sur les plages de sa commune.

Bien sûr, nous ne remettons pas en cause la Justice, dans son ensemble. Nous constatons simplement que beaucoup de juges politisés (à gauche, évidemment...) prennent leur décision pour des raisons plus souvent idéologiques que « de Droit ». Tout comme tant de journalistes, dont l'immense majorité confond « carte de presse » et « carte de parti » : parti immigrationniste, parti du politiquement correct...

Un exemple ? En voici même quatre ! Le juge Tuot a parlé (en 2013) du «prétendu communautarisme », la question musulmane étant  « une pure invention ». « Non, l'Islam ne génère pas le terrorisme », disait-il; et aussi  « nous ne sommes pas à la veille d'une guérilla urbaine menée par les territoires en sécession ravagés par l'intégrisme terroriste ». (Cité sur le blog d'Yvan Rioufol)

Jusques à quand ce scandale des juges va-t-il durer ?

 

Source : lafautearousseau

Attentat islamique dans la prison d’Osny, suivi d’un rituel religieux avec le sang de la victime, comme s’il s’agissait d’un mouton

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2016

Afficher l'image d'origine

Bilal Taghi, un détenu islamique de la maison d’arrêt d’Osny (Val-d’Oise), condamné pour avoir tenté de rejoindre la Syrie, a poignardé pour les tuer, deux gardiens dimanche 4 septembre 2016. 

« Les éléments que l’on a aujourd’hui rassemblés constituent pour nous toutes les preuves nécessaires pour que l’on puisse parler d’un acte terroriste ».  Après avoir agressé un surveillant avec une lame très effilée d’une quinzaine de centimètres, l’agresseur une fois maîtrisé et enfermé  « a pris le sang du surveillant pour dessiner un cœur sur la porte d’une cellule, avant de lever un doigt au ciel puis de s’agenouiller pour prier », comme s’il offrait ce sacrifice à Allah. Sur BFMTV, Jean-François Forget, secrétaire général du syndicat pénitentiaire UFAP-UNSA qui témoigne, donne des précisions sur le rituel religieux que cet ennemi de la France a suivi avec le sang du surveillant qui évoque le sacrifice rituel d’un mouton.

Le prisonnier a reconnu lors de sa garde-à-vue avoir prémédité son acte, indique le délégué régional FO, Jérôme Nobécourt, de plus, précise-t-il, il connaissait Larossi Abballa, l’islamiste qui a tué les deux policiers à Magnanville et qui a appelé, dans une vidéo, au meurtre de surveillants de prison. Très fier d’avoir accompli sa tentative de massacre et non assouvi, Jérôme Nobécourt ajoute que lorsque les membres d’une équipe d’intervention viennent déloger l’islamiste, celui-ci leur fait face « avec son arme à la main et souriant », avant d’être maîtrisé d’une balle de caoutchouc en pleine poitrine.

Né à Trappes dans les Yvelines, Bilal Taghi avait été condamné en mars à cinq ans d’emprisonnement pour avoir tenté de rejoindre les combattants islamistes en Syrie. Placé de nouveau dans l’unité de prévention de radicalisation de la maison d’arrêt du Val-d’Oise, le terroriste islamique Bilal Taghi fait l’objet d’une enquête pour« tentative d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste »

Le déroulement des faits

Les faits se sont produits dimanche, vers 15 heures, au moment de la promenade. Les détenus radicalisés, qui occupent les deux étages d’une aile dédiée de la Mavo, rejoignent leur cour. Le surveillant chargé du 1er étage découvre qu’un des détenus se présente avec une grande serviette. Il lui demande de la remettre dans sa cellule. Mais le linge dissimule une arme artisanale : un poinçon long d’une quinzaine de centimètres.

Bilal T. [les gros médias ne mentionnent que l’initiale de son nom, ndMPI] se retourne alors brutalement vers le surveillant et le frappe dans le dos. Le gardien tente de s’échapper, poursuivi par son agresseur qui le rattrape et lui inflige un second coup dans le cou. Le poinçon lui transperce la gorge, « de part en part », précise encore Jérôme Nobécourt. Un second surveillant intervient pour le secourir, et reçoit un coup de poinçon au biceps puis au visage. Les deux gardiens parviennent néanmoins à isoler le détenu, avant de l’enfermer dans le bâtiment en compagnie de cinq autres prisonniers. (Le Parisien)

Le premier gardien a eu la gorge et le thorax transpercé par la lame très effilée qui est passée à 2 millimètres de la carotide et à 3 mm du poumon. Son collègue qui est alors venu lui porter secours a été blessé à son tour, mais avec un autre surveillant ils ont réussi à maîtrisé l’homme. Malgré la brutalité de l’attaque le poinçon n’a touché aucun organe vital. « C’est miraculeux », confie un surveillant. La victime est toujours hospitalisée. Son collègue, moins gravement touché, a quitté l’hôpital.

Le parcours de candidats au djihad

Cet ennemi de la France, né, instruit et nourri en France, dont deux des frères ont rejoint les rangs de l’Etat islamique (EI), avait quitté la France avec sa compagne et deux amis, dix jours après l’attentat contre « Charlie Hebdo » revendiqué par Al Qaïda (et non par l’Etat islamique).

Munis d’un faux carton d’invitation pour un mariage en Turquie, ils comptaient passer sans encombre les frontières en voiture jusqu’à Istanbul. Alors qu’ils touchaient presque à leur but, un banal accident de la circulation a mis fin à leur rêve de djihad… 

Au moment de son procès, Bilal T. [les gros médias ne mentionnent que l’initiale de son nom, ndMPI], à l’attitude désinvolte clairement affichée, avait tenté de convaincre la cour que son départ en Syrie était motivé par la « volonté d’aller y chercher un de ses frères ». L’autre ayant été déclaré mort au combat par l’EI. (Le Parisien)

Des détenus « cocoonés » dans leur prison: cours d’escrime et de kynésithérapie