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samedi, 30 septembre 2017

Maurras : « La monarchie royale confère à la politique les avantages de la personnalité humaine »

 Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2017

 

Pourquoi être nationaliste ?

Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2017

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            Je viens de vivre une expérience étonnante : j’ai été invité à manger par ma patronne. Sa famille est singulière car elle a six enfants de son conjoint (ils ne sont pas mariés) qui ont la double nationalité française et allemande. Petit histoire rapide de son compagnon, il est le descendant d’une famille influente de la république de Weimar. Son père engagé contre le nazisme a tout de même pris l’uniforme de la Wermacht pendant la guerre. Il a péri pendant ou après la tragique bataille de Roumanie qui vit des milliers de soldats allemands capturés mourir pendant la longue marche vers la Sibérie. Il n’a donc pas connu son père. Il est venu s’installer en France où il a rencontré sa compagne.

             Une discussion lors du déjeuner nous a occupés : pourquoi ne pas soutenir une intégration complète des différents états dans une UE qui serait le pendant des USA. Des états unis d’Europe chers aux internationalistes de tous poils et repoussoir absolu des nationalistes. Ce serait simple, il suffirait de suspendre la souveraineté de la France et de chacun des états membres et le tour est joué. Je me suis à ce moment précis rendu compte que je ne vivais pas sur la même planète. Il n’y aurait à entendre ce discours aucune différence entre l’autonomie exercée par une région (Corse ou Bretagne), un pays (France ou Allemagne) dans une union respectant les droits individuels. Lorsque j’ai avancé que dans ce cas, on ouvrait la voie au gouvernement mondial il me fut répondu que ce serait aussi bien. Un français vaut un allemand !

             Alors pourquoi garder la souveraineté ?

             Parce que la suspension de la souveraineté entraîne nécessairement son transfert à quelqu’un d’autre. Si vous ne décidez pas chez vous, un autre le fera à votre place. Accessoirement on peut déjà voir que l’international peut s’imposer à vous (Guerre de Serbie ou du golfe, Venezuela, pacifications en tout genre et tout lieux, extraterritorialité du droit américain, …) par le biais des ONU, OTAN, OMS, OCDE, OMC, et des ONG. Pourquoi il serait dramatique de suspendre la souveraineté de la France ? Mais simplement parce que déjà que nos dirigeants ne luttent pas efficacement contre l’invasion migratoire, là ils seraient contraints de l’accepter. Le village mondial n’admettant plus de frontière, il sera préférable d’être miséreux à Montpellier plutôt qu’à Abidjan.

             La conséquence de l’abandon de la souveraineté est la soumission à un ordre qui vous est plus éloigné. Contester ou soutenir l’action d’un élu local est aisé. Quid d’un commissaire européen ou d’un député fantôme ?

             La conséquence sera la désertification des régions les plus pauvres ou les moins développées et son pendant la surpopulation dans les régions attractives. Pour prendre un exemple, l’Inde et la Belgique ont toutes deux des densités de populations semblables (380 et 371 Hab/ Km² selon wikipedia le 13/08/17). Pourtant la population accumulée des les villes de Belgique et d’Inde n’est pas comparable. Les villes indiennes s’étirent en des bidonvilles interminables de pauvreté et de crasse. L’urbanisme belge autorise tout de même un espace mieux alloué, plus raisonnablement répartit ce qu’on appelle une harmonie. Les villes surpeuplées du monde sont toutes hors du continent européen. Et pour ma part la ville de Paris par son accumulation populeuse (bien que limitée au regard de ce qui se fait ailleurs) ne me fait pas rêver beaucoup. On imagine alors les cavernes d’acier d’Isaac ASIMOV ou Chorus centre de George LUCAS.

             La souveraineté est à la frontière ce que le droit de propriété est à la porte d’une maison légitimement acquise. Le territoire étant alors la maison. Mais plus grave est la conséquence sur la législation. Si vous êtes chez vous, vous maîtrisez votre mode de vie, votre projet de développement, de rénovation, d’agrandissement ou de décoration. Que cela peut-il devenir dans un monde ou le légalisme se ferait plus haut et plus loin ? Dans un monde unifié sous une même bannière, comment traiter la loi islamique, la ségrégation par les castes bhramaniques, les peuples restés primitifs ? C’est ainsi que par exemple l’UE en est venue à imposer sa normalisation à tous crins. Au sein d’une communauté de peuplements semblables (l’Europe) il faut encore s’interroger sur le volume des chasses d’eau !

             L’autre aspect dramatique de la pensée internationaliste est d’entraîner une cassure dans la transmission d’un héritage irremplaçable. Ces jeunes gens que j’ai rencontrés sont enfants de bonne famille, bien élevés, actifs et entreprenants. Pourtant je dis qu’ils ne sont pas des héritiers. Ou qu’ils n’ont pas conscience de leur héritage. Ouvert sur le monde et sur l’autre ils le sont par leur double nationalité. Certes cela est une part de leur héritage. Mais surtout ils sont français ET allemands. Pas patagons. Je crois que l’existence de la double nationalité trouble les cartes. Ils en seraient devenus NI français NI allemands, simplement citoyens de l’Europe avant d’être du monde.

             Au final on nous fait des cours sur la beauté des arts primitifs, des cultures authentiques de peuples différents. Mais il faudrait tout de même faire la promotion de l’universelle humanité condamnée à se fondre en une masse indistincte dans le grand creuset du métissage.

             Pourquoi suis-je nationaliste ? Parce que je veux voir dans l’autre un autre qui peut m’être un frère, un camarade ou un ennemi mais surtout un semblable, pas un fantôme. Et je veux que cela continue à travers les générations suivantes, même si cela doit engendrer quelques drames. Parce qu’héritier je suis venu au monde et légataire je le serai en le quittant.

             Pour nos amis écologistes : pourquoi défendre une terre qui ne nous serait rien ?

 

Rédigé par Marc-Antoine Hennet

Le Parti de la France du Gers

 

Italie : Le pape François plaide pour une politique immigrationniste encore plus « ouverte » !

Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2017

Les conseils que Edward Luttwak, le célèbre politologue américain, a adressé au pape François n’ont pas été entendus. Plus que jamais l’hôte argentin du Vatican se mêle de la politique immigrationniste de l’Italie en parrainant publiquement des initiatives qui favorisentl’implantation de clandestins et d’immigrés sur le sol italienLe pape François est le bon apôtre des perversions de l’angélisme immigrophile !

Étrange et contradictoire attitude que celle de ce pape qui refuse de prendre position ouvertement contre les unions civiles de personnes de même sexe en Italie en arguant qu’il ne se mêle de la politique intérieur des pays souverains (sic), mais qui a toujours son mot à dire pour faire pression sur les gouvernements afin qu’ils ouvrent toujours plus grand leurs portes à des cultures, des religions, des us et coutumes qui ne sont pas les leurs.

La Rome actuelle, gangrenée par des années et des années de dictature du relativisme et du multi-culturalisme en tout domainese désintéressant de sa mission spirituelle qui consiste à sauver les âmes du péché, s’est transformée en une ONG compassionnelle s’investissant dans un rôle temporel de sauveuse de migrants. Son message religieux n’est qu’un détournement sentimental mais tout aussi extrémiste du discours ultra-gauchiste et immigrationniste des activistes No Border inféodés au milliardaire apatride Georges Soros ! Dont François est devenu son meilleur allié…

Le pape argentin, qui a fait de la défense des droits des migrants la priorité absolue de son pontificat, refuse toute restriction à la venue des clandestins en Europe. Il use et abuse d’un langage larmoyant et paré de vertus chrétiennes dont il déforme la finalité selon son prisme humanitariste. Vertu d’Espérance et migrants ont donc fait l’objet de sa catéchèse d’hier après-midi 27 septembre, lors de l’audience générale du mercredi.

« Ouvrons les bras » a-t-il à nouveau tempêté. « Le Christ lui-même nous demande d’accueillir nos frères et sœurs migrants et réfugiés avec les bras, avec les bras bien ouverts ».

Par ces paroles, il a ouvert la campagne de la Caritas pour les migrants « Partageons le chemin ». Et a appelé à la rescousse une drôle de vertu d’Espérance qui n’a rien de surnaturel ni de centrée en Dieu mais est toute tournée sur l’homme : «l’Espérance » a-t-il expliqué est selon lui « l’impulsion pour « partager le chemin », parce que le voyage se fait à deux : ceux qui viennent dans notre terre, et nous qui allons vers leur cœur pour les comprendre, pour comprendre leur culture, leur langue ». La vertu d’Espérance a-t-il ainsi enseigné en lui donnant une définition totalement novatrice « c’est l’impulsion du cœur de ceux qui partent en laissant leur maison, leur terre, parfois des familiers et des parents, je pense aux migrants, pour chercher une vie meilleure, plus digne de soi et de ses êtres chers ».

Le pape François commet là un énorme faux-sens qu’un enfant connaissant son catéchisme ne saurait faire : il confond grossièrement la vertu théologale d’Espérance qui fait espérer surnaturellement en des promesses divines ainsi que récite l’Acte d’Espérance « la grâce en ce monde et si j’observe vos commandements le bonheur éternel dans l’autre » avec l’espoir, ce sentiment naturel qui anime les envahisseurs de trouver en Europe un avenir meilleur.

On peut blâmer dans cette catéchèse d’El papa argentin, foncièrement naturaliste, résolument anti-surnaturelle, également une audace suspecte : d’être une intrusion dans le domaine temporel des politiques migratoires italiennes et dans sa législation de la nationalité.

Le pape a en effet apporté, une fois encore, son soutien aux organisations d’aide aux migrants qui ont lancé, en Italie, une proposition de loi d’initiative populaire « J’étais étranger » qui vise à promouvoir «une nouvelle loi migratoire plus adaptée au contexte actuel» pense-t-il. Or cette pétition milite pour une ouverture toujours plus grande à l’immigration de masse et pour des nouveaux droits des clandestins. Le texte prévoit en effet : l’ouverture de couloirs légaux et sécurisés d’entrée pour le travail, la régularisation des étrangers depuis un certain temps sur le territoire, le droit du sol plutôt que le droit du sang, des mesures d’inclusion sociale et professionnelle pour les demandeurs d’asile et les réfugiés, le droit de vote pour certaines élections au nom de la participation à la vie démocratique et l’abolition du délit de clandestinité. Bien entendu cette proposition de loi est ardemment encouragée par toutes les officines de la gauche italienne dont les fameux Radicaux parmi lesquels le pape compte quelques amis telle l’avorteuse Emma Bonino. Le Centre pour migrants Astalli, qui est entre autres derrière cette pétition, a touitté victorieusement ce même jour mercredi 27 septembre : « Maintenant à Saint-Pierre, on signe » !

Promouvoir cette initiative cosmopolite équivaut intrinsèquement à causer le suicide de la civilisation européenne et de la religion chrétienne avant la disparition dans la douleur des catholiques occidentaux à l’instar des chrétiens d’OrientEt c’est par la main d’un pape blanc hypnotisé par l’islamo-gauchisme-mondialiste politiquement correct, croisé du « vivre-ensemble », méprisant pour l’identité des peuples du Vieux Continent, fasciné par les masses africaines, égaré dans la repentance et la culpabilisation de l’homme occidental, que meurent les Européens !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 29 septembre 2017

Dimanche 1er octobre, tous à Rungis pour la XIe Journée nationale et Identitaire de Synthèse Nationale !

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2017

 
Dimanche 1er octobre, tous à Rungis pour la XIe Journée nationale et Identitaire de Synthèse Nationale !
 
 
 
 
 
 
 

Murs et frontières

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2017

envahisseur,frontières,mursIl est de bon ton de critiquer l’idée de fermer le territoire français (et européen) aux masses d’allochtones qui s’invitent chez nous. Je reconnais pour commencer qu’il est vain de comparer strictement le fonctionnement d’un pays et celui d’un particulier mais tout de même osons une projection.

Vous vivez dans une ville, possédez une maison pour l’achat de laquelle vous avez usé de l’héritage légué par vos parents. Votre vie familiale est harmonieuse, votre maison vivante par la grâce de quelques voisins et amis invités le week end ou à l’occasion des vacances à partager un bon repas sur la terrasse qui bien sûr ne saurait se terminer sans le « pousse café » et le cigare. Bref un petit paradis qui vous appartient, et qui justifie les efforts déployés le reste du temps pour en assumer les charges et en jouir pleinement. 

Avez-vous suffisamment confiance dans le comportement de tous ceux d’alentours pour ne pas fermer la porte lorsque vous partez ? Dit autrement, ne craignez-vous pas que le premier malandrin venu, constatant que la porte n’est pas verrouillée, en profite pour s’installer, dormir dans votre lit, se nourrir de vos victuailles conservées dans votre frigo ? Imaginons dans un premier cas qu’après ses frasques il se retire : c’est un vandale ou un malappris. Dans un deuxième cas, imaginons qu’il vous contraigne à partager : c’est un envahisseur.

L’envahisseur n’est pas différent du « migrant ». A ceci près que généralement les citoyens se liguent contre l’envahisseur. Ici le « migrant » a toutes les excuses. Qu’attendre de lui ? Rien. Il est une victime et vous un pauvre con.

C’est à cause de ce genre de parallèle qu’on nous dit que la comparaison entre un pays et un particulier n’est pas valable. Il y aurait une légitime protection du foyer mais un espace extérieur non privatif, qui n’appartiendrait donc pas au peuple qui l’a aménagé, dans le cas de la France, à quelques exceptions prêt on pourra même dire magnifié.

Soit, mais alors que penser de l’usage patrimonial de notre état qui est restreint à la jouissance de particuliers dont le seul mérite est d’avoir été élu ? Pourquoi ne pas partager plus constamment qu’avec les seules journées du patrimoine ? Ne sont-ce pas les biens nationaux décrétés sous la Révolution ? Ces gens là ne se sont ils pas faits les parangons du partage ?

Un autre sujet où le parallèle particulier-état n’est pas admis est celui de la dette. Aucun particulier ne peut s’endetter (licitement) au-delà d’un tiers de ses revenus. Comment expliquer que la dette du seul état français se chiffre à 2 200 milliards d’euros (100 % du PIB) alors même que ses « revenus » ne sont que les recettes fiscales acquises sur ce PIB ? Je comprends certes qu’il puisse être nécessaire de se surinvestir à un instant T pour financer une infrastructure très coûteuse, le fonctionnement général de l’état pendant une disette, ou la guerre face à un risque d’occupation étrangère. Mais comment justifie-t-on un endettement de cette proportion ?

La réponse est simple : ce n’est pas moi, c’est l’autre ! A chaque élection on continue l’irresponsabilité passée mais on s’acquitte de la dette en en rejetant l’origine au prédécesseur.

Je voudrais alors proposer quelques pistes pour chercher une solution. D’abord utiliser au maximum les ressorts du financement « participatif ». Si chacun épargne et en fait profiter le voisin, il est possible de sortir de la spirale du prêt à usure, tout en renforçant les liens entre nous. Le Peuple dixit Jean-Yves Le GALLOU citant Ernest RENAN : « c’est avoir fait de grandes choses ensemble et vouloir en faire encore voilà les conditions essentielles pour être un peuple ». Faisons déjà les petites choses du quotidien. Deuxièmement la restauration de l’autorité ne pourra se faire que si nous, les autochtones, témoignons d’une parfaite exemplarité en matière de vie sociale, de respect des voisins, de moralité. Exit les faillis qui abaissent la représentation française par leurs frasques répétées. Enfin le village gaulois. Les celtes considéraient qu’un chef ne régnait que sur le territoire sur lequel se posait son regard. Que des communautés de franco-français, francophiles et franco-féconds se peuplent de leurs semblables comme le furent les villages jusqu’à ce que le désastreux exode rural fasse mourir la France profonde.

Rédigé par Marc-Antoine Hennet

Le parti de la France du Gers