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mercredi, 04 octobre 2017

Discours d'Alain Escada, Président de Civitas lors de la XIème journée de Synthèse Nationale

 

 

Alain Escada, Président de Civitas

L’Algérie interdit aux immigrés noirs de monter dans les bus et taxis

Publia par Guy Jovelin le 04 octobre 2017

Ecrit parNsango ya Bisu

L’Algérie entend bien mettre fin à la migration subsaharienne sur son territoire, et prend des mesures drastiques qui feraient bondir si elles étaient prises en Europe. Ainsi, une directive émanant du ministère des Travaux publics et des Transports et datée du 24 septembre 2017 enjoint les directions des sociétés de bus et de taxis d’interdire l’accès de leurs véhicules aux immigrés africains sous peine d’exposer les contrevenants au retrait définitif de la licence d’exploitation.

Cette mesure considérée comme raciste par plusieurs journaux africains, vise à empêcher les déplacements des immigrés africains.

Ces derniers jours, des centaines d’immigrés clandestins africains ont été arrêtés par des unités de l’ANP dans la wilaya de Tamanrasset. Selon les derniers chiffres disponibles, 25.000 Subsahariens en situation irrégulière, essentiellement originaires du Mali et du Niger, sont recensés actuellement en Algérie.

En juillet dernier, Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet du président Abdelaziz Bouteflika, avait déclaré :

«Les étrangers en séjour irrégulier amènent le crime, la drogue et plusieurs autres fléaux.»

«Ces gens-là sont venus de manière illégale […]. On ne dit pas aux autorités ‘jetez ces migrants à la mer ou au-delà des déserts’, mais le séjour en Algérie doit obéir à des règles.»

Ahmed Ouyahia avait alors été soutenu par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel.

 

Source : medias-presse.info

Perpignan : menacées, une mère et ses filles n'osent plus sortir de chez elles

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2017

LAURE MOYSSET

Perpignan : menacées, une mère et ses filles n'osent plus sortir de chez elles

Le quartier de Vernet Salanque.
L'INDÉPENDANT
 

Une mère et ses quatre filles, qui vivent dans un immeuble HLM de Vernet-Salanque, lancent un appel de détresse.

"Ceci est un appel au secours. Par pitié, aidez-nous". Le message a été jeté comme une bouteille à la mer sur internet, relayé par des proches sur les réseaux sociaux. Le cri de désespoir d'une mère et ses quatre filles de 13, 15, 18 et 21 ans, cloîtrées depuis plusieurs jours dans leur appartement des HLM Vernet-Salanque, et terrorisées par une famille de voisins dont quatre frères d'une vingtaine d'années. Derrière leurs volets fermés, la porte d'entrée bloquée par une chaise, elles supplient, en pleurs, que quelqu'un leur vienne en aide et mette un terme à ce quotidien de recluses.

Peur de franchir la porte

"Si on sort, ils vont nous tuer, raconte la mère. Mes trois cadettes, dont celle qui passe le bac cette année, ne peuvent plus aller à l'école. Elles ont peur. Quand on passe la porte, ils sont là, à nous agresser, nous insulter et à nous menacer de mort. On n'ose plus aller faire les courses. Quelques personnes du secteur osent nous amener un peu à manger. Certains ont essayé d'aller leur parler mais ils ne veulent rien entendre. Je travaille dans un supermarché, je ne peux même plus y aller. Ni ma fille aînée".

Tout aurait ainsi débuté en juillet, pour un motif qui reste encore bien flou. Elles auraient subi une première agression physique et auraient déposé plainte. Dès lors, tout se serait aggravé. "Injures, jets de pierres, intimidations, coups de pied dans la porte de leur logement...", disent-elles. La mère et ses filles aidées par diverses associations (le CDIFF, le Seuil, l'ADAVIP...) ont finalement fui leur domicile pour être hébergées en foyer. Or, après un mois, ne remplissant plus les conditions d'accueil, elles ont dû rentrer chez elles. Et dès leur arrivée, mercredi, "le cauchemar" aurait recommencé.

L'aînée qui, profondément affectée, a voulu mettre fin à ses jours, renchérit : "Le compteur électrique a été vandalisé. Nos trois voitures ont toutes été cassées. J'ai mis un an à bosser 7/7 jours pour pouvoir me la payer et je n'ai plus rien. Si on passe en jupe, on se fait traiter de pute. Ils nous cherchent en permanence. Ils ont tiré des coups de feu en l'air vendredi dernier et ont dit qu'ils allaient nous tirer dessus. Mon frère qui habite à côté est enfermé chez lui. Ils ont dit qu'ils allaient lui briser les côtes".

"Nous sommes assiégées"

Alors, la mère ne sait plus vers qui se tourner. "Ils cernent l'appartement, hurlent leur haine. Nous sommes assiégées. Ils disent que l'on n'a pas le droit de rester là. Car c'est leur loi, la loi du quartier. Mais personne n'a le droit de transformer un quartier en ghetto, de faire vivre cet enfer à d'autres. Mais, quand on sera parti, ce sera une autre famille qui vivra la même chose. Tout ça pour rien, parce que l'on a été les premiers à porter plainte et à briser le silence."

"On a appelé la police, la police municipale, on a saisi le maire, le préfet, le procureur, l'office HLM.... Rien n'est fait. Personne n'est interpellé. L'autre jour, on nous a répondu : “Vous êtes en danger. Partez”." La mère de famille a déposé une demande de mutation de logement qui doit être examinée aujourd'hui même en commission. L'issue, peut-être...

 

Source : midilibre

mardi, 03 octobre 2017

Marseille: Un couple interpellé avec un lance-roquettes et une Kalachnikov dans sa voiture

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2017

J.L. AVEC AFP

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Wikimedia Commons / Kevin. B

Une enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille.

Un couple âgé d'une vingtaine d'années a été interpellé mardi 3 octobre à Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône) avec à bord de son véhicule un lance-roquettes armé d'une roquette et une Kalachnikov et des munitions, rapporte l'AFP.

Le jeune homme, qui était notamment connu pour des violences envers sa compagne, a été arrêté en sa compagnie lors d'un banal contrôle routier. Il n'était pas censé être en contact avec elle. Une enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille.

"Connu des service judiciaires pour des petits délits", selon La Provence, "il n'aurait pas, à ce stade des investigations, le profil d'un djihadiste mais plutôt celui d'un délinquant des cités".

Un couple âgé d'une vingtaine d'années a été interpellé mardi 3 octobre à Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône) avec à bord de son véhicule un lance-roquettes armé d'une roquette et une Kalachnikov et des munitions, rapporte l'AFP.

Le jeune homme, qui était notamment connu pour des violences envers sa compagne, a été arrêté en sa compagnie lors d'un banal contrôle routier. Il n'était pas censé être en contact avec elle. Une enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille.

"Connu des service judiciaires pour des petits délits", selon La Provence, "il n'aurait pas, à ce stade des investigations, le profil d'un djihadiste mais plutôt celui d'un délinquant des cités".

 

Source : news.sfr

La communiste Sonia Nour qualifie de « martyr » l’égorgeur des deux jeunes femmes devant la gare de Marseille

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

C’est tout simplement incroyablement scandaleux ! Sonia Nour, militante communiste et collaboratrice à la mairie communiste de la Courneuve, a qualifié de « martyr » l’ordure qui a assassiné deux jeunes femmes devant la gare de Marseille au cri de Allah Akbar dimanche dernier.

Apologie du terrorisme ?

Cette Sonia Nour se présente aussi comme une militante « décoloniale », une terminologie qui rappelle évidemment le fameux camp d’été décolonial interdit aux Blancs.

 

Source : medias-presse.info